LECTURE DE LA SAGA

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Il en sera de même pour Fantasmaginaire 2, 3, 4 et 5.

lundi 28 avril 2014

F3 épisodes 89, 90, 91, 92




Episode 89


  Reprise d’exercice.


14H40 heures, Aline, Dorine, le mage et Gary sont devant le poste de télé. Melle Véra lit un magasine, Mike est vautré sur le tapis devant la cheminée et somnole à moitié. Lady Dark et Mirabelle sont dans le jardin de derrière discutant en tournant autour d’une petite piscine bâchée.
15h25, Bonemain revient au gîte l’air guilleret. Il se rend directement auprès de Melle Véra et lui glisse dans l’oreille.

-        Alors, elles sont prêtes tes amies à recevoir une belle fessée ? Demande-t-il empressé d’agir.

-        Oui, elles t’attendent, elles sont dehors sous la tonnelle. Lui indique Melle Véra.

-        Et le mec il est d’accord ?

-        Pareil, je vais lui dire de vous rejoindre.

-        Hé, hé, hé, celui-là il passe en dernier pour le bouquet final. Ricane-t-il en se frottant les mains.

-        Et où tu vas faire ça ? Lui pose la question Melle Véra.

-        Là-haut, sous les combles, il y a une pièce prévue pour les activités des vacanciers quand il pleut. Elle n’est pas encore aménagée, elle ne sera opérationnelle que le printemps prochain, c’est l’endroit idéal. Mon frère est à la coopérative et sa femme vient de partir à Brest, nous sommes tranquille pour au moins trois bonnes heures, c’est plus que suffisant, poil aux dents. Répond-il.

-        Parfait, va les chercher alors.

-        Heu… Je… Je ne les connais pas bien et…

-        Tu veux que je t’accompagne ? Propose-r-elle.

-        Oui ce serait super, poil aux pommes de terre.

Melle Véra fait un signe à Mike toujours étendu sur le tapis et tous les trois rejoignent Aline, Dorine et Lady Dark. Melle Véra les convie à suivre Bonemain en leur souhaitant de passer un bon moment avant de repartir et rattraper Mirabelle, Baccardi et Gary qui s’éloignent par un petit chemin qui suit la haie des champs.

-        Je vous remercie beaucoup c’est très gentil à vous d’avoir accepté ! Fait Bonemain à l’adresse de ses fessées et son fessé.

-        De rien monsieur et j’espère que vous allez bien nous punir car nous ne sommes pas très sage en ce moment. Lui répond Lady Dark déjà tout émoustillée.

-        Ho oui, je vais bien vous châtier, ne vous inquiétez-pas. Se réjouit-il.

Bonemain fronce les sourcils et prend un air sévère.

-        Allez hop, suivez-moi et je ne veux rien entendre dans les rangs ! Dit-il d’une forte voix.

Il entre dans la maison, monte les escaliers, emprunte un petit couloir et ouvre une porte qu’il referme au verrou une fois que tout le monde y est entré.
C’est une pièce sous comble assez vaste, peut-être une quinzaine de mètres de long. Les cloisons et les habillages d’isolation sont récents et le papier unis a été fraichement posé ; une discrète odeur de peinture vient aux narines.

-        En sous vêtement et que ça saute ! Ordonne Bonemain.

Il place une solide chaise au milieu de la pièce, s’y assoit et attend que les jeunes femmes et Mike soit en tenue. Une fois tous les quatre en sous vêtement, il se rince l’œil et la bosse de sa braguette ne laisse aucun doute sur son excitation.

-        Alignez-vous à ma droite, les filles en premier et le male en dernier. Exige-t-il en remarquant le devant du slip de Mike tendu.

Il se lève, s’approche et lui tire l’oreille.

-        En plus tu cherches à te rendre intéressant ? Lui crie-t-il dessus en lui tordant l’oreille.

-        Haaou ! Non monsieur. Répond Mike en sautillant sur place sous les rires de ses amies.

-        Ah non… Alors c’est quoi ça ? Montre-t-il son érection.

-        Haaaïe ! Je ne sais pas, je ne comprends pas ce qui arrive monsieur. Joue le jeu Mike.

-        Et tu me prends pour un imbécile avec ça ! Alors toi mon gaillard, comme tu passes en dernier tu auras le droit au dessert. Prévient-il en lui lâchant l’oreille.

