Episode 41
Uniforme.
1er Juillet, temps pluvieux.
En cuisine, Melle Véra apprend à Lady Dark et Mirabelle
comment préparer les champignons à la crème. Aline, Ellie, Baccardi et le mage
Arnak regardent un film de cowboy. Gary est dans le grand salon, il écoute de
la musique autant fasciné par la mélodie que par l’appareil qui la retransmet. Il
tourne le bouton du son pour diminuer ou augmenter le volume et ceux des
tonalités pour rendre plus grave ou plus aigüe. Il colle son oreille à la toile
des enceintes et se demande par quel miracle la musique en sort. Dorine se
promène dans le château, Jack et Mike jouent sur l’ordinateur. Au fond d’un
couloir, Dorine ouvre une pièce qui jusqu’à maintenant était fermée à clef.
Melle Véra n’a pas pensé à la verrouiller après la visite des hommes de la
brigade blanche. L’espace est assez vaste, il y fait sombre à cause des volets
clos, elle devine sur le mur du fond des casiers qui grimpent jusqu’au plafond.
Devant, un comptoir poussiéreux, sur un côté deux cabines d’essayage et sur le
mur d’en face un grand miroir. Dorine allume la lumière et s’approche des
rayonnages pour voir ce qu’ils contiennent. Elle ouvre une des portes et
découvre des paquets plastifiés empilés, elle tire le premier du dessus, le
plastique transparent laisse apparaitre son contenu. Apparemment se sont des
vêtements et sur l’étiquette est inscrit le sexe, la taille et une définition
du contenu « maillot et short ». Un peu plus loin dans un autre
casier, les emballages indiquent « maillots et jupe ».
Dans les grands tiroirs du bas il y a de longues
chaussettes par paire et par pointure. Il n’est pas difficile de deviner que ce
lieu était promis à devenir la lingerie de l’institution et que ce stock de
vêtements inutilisés était destiné à mettre les élèves en uniforme.
Dorine éteint la lumière, referme la porte et descend
vers le grand salon, mais d’abord elle passe en cuisine attiré par la bonne
odeur.
Un peu plus tard elle ressort et va vers le grand salon,
Jack et Mike s’amusent toujours avec l’ordinateur. De l’entrée de la pièce,
Dorine les appelle discrètement pour ne pas que Gary la remarque. Mike va vers
elle.
-
Qu’y a-t-il Dorine ? Demande Mike.
-
Il faut que vous veniez voir, j’ai trouvé
quelque chose de bien.
Mike se retourne et fait signe à Jack de les rejoindre.
Ce dernier éteint son ordinateur et vient à eux.
Dorine les guide jusqu’à la pièce, ouvre la porte et
allume la lumière.
-
Qu’est-ce que c’est que cet endroit ?
Questionne Mike.
-
C’était une lingerie ! Répond Jack en
approchant d’un des casiers que Dorine a laissé ouvert.
Il regarde de plus près ce que contiennent les
emballages.
-
Des uniformes ! Dit-il légèrement
surpris mais comprenant très vite à qui étaient destiné ces vêtements.
-
Oui, des uniformes pour les élèves de cette
école. Précise Dorine.
-
Mais non, c’est ridicule. Rejette Jack en
rougissant légèrement.
Mike prend un paquet et regarde à son tour.
-
Ouais, ce sont bien des uniformes.
Constate-t-il. Et il y en à surement pas mal. juge-t-il en mesurant d’un coup
d’œil la largeur et la hauteur des rayonnages.
-
Je vais en essayer un ! Rigole Dorine en
cherchant sa taille.
-
Tu es folle, ils sont tout neufs et n’ont
jamais été ouvert. S’oppose Jack.
-
Et alors, je le replierais. Lui répond-elle
en trouvant un paquet étiqueté à sa taille.
-
Puis après tout, fait comme tu veux.
Soupire-t-il en ôtant la poussière d’une chaise pour s’asseoir.
Avant de passer en cabine Dorine ouvre les grands tiroirs
et en sort une paire de chaussettes à sa pointure. Cinq minutes plus tard elle
pousse le battant de la cabine et se présente en uniforme à Mike et Jack.
-
Whooooaaaaa ! Fait admiratif Mike.
-
Pas mal ! Adjoint Jack en sifflant la
fin de son compliment.
-
La jupe est ultra courte. Constate Mike les
yeux brillants.
-
A vous maintenant ! Dit Dorine en
montrant la cabine ouverte.
-
Ne compte pas sur moi. Refuse Jack.