Il se rassoit sur la chaise et regarde Lady Dark dans les yeux avec un petit sourire enflammé.

-        Baisse ta culotte ! Lui commande-t-il.

Lady Dark tire la culotte juste en dessous de son fessier.

-        Aux chevilles la culotte et dépêches-toi ! Précise Bonemain.

Lady Dark s’exécute et la descend à ses genoux puis laisse glisser sa culotte jusqu’à ses pieds. Une fois fait, il la contemple et lui tiraille ses poils pubiens.

-        Vous avez la toison douce mademoiselle. S’amuse-t-il toujours en tirant par petites touches sur les poils.

Lady Dark danse d’une jambe sur l’autre en poussant de petits soupirs.
L’homme se distrait sans être outrancier ni abusif. Juste entre ses doigts tirer quatre ou cinq poils puis lâcher rapidement avant que la douleur soit trop vive.
Au terme d’une bonne minute, trouvant que je jeu à suffisamment duré,  il la bascule en travers de ses cuisses et tapote le fessier sans force histoire que vibrent les rondeurs.

-        Je vais t’apprendre à être sage moi ! Tu vas recevoir ce que tu mérites ! Gronde-t-il en continuant ses petites tapes.

Au bout d’un petit moment il attrape le bras droit de Lady Dark et lui coince dans le dos puis lui claque très modérément les fesses pendant une bonne minute. Les deux lunes rougissent à peine et quand il estime qu’elles sont suffisamment en chaleur, il commence à plus énergiquement frapper. La main de l’homme est à l’mage de sa carrure, elle est large et applique toute sa surface sur la fesse ciblée en y laissant une grosse empreinte.
Lady Dark se trémousse sur les cuisses de l’homme en soufflant quelques « Hooooooo ! » Derrière, Aline Dorine et Mike se délectent du spectacle. Quand les jambes s’écartent un peu, on peut discerner ses deux lèvres brillantes et parfois, avec un peu plus d’ouverture le petit appendice rose napée de sauce. L’homme augmente la force et ne semble nullement se fatiguer de fesser. Les claques dégringolent bien en cadence par série de trois sur chaque fesse. Lady Dark piaille de plaisir et dandine son bassin sur les cuisses musclées de Bonemain.



Les claques tombent et retombent, les belles fesses bien rondes de Lady ont pris une belle couleur. L’homme force un peu la cadence et les frappes ; il veut un final gratiné. Il s’y emploi en appliquant bien sur les fesses toute la surface de sa large main. Les jambes de Lady Dark dansent et si on entend des petits cris, ils sont ceux qui naissent quand la douleur s’uni avec la joie d’en jouir.
Bonemain est content de lui et après avoir donné la derrière claque il admire le flamboyant de la croupe fessée. Il aide Lady Dark à reprendre pied, lui commande de remettre sa culotte et se placer devant pour être témoin de la suite. Son érection force toujours sa braguette et sur la cuisse droite, son pantalon est mouillé d’une belle auréole que lui a laissée Lady Dark.
L’homme se lève et regarde Aline de la tête aux pieds avec un petit air malicieusement pervers.

-        Tu n’as pas de soutient gorge ? Pose-t-il la question.

-        Non monsieur je n’en mets que quand je sors et…

-        Je ne t’aie pas demandé de me raconter ta vie, moi tout ce que je vois c’est que tu n’en n’as pas ! Hausse-t-il le ton en pinçant entre ses pouces et index les deux tétons d’Aline.

Elle grimace en serrant les dents.

-        Je vais t’apprendre à te présenter dignement devant ton fesseur. Crie-t-il en tournant ses doigts.

-        Ayayaïe ! Monsieur ! Haayïe ! Non monsieur ! Sautille-t-elle.

-        Fallait y penser avant ma belle. Poursuit-il ses pincements.

-        Monsieur ! Haaaaa ! Hooouilleeee !!!

-        Quand son fesseur demande de se mettre en sous vêtement, comment doit alors se présenter la punie ? Interroge-t-il sans arrêter de tourmenter les tétons d’Aline.

-        Aaaayaaaaa ! En… Ouaaaaa ! Culotte et, aïeeee ! sou… Haaaa… Soutient… Aaaïe ! Gorge, Ayayaaaïe ! Répond Aline en tremblant de partout.

-        Voilà une jeune femme qui comprend vite. Se satisfait Bonemain en desserrant ses doigts.

Aline soupire de soulagement. Bonemain fronce le sourcil et se lève de l’assise.

-        Que veut-dire se soupir mademoiselle Aline ? Interroge-t-il.

-        Rien monsieur.

-        Petite effrontée ! Dit-il en lui assenant une dizaine de claques sur les cuisses.

Aline sautille en se frottant les parties touchées. Bonemain lui repince les tétons en soulevant jusqu’à ce qu’elle se mette sur la pointe des pieds.

-        Hoooyaille, Monsieur, haaaa ! non !

L’homme lâche prise immédiatement et se rassoit.
Aline souffle de soulagement. Cette fois Bonemain ne relève pas et lui laisse un petit moment de répit avant de la courber en travers de ses cuisses.
Même méthode que pour la précédente ; des petites tapes pour assouplir l’épiderme, ensuite un peu plus appuyé pour le chauffer et une montée en puissance jusqu’au final.
Les fesses d’Aline semble prendre plus de teinte que celle de Lady Dark, sans doute une particularité différente de peau.
Une fois la fessée consommée, elle se relève, elle ramasse sur le parquet sa culotte, qui avait quitté ses chevilles pendant la fessée, la remet et se place au côté de son amie Lady Dark en affichant un petit sourire euphorique.
L’auréole sur la toile du pantalon de Bonemain est un peu plus importante et il est visible par la deformation de son pantalon que son excitation ne faiblit pas.



Episode 90


 Suivante


Le regard de l’homme se tourne vers la suivante et remarque de suite la petite tâche humide au bas de sa petite culotte.

-        Pouvez-vous m’expliquer ceci mademoiselle… Mademoiselle comment déjà ?

-        Dorine Monsieur !

-        Dorine… Alors mademoiselle Dorine, pouvez-vous m’expliquer ceci ? Questionne-t-il en pointant de l’index la tâche suspecte.

-         Non monsieur, je ne sais pas d’où ça vient.

-        Vous avez fait pipi dans votre culotte ?

-        Certainement pas ! Se défend Dorine avec une petite mimique offensée.

-        Alors je ne vois qu’une explication mademoiselle Dorine. De voir vos amies se faire corriger vous as donné de petites sueurs entre les jambes.

-        Comment ça monsieur. Fait-elle l’innocente.

-        Ça vous excitait pour parler plus clairement !

-        Mais non ! S’offusque-t-elle faussement.

-        Mais si mademoiselle Dorine ! Soutient-il en la tirant à lui.

-        Je vous assure que…

-        Ça suffit, enlevez-moi cette culotte dégoutante ! Ordonne-t-il.

Dorine obtempère et pose le vêtement sur le parquet.

-        Le soutient gorge aussi ! Exige Bonemain.

Dorine se met nue. L’homme la place dos devant lui et l’assoit sur ses genoux.

-        Ecartez les jambes et main sur la tête ! Commande-t-il.

Dorine se retrouve à cheval sur les deux larges cuisses de l’homme face à Lady Dark et Aline. Le sexe parfaitement exposés aux regards et ses lèvres légèrement entrouvertes brillantes de mouille.

-        Je vous donne un conseil Mademoiselle Dorine, c’est de rester les jambes bien ouvertes et les mains sur la tête si vous ne voulez pas en recevoir le double. Prévient Bonemain.

La main droite de l’homme se plaque sur l’intérieur de la cuisse de Dorine. La frappe n’avait aucune violence mais l’endroit est très sensible et la jeune femme sursaute en refermant les jambes escortées dans le mouvement d’un « Ôooooouille ! » sonore.

-        Qu’ais-je dis, mademoiselle Dorine ?

-        De…De rester les jambes écartées. Répond-elle en rouvrant large les cuisses.

-        J’aimerais ne pas avoir à trop souvent le répéter. Dit-il en appliquant une seconde claque sur l’autre intérieur de cuisse.

Dorine sursaute une nouvelle fois en grimaçant mais sans refermer ses jambes.

-        Très bien mademoiselle ! Félicite Bonemain en balançant une petite claque de la main droite au ras du vagin.