Mike fouille dans les casiers et prend un uniforme et des
chaussettes. A son tour il s’enferme dans la cabine et s’habille. Lorsqu’il
ressort, Jack ne peut s’empêcher de rire.
-
Hoooo Mike, tu es super ! Se réjouis
Dorine en faisant le tour.
-
Il est surtout ridicule. Rigole Jack ne
comprenant pas pourquoi soudainement le visage de Mike pâlit.
Une voix derrière lui le fait sursauter.
-
Alors on s’amuse bien ?
Jack se retourne et découvre Melle Véra et Mirabelle dans
l’encadrement de la porte.
-
Heu… Je… C’est eux ils voulaient essayer et…
Bafouille Jack.
-
Et tu trouves Mike ridicule. Lui demande
Melle Véra.
-
Oui… En culotte courte ! Oui bien sûr.
Répond-il en se forçant d’un sourire.
-
Pourtant il y avait un de ces uniformes qui
t’était réservé. Lui rappelle Melle Véra.
-
A… A moi ?
-
En plus tu fais l’idiot alors que tu le
savais quand tu t’es inscrit à l’institution Lafleurodent.
-
C’est vieux tout ça. Répond-il avec un
sourire crispé.
-
Onze mois ! Il est vrai que tu as
beaucoup vieillit pendant ce temps. Ironise Melle Véra.
-
C’était juste un jeu et…
-
Tu as raison, ce n’était qu’un jeu rien de
plus. Répond-elle en se tournant vers Mirabelle. As-tu envie de jouer chère
amie ? Lui demande-t-elle.
-
Avec plaisir. Répond Mirabelle.
-
Jack tu trouves un uniforme à ta taille et tu
le mets.
-
Mais…. Mais Véra tu ne… Ha non !
Proteste-t-il.
-
Si c’est non, avec l’aide de Mirabelle je te
flanque immédiatement une fessée cul nu devant Dorine et Mike. Alors, que
décides-tu ?
-
Une fessée mais… ça ne va pas !
décline-t-il énergiquement.
-
Allons Jack, c’est bien pour ça aussi que tu
t’étais inscrit à Lafleurodent, Je me trompe ?
-
Ah d’accord, je vois ! Vous vous êtes
fait des petites confidences derrière mon dos. Si je comprends bien, tout est
dit. Vous m’avez bien eut, tout était combiné. Très bien, je vais le mettre cet
uniforme ! Enrage-t-il en se dirigeant vers les étagères.
-
Ne t’inquiète pas Jack, Dorine et Mike sont
comme toi, regardes-les, ils ne disent rien eux.
-
Ouais, évidement, je le savais bien ce qu’ils
étaient mais eux ne savaient pas pour moi ! Dit-il en entrant hargneusement dans la
cabine.
Une fois vêtu de son uniforme il sort de la cabine le
rouge au front.
-
Hé bien voilà ! Se satisfait Melle Véra.
Tu n’as jamais été aussi beau.
-
C’est ça, fiches-toi de moi ! Bougonne
Jack.
-
Pas du tout, je te trouve très juvénile et
provoquant dans cet uniforme. N’est-ce pas Mirabelle ?
-
Oui ça lui va à ravir.
-
Tu vois Jack, même mirabelle le dit.
-
Mike,
si on retourne à Fantasmaginaire, demande à Melle Véra qu’elle t’offre un
uniforme, je suis certaine que Clakett va beaucoup aimer. Prédit Mirabelle.
-
Ça c’est sûr. Ricane Mike en se mirant dans
le miroir poussiéreux.
-
Je t’en donnerai un, promis. Accepte Melle
Véra.
-
Merci !
-
D’ailleurs, ces uniformes vous vont tellement
bien que vous allez rester avec. C’est la belle saison, vous allez beaucoup
apprécier d’être cuisses nues. Annonce Melle Véra en les priant gentiment de
ramasser leurs affaires et sortir de la lingerie.
-
Ha non, pas ça ! c’est hors de
question ! Se rebiffe Jack.
Melle Véra s’approche de lui main levée, Jack recule
jusqu’au comptoir.
-
Tu désires en plus avoir une belle marque sur
une cuisse comme ça tout le monde pourra l’admirer ? Lui demande-t-elle à
parfaite distance pour le claquer.
-
Non mais c’est les autres…. Qu’est-ce qu’ils
vont dire les autres en nous voyant comme ça ?
Melle Véra se retourne vers Mirabelle.
-
A ton avis, que vont-il dire ? La
sollicite-t-elle.
-
J’en connais au moins deux qui vont trouver
Jack adorable et pour les messieurs, je crois qu’ils vont rire un peu, c’est
tout. Après, pour ce qui est de la réaction d’Ellie, je ne peux rien prévoir.