Dorine se crispe et dandine sur son assise humaine.

-        Voilà très bien mademoiselle. Lui en remet-il une autre un peu plus forte sur l’intérieur de la cuisse gauche.

Ce dernier impact laisse une belle marque sur la peau tendre et fragile de l’entrecuisse. Dorine fait un bond et pousse un cri strident.

-        Allons mademoiselle un peu de tenue et gardez-donc un peu de voix pour la fessée que vous allez recevoir ensuite. Dit Bonemain en débordant d’excitation puis lui distribuant une autre sur l’intérieur de la cuisse droite.

-        Haaaïe ! Monsieur s’il-vous plait !

-        Mademoiselle Dorine qui supplie ; voyez-vous ça ! Il ne vous fait pas mouiller ce petit traitement ? Se moque Bonemain.

-        Non…. Enfin si un peu !

Une autre claque tombe sur la cuisse gauche, une si bien appliquée que Dorine hurle et en bascule sur le côté. Bonemain la retient et la repositionne comme il faut à califourchon sur ses cuisses. Dorine expire longuement en regardant la marque brûlante laisser par la grosse main de l’homme. Elle sent dans sa raie des fesses le sexe dur de Bonemain en dessous de son pantalon. Heureusement d’ailleurs qu’il est vêtu, elle n’ose imaginer s’il ne l’était pas.

-        Et celle là elle vous a fait jouir mademoiselle Dorine ? Dit l’homme en balançant une nouvelle claque sur l’intérieur d’une cuisse.

-        Non… Non, pas encore monsieur. Répond-elle provocatrice.

Instantanément l’homme en remet une bonne sur la gauche suivit d’une sur la droite.

-        Ôaaaaaayyaaaayaille ! Trépigne-t-elle en mouvement désordonnés et incontrôlés.

-        Et maintenant, ça va mieux ? Interroge Bonemain.

-        Holalalala ! Hoooo ça me cuit monsieur. Tremblote-t-elle des deux cuisses.

Quatre autres, gauche, droite, gauche droite, retombent sur les intérieurs déjà bien rouges. Dorine se plie en avant en criant de douleur. Bonemain la relève doucement.

-        Et celles-ci ne vous ont pas fait jouir Mademoiselle Dorine ?

-        Ôouoooh non,… Hooouuuuu ! Non monsieur, houuu, ça fait trop mal, holalalala, houuu ! Répond-elle d’une voix chevrotante.

-        Regardez-donc votre copain, lui ça le fait bander.

-        S’il était à ma place il ne banderait plus, holala ! Pffffuuuuu, pfffffffuuuuu ! Souffle-t-elle sur ses entrecuisses pour refroidir.

-        Son tour va venir et vous avez bien raison mademoiselle, il va moins faire le fier à bras. Relevez-vous mademoiselle et en position pour la fessée ! Ordonne-t-il à Dorine.

Docile elle se courbe sur les cuisses de Bonemain en présentant ses fesses. L’homme, par expérience, sait que Dorine n’est pas vraiment prête à apprécier une fessée derrière le précédent traitement qu’elle à subit.
Il pose sa grosse main sur les rondeurs vierges de Dorine.

-        Joli cul que vous avez là mademoiselle. Dit-il en caressant le galbe. C’est dommage d’en battre la douceur mais avouez que vous méritez une belle fessée.

-        Moi monsieur mais je n’aie rien fait de mal. Répond-elle en crispant ses muscles fessiers de crainte qu’une claque tombe.

Bonemain s’en amuse et continue à flirter tendrement avec la croupe exhibée.

-        Oui c’est ce que toutes les polissonnes disent mais ce sont des menteuses, hein ? poursuit-il son interrogatoire et ses caresses.

-        Pas moi monsieur.

-        Si vous persistez à mentir mademoiselle je vais être obligé de plus sévèrement vous fesser. Dit-il en lui pinçant légèrement la peau des fesses.

-        Oh non monsieur pitié ! Implore faussement Dorine.

-        Alors ne mentez plus mademoiselle et dites-moi que vous méritez une belle fessée pour vos indisciplines et vos bravades. Je vous écoute ! Dit-il en poursuivant ses petits pinçons qui électrisent Dorine.

-        Oui monsieur !

-        Oui monsieur quoi ? Réclame-t-il en lui tirant l’oreille.

-        Oui monsieur je mérite une fessée pour ne pas avoir été sage. Répond-elle avec un audible consentement.

-        Voilà, ce n’est pas plus compliqué que ça. Se satisfait-il en stoppant ces pincements.

Bonemain commence à fesser en douceur afin d’apprêter l’épiderme et que Dorine ne ressente pas de douleur mais plutôt un feu doux qui pénètre en elle comme on pratique pour un baume.
C’est seulement quand il la sent envoutée qu’il force progressivement les claques. Dorine se cambre et se pâme. Ses yeux sont fermés comme si elle ne voulait pas qu’une image trouble la clarté de ses sensations. Ses jolies fesses murissent timidement comme un fruit au soleil frileux d’une fin de printemps ; elle se laisse emporter dans les méandres hasardeux d’un plaisir qui prend de la maturité à chaque nouvelle claque. L’homme augmente avec justesse la force ; Elle savoure la progression puis quand la chaleur se fait feu elle déguste jusqu’à en être repue de jouissance.
Fessée achevée, Dorine va rejoindre ses amis pour assister à la dernière représentation.
Bonemain prend son temps et souffle un peu en regardant sa jambe droite de pantalon copieusement auréolée. Il semble ne plus avoir d’érection et il n’est pas de secret que le plaisir fut au rendez-vous également pour lui.




 Episode 91


Le finaliste.


Il lève légèrement son regard vers Mike. Il le voit bouillonnant, capable même de sauter en travers de ses genoux pour recevoir au plus vite la fessée. Il devine Mike à cran d’avoir été si excité par le spectacle de ses amies fessées. Il est prêt, impatient de sentir la brûlure d’une main sur ses fesses et Bonemain sait qu’il n’aura pas besoin de trop le chauffer et qu’il va pouvoir lui administrer rapidement une grosse fessée comme il aime les donner aux hommes.
Pourtant il ne se presse pas de formuler l’ordre à Mike de baisser son slip et de se courber sur ses cuisses.

-        Alors mon gaillard, ça t’a beaucoup amusé de voir tes copines être fessées ? Interroge-t-il d’une grosse voix menaçante.

-        Oui monsieur c’était très drôle mais un peu court ! Répond franchement Mike intentionnellement provocateur.

-        Et tu n’as pas cessé de bander petit vicieux !

-        Ho oui monsieur, c’était très troublant.

-        Et la fessée que je vais te flanquer elle va aussi t’exciter ? Interroge Bonemain tout autant provocateur.

-        Oui monsieur ! Répond Mike frétillant.

-        Ha oui, tu crois ça ? Et bien mon gaillard avec moi tu es mal tombé ; on va voir si tu vas encore longtemps bander avec ce que tu vas recevoir. Ça va tomber sec tu peux me croire ! cul nu et en position ! Ordonne-t-il d’une voix coléreuse.

Mike ne se fait pas prier et les intimidations de Bonemain ne font que davantage le rendre fou d’envie, il glisse son slip aux chevilles et se place en travers des cuisses de l’homme en relevant bien son postérieur pour lui faire comprendre son désir d’en découdre.
Bonemain, même s’il avait menacé de sévérité n’en fait rien car en tant que bon fesseur il a le souci que le plaisir soit le lien solide de l’affliction.
Il commence certes plus rudement sachant que Mike est bien chaud mais sans frapper vraiment fort. L’épiderme doit un minimum prendre de la température avant d’être plus fortement fessé. Les claques se succèdent sur un rythme relativement lent en travaillant proprement cette paire de fesse masculine pour la préparer à plus de rigueur. Le sexe de l’homme se redresse en forçant le pantalon.
C’est ce qu’aime Bonemain chez les hommes, le pouvoir de se lâcher un peu plus que d’habitude. Non pas que les fesses féminines soient plus fragiles mais c’est qu’elles sont plus harmonieuses, soyeuses et souples et réclament, à son avis, plus de délicatesse dans le traitement.
Les fesses de Mike ont pris une bonne couleur et sont à température. Bonemain sent le sexe du jeune homme dur et tendu entre ses deux cuisses. C’est le moment, sa main grimpe plus haut et redescend avec plus de vitesse sur le postérieur. Le tempo s’emballe et c’est la grosse fessée qui tombe. Mike se cambre en poussant de petits cris feutrés. Sur ses fesses, ça dégringole comme la grêle d’une giboulée de Mars. Il gesticule, tressaute et ses jambes battent l’air anarchiquement. De son bras gauche Bonemain le maintien bien en position pour ne pas qu’il tombe et continue à lui administrer une copieuse raclée. Point de sadisme ou de débordement, il savait Mike totalement consentant et d’ailleurs se dernier ne pétitionne aucune grâce.
Cette magistrale fessée ne dure que très peu de temps ; elle a immédiatement cessée après que l’homme ait senti le sperme chaud de Mike lui imbiber le pantalon entre ses cuisses.
Bonemain relève la tête et d’un revers de manche éponge son front. Mike est haletant et se laisse peser de tout son poids sur les cuisses de son fesseur. L’air frais de la pièce glisse sur ses fesses brulantes rehaussées de belles marques rouges.
Un petit moment plus tard il se redresse. Aline, Dorine et Lady Dark viennent à lui.