-
Tu vois Jack, rien de bien méchant. Alors, je
t’en colle une ou tu suis le mouvement sans discuter ?
-
C’est bon ça va, j’ai compris, vous avez tout
manigancé d’avance. Grogne-t-il en prenant ses affaires.
Ils font très grosse impression quand ils arrivent dans
le grand salon.
-
Tu es vraiment sexy Dorine ! S’écrit
Baccardi envouté.
-
Où avez-vous trouvé ces costumes ?
Réclame Gary d’un air amusé.
-
Ce sont les uniformes qui étaient destiné aux
pensionnaires. Répond Melle Véra.
-
Teeerrriiibbble ! s’exclame Aline.
Arnak se lève de son fauteuil pour mieux voir.
-
Ça leur va plutôt bien. Juge-t-il amusé. Mais
c’est juste pour ici, je ne veux pas les voir costumés ainsi en dehors de la
propriété. Ajoute-t-il.
-
Bien entendu ! Acquiesce Melle Véra.
Lady Dark arrive de la cuisine.
-
Ho qu’ils sont superbes ! Dit-elle.
-
Où est Ellie ? Réclame Melle Véra.
-
Après le film elle est montée au dortoir.
Répond Baccardi.
-
Aline, tu peux aller la chercher mais ne lui
dit rien, laisse-lui la surprise.
Deux minutes plus tard, Aline introduit Ellie dans le
grand salon.
-
Whooouuuu ! Alors ça c’est de la balle.
S’exclame-t-elle en faisant le tour des trois en uniforme.
-
C’était ce que j’’avais prévu pour les
pensionnaires. lui indique Melle Véra.
-
J’hallucine grave là !... Whooo !
Y’en aurait pas un pour moi ?
-
Mais bien sûr que si, Dorine va t’y emmener.
-
Tout de suite même, on devrait déjà y être.
Trépigne-t-elle d’impatience.
Un peu plus tard, Ellie est en uniforme et se pavane dans
le grand salon. Melle Véra s’approche de Dorine, Jack et Mike.
-
Comme vous avez pénétré dans une pièce sans
mon autorisation, leur annonce-t-elle, avec Mirabelle et Gary, nous nous
occuperont de vous demain.
-
Hé c’n’est pas juste ça ! Et moi ont me
laisse sur la touche ? Hé je suis vachement solidaire avec eux ! Hé
je suis avec eux ! Proteste Ellie.
-
Très bien, tu accompagneras tes camarades.
Baccardi désires-tu t’occuper d’Ellie demain matin ?
-
C’est demandé si gentiment qu’un refus serait
une offense. Répond-il réjouit de la proposition.
-
Parfait, alors à demain matin dans la classe
à 10 heures. Achève Melle Véra en retournant avec Lady Dark dans la cuisine.
Dorine entraine Mike dans le couloir.
-
Alors, j’ai bien joué, hein ?
-
Que veux-tu dire ? Ne saisit pas Mike.
-
Quand j’ai découvert la lingerie, avant de
vous appeler, je suis d’abord passé en cuisine pour dire à Melle Véra ce que
j’avais trouvé dans la pièce et lui demander à qui étaient destinés ces uniformes.
Elle à été d’abord troublée puis elle à rit en disant que maintenant le voile
était levé et qu’il était préférable qu’elle nous en dise un peu plus sur son
école plutôt que des rumeurs circulent. Elle nous a donc expliqué que ces
tenues étaient l’uniforme prévu pour des pensionnaires très spéciaux qui
aimaient jouer les élèves et appréciaient les punitions. Mirabelle en a
profiter pour lui dévoiler ce que nous étions à Fantasmaginaire. Elle, Gary,
Baccardi, le mage, Aline, toi, et moi. Lady Dark qui était présente à confirmé.
Tu aurais vu comme le visage de Melle Véra s’est illuminé. Elles ont commencé à
imaginer un scénario et m’ont demandé de participer en vous conduisant à la
lingerie et de vous forcer un peu la main pour mettre les uniformes. Elles
m’ont dit qu’elles attendraient le bon moment pour vous surprendre. Elles
rigolaient bien toutes les trois en imaginant ta tête et celle de Jack. Par
contre, elles n’avaient pas prévu que Jack refuserait d’essayer mais Melle Véra
à bien manœuvré sur ce coup là.
-
Toi tu m’étonneras toujours. Tiens je te dois
bien une bise et une deuxième pour la belle fessée qu’on va recevoir demain
grâce à toi. Jubile Mike.