-        Alors Mike, ça va ? Lui demande Dorine avec un grand sourire.

-        Ça c’est de la fessée ! Répond-il enjoué.

-        Je crois que mon froc est bon pour la machine. Poil aux angines, ha, ha, ha ! Rigole Bonemain.

-        On est désolé. Lui dit Aline.

-        Ne le soyez pas ! Tout le plaisir était pour moi, poil au bras.

-        Pour nous aussi.

-        Si vous saviez… Vous ne pouvez pas vous imaginer depuis combien de temps je rêvais de fesser. Ha, ha, ha ! qui aurait pu prévoir que ce jour arrivé j’aurais pour moi tout seul trois jeunes femmes et un  jeune homme, ça j’étais loin de l’imaginer. Ooh, vraiment, je ne sais comment vous remercier. Se ravit-il en se levant et rangeant la chaise le long du mur.

Un quart d’heure plus tard il remonte dans son vieux 4X4 et retourne chez lui.
Aline, Lady Dark, Dorine et Mike vont à la douche.
En fin d’après midi, le mage revient d’une promenade solitaire et quelques minutes après ce sont, Melle Véra, Mirabelle, Gary et Baccardi qui sont de retour.
Melle Véra s’empresse de demander comment c’était déroulée la particulière entrevue avec son ami Bonemain.

-        Il en avait drôlement envie. Dit Aline.

-        Il s’est défoulé. ajoute Lady Dark.

-        Il n’a pas été trop rude ? Interroge Melle Véra soucieuse que son ami n’ait pas commis de débordement.

-        Ho non, il a été très bien. Assure Dorine.

-        Peut-être un peu plus brutal avec Mike. Précise Aline.

-        C’est vrai Mike ? Demande confirmation Melle Véra.

-        Oui c’est vrai qu’il a eut la main un peu lourde avec moi…. Mais quelle main, hou, ça c’était une fessée ! Comment que j’ai aspergé son pantalon de plaisir. Répond-il avec un petit sourire malicieux.

-        Et nous aussi. Adjoint Lady Dark.

-        Je vois que tout c’est bien passé alors. Se satisfait Melle Véra.

-        Rien à dire ! Répond Dorine soutenue par les trois autres.


Ce soir au diner, c’est galettes fourrées et crêpes confitures en dessert. Les maîtres de maison sont des experts et l’équipe se régale.



 Episode 92


 Indice prometteur.


3 Octobre, 9h10, le temps est ensoleillé mais frais. Le 4X4 stationne devant le gîte. Lady Dark et Baccardi sont prêt. Bonnemain descend du véhicule, donne d’un signe de main le bonjour à toute l’équipe puis explique à Lady Dark et Baccardi comment fonctionne l’appareil photo. Il conseille de laisser en automatique et fait une démonstration afin de leur montrer comment faire des clichés avec la télécommande sans attirer l’attention tout en gardant l’appareil autour du cou.

-        Je vais vous déposer à cet endroit et je file pour ne pas qu’une nouvelle fois ma bagnole soit garée dans le coin, ça pourrait aiguiser la curiosité. Ensuite vous prenez ce chemin et vous longez le rivage. Là il y a la baraque et du sentier vous pouvez la prendre des photos. Je vous reprendrais à cette bifurcation une heure plus tard. Désigne Bonemain sur le plan.

Melle Véra s’approche.

-        Tu as trouvé une astuce pour le transport du prédicateur ? Lui demande-t-elle.

-        Oui cette nuit, comme quoi la fessée porte conseil, poil aux orteils, ha, ha, ha !

-        Alors ? Quémande-t-elle.

-        Un déménagement c’est ce qu’il y a de mieux. Des meubles, armoires, lits, Buffets, frigo, tables, chaises, télé… Enfin tu vois un peu le bric-à-brac et dans tout ce merdier il y a de quoi planquer ce salopard, poil au têtard.

-        Pas bête du tout ça. Félicite Melle Véra.

-        On pourra le mettre dans une armoire, un frigo, une malle. Imagine Bonemain.

-        On en discutera à votre retour. Conclu Melle Véra en ouvrant la portière du 4X4 pour que Lady Dark et Baccardi s’installent à bord.

11h20, Bonemain ramène Lady Dark et Baccardi reviennent au gîte et les prises de vue sont immédiatement visionnées sur l’écran de l’ordinateur.
Sur une dizaine de clichés à peu près bien cadrés, ils remarquent que le hangar est ouvert et que des hommes le débarrassent d’un petit tracteur, d’une vieille mobylette et d’une remorque.
-        Ils font le ménage. Constate le mage.

-        M’ouais ou faire de la place pour y ranger autre chose. Réfléchit Gary.

-        Une automobile peut-être. Suppose Mirabelle.

-        Ce n’est peut-être que du rangement mais faudrait en avoir le cœur net. Dit Dorine.

Le mage approuve d’un clignement d’œil.

-        Aline et Mirabelle iront faire un tour cet après midi voir comment les choses évoluent. Etablit Baccardi.

-        Je les emmènerais avec le minibus, ça changera. Propose Melle Véra.

-        OK, je leur explique tout de suite pour l’appareil photo. Dit Bonemain en éteignant son ordinateur.

16h30, le temps se couvre et le vent c’est renforcé.  Aline et Mirabelle se promènent, prennent quelques photos des bords de côte comme le font tous les touristes et plus discrètement des photos de la maison. Les deux natifs de Fantasmaginaire sont merveilleusement étonnés de la marrée basse qui découvre les terres aussi loin et de l’odeur forte de sel et d’algue qui prend les narines. Quelques personnes courbées, sceau en main ratissent les bandes de sable et les rochers pour y ramasser des coquillages.
Du sentier en regardant côté terre, on ne peut vraiment définir ce qui se passe devant le hangar de la maison car elle se situe trop loin mais en agrandissant sur l’écran cela deviendra beaucoup plus clair.
17h40, ils sont de retour et les clichés montrent qu’il n’avait pas débarrassé le petit hangar pour rien car sur les photos on peut discerner part un des vantaux ouvert que quelque chose de gros volume y à été remisé. C’est noir un peu arrondi mais le peu que le vantail laisse apparaitre ne permet pas de savoir la nature de l’objet. Bonemain agrandi au maximum mais la pixellisation rend la lecture impossible.

-        C’est peut-être l’avant ou l’arrière d’une voiture ? Emet Mike.

-        Oui, mais j’aimerais que ce « Peut-être » deviennent une certitude. Dit le Mage en plissant les yeux pour tenter de découvrir l’objet.

-        Peut-être un ULM pour se sauver. Imagine Melle Véra.

-        C’est quoi un ULM ? Demande Mirabelle.

-        C’est un petit engin volant en général pour une ou deux personnes. Explique Bonemain non sans surprise de l’ignorance de Mirabelle.

-        Une machine volante avec laquelle le prédicateur pourrait s’échapper ? Interroge le mage Arnak.

-        Possible. Suppose Melle Véra.

-        Avec un ULM on ne peut pas aller bien loin sans refaire du carburant et s’il veut fuir la France par la voie des airs, le pays le plus proche c’est l’Angleterre. D’ici, en une seule fois c’est impossible donc il faut qu’il trouve un point de ravitaillement entre les deux. En admettant qu’il passe par la pointe de Cherbourg et qu’il fasse là-bas son dernier plein chez des complices à lui. Il lui restera une centaine de kilomètres au dessus de la mer pour arriver aux côtes Anglaises. Avec un ULM c’est très faisable.

-        Il est recherché aussi en Angleterre. Précise Melle Véra.

-        En France aussi et pourtant il ne l’on toujours pas trouvé. Réplique Bonemain.

-        Nous non plus d’ailleurs et on n’est même pas certain qu’il soit dans cette maison. Ajoute Dorine.

-        Il y a les radars de la défense nationale et ceux des gardes côte. Dit Melle Véra.

-        Oui mais l’avantage d’un ULM c’est sa petite taille et qu’il peut voler à très basse altitude. Le seul risque est de croiser un navire militaire ou une vedette de surveillance côtière pendant la traversée. Répond Bonemain.

-        Donc monsieur, vous croyez possible que le prédicateur puisse s’enfuir avec une petite machine volante ? Lui pose la question le mage.

-        Oui c’est très faisable mais c’est risqué ! Affirme Bonemain.

-        Alors nous devons agir cette nuit !

-        Pas la peine de vous affoler, il ne pourra pas partir ni ce soir, ni cette nuit ni demain et après demain. Dit Bonemain en repassant toutes les photos prises depuis hier.

-        Et pour quelle raison ? Lui demande Mirabelle.

-        Regardez dehors, le vent est fort, il commence à pleuvoir et il y a un avis de tempête pour les deux jours à venir, résultat des courses ; pour le vol en ULM c’est râpé, poil aux pieds.

-        Vous êtes certain ?

-        Absolument ! Confirme Bonemain.

Peu après, Madame Patacrêpe sert des boissons chaudes puis demande à Bonemain s’il dîne avec ses amis vacanciers. Ce dernier répond par l’affirmative, la maîtresse de maison hoche la tête et retourne à sa cuisine.
Un petit moment plus tard Bonemain semble s’intéresser de très près à une photo prise ce matin.

-        Hé mais,… Merde on n’était complètement passé à côté parce qu’on regardait tous le hangar. Je sais ce qu’ils ont mis dedans ! S’écrit-il.

Les membres de l’équipe se bousculent pour regarder l’écran. Bonemain montre du doigt quelque chose qui dépasse un peu de la haute haie qui protège l’allée qui contourne la maison.

-        C’est quoi ? Demande Aline.

-        C’est le côté arrière tribord d’un gros zodiac et sur les photos d’hier il n’y était pas alors ils l’ont apporté cette nuit ou ce matin. Répond-il.

-        C’est quoi un zodiac ? Redemande Aline.

Bonemain relève la tête et la regarde hébété et bien plus encore quand il s’aperçoit, mise à part Melle Véra, que tous les autres attendent sa réponse.

-        Qu’attends-tu pour répondre ? Lui lance Melle Véra en pouffant de rire.

-        Ben… Un zodiac c’est un bateau. Un bateau en caoutchouc avec un moteur.

-        Le caoutchouc c’est une essence de bois ? Interroge Gary.

Bonemain se tourne vers son amie Melle Véra toujours aussi Allègre.

-        Ils le font exprès ? L’interroge-t-il.

-        Non, ils réclament simplement des explications, hi, hi, hi, hi !

-        Que veux-tu que je leur dise moi ? Le caoutchouc c’est… Ben c’est…

-        C’est comme du plastic mais souple comme le cuir. Intervient Melle Véra.

-        Hé bien voilà, bordel, ce n’est quand même pas sorcier. Dit Mike en posant une main compatissante sur l’épaule de Bonemain.

-        On ne connaît pas ça chez nous et d’ailleurs on ne fabrique pas de petits bateaux en cuir. Ajoute Baccardi.

-        Nous non plus, les zodiacs sont en caoutchouc pas en cuir ! Commence à s’énerver Bonemain.

-        Oui, oui, on a compris, c’est du caoutchouc, c’est comme du cuir mais c’en n’est pas. Le calme Gary.

-        Donc vous nous dites, monsieur, que le petit bout qu’on voit sur cette image, c’est un bateau et bien entendu avec un bateau on peut aussi s’enfuir. Questionne le mage Arnak.

-        Heu là je suis un peu perdu, on va prendre tranquillement l’apéro et on reprendra cette discussion pendant le souper hein ? Propose Bonemain en éteignant l’ordinateur.

Proposition adoptée à l’unanimité.


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