Episode 42
Punition collective.
2 Juillet. Le soleil est revenu et le parc s’évapore de
toute la pluie tombée hier et cette nuit.
Le petit déjeuner est joyeux. Ellie, Dorine, Jack et Mike
portent leurs uniformes. Ces quatre là sont bien entendu de corvée de
vaisselle. Le mage Arnak semble beaucoup se divertir d’être spectateur de ce
jeu qu’il ne connaît superficiellement que par l’écrit et la parole. Une
récréation que le mage ne siffle pas car il est vrai qu’en ce moment ils n’ont
pas grand-chose à faire sinon attendre leurs cartes d’identité et que les
prédicateurs viennent en France.
Un peu plus tard, Melle Véra, Mirabelle, Baccardi et Gary
nettoient la classe afin que ce lieu retrouve un peu de vie.
10 heures, les quatre convoqués entrent dans la classe
avec un petit sourire qu’ils ne peuvent dissimuler. Melle Véra les invite à
monter sur l’estrade où Baccardi à placé deux chaises.
-
Comme je vous avais avertit hier, Annonce
Melle Véra, Dorine, Jack et Mike vous allez être puni d’être entrés et d’avoir
fouillé dans une pièce du château sans m’en avoir demandé la permission. Ellie
le sera de la même façon pour avoir proclamé être solidaire de votre bêtise.
Nous avons décidé, Mirabelle, Gary, Baccardi et moi, de vous administrer une
fessée… une fessée déculottée bien entendu. Galanterie oblige, nous
commencerons par les filles.
Le motif de la punition est
bien futile, il ne sert que de prétexte au jeu. Gary et Baccardi s’assoient sur
les chaises. Le premier appelle Dorine et le second Ellie. Elles viennent sans
discuter. D’un même geste, les deux hommes remontent leurs jupes, attrapent
l’élastique de leurs culottes et les baissent sans empressement jusqu’aux
chevilles.
Ellie et Dorine se laisse
docilement faire et ont ressent dans leur regard la même convoitise que devant
une vitrine de bijoux.
Gary et Baccardi les
basculent sur leurs cuisses et remontent l’arrière de leurs jupes plissées afin
de bien découvrir leurs fesses. Mirabelle et Melle Véra se sont installées sur
les pupitres du premier rang. Jack et Mike restent debout les mains aux dos
mais ne perdent rien du spectacle.
Gary et Baccardi se
regardent et lèvent leurs mains au dessus des rondeurs, cibles de toute leur
attention. Sur un petit signe de Baccardi, les deux mains s’abattent en même
temps sur les jolis postérieurs offerts. Deux petits « AÏE ! »
aigüe sortent d’un souffle.
En un rythme régulier, les
claques tombent et retombent ensemble. Elles sont de force très moyenne afin
dans un premier temps de bien accommoder l’épiderme. C’est un peu comme un
rodage pour lentement mettre la mécanique en température. Les deux jeunes
femmes apprécient cette délicate attention. Une soigneuse préparation qui
donnera par la suite toute la saveur d’une fessée plus appuyée.
Les belles rondeurs prennent
doucement de la teinte et nulle plainte si ce n’est que quelques
« Mmmmm ! Hoooooo ! »
Jack et Mike ne quittent pas
d’une pupille la représentation et leur short tendu sur le devant authentifie
le plaisir qu’ils ont d’en être spectateurs.
Les claques se font
légèrement plus forte et le tempo s’accélère. Ellie et Dorine commence à
Gigoter ce qui donne un petit plus charmant à la scène. Les deux paires de
fesses se rougissent davantage et parfois fuse un discret
« OUILLE ! » d’une bouche contentée.
Pas de sévérité, juste un
petit peu plus fort car nul doute que cette fessée est prévue pour durer. Les
deux hommes ne faiblissent pas et frappent en une synchronisation parfaite.
La beauté du geste souple,
les fesses qui s’aplatissent et rebondissent, les reins qui se cambrent et les
belles jambes qui dansent en rythme.
Parfois, quand les cuisses
s’écartent, on perçoit leurs petites lèvres humectées de plaisir.
Les claques se s’succèdent et
le son particulier et clair des lunes frappées résonne dans la classe.
Les mains prennent plus
d’altitude et redescendent avec davantage d’énergie, la fessée se veut
maintenant plus punitive, mais peut-elle encore l’être puisque si bien préparé
elle en devient que plus enchantée.
Les fesses sont bien rouges
et les deux jeunes femmes se trémoussent, les dos s’incurvent et elles battent
la mesure de leurs jambes.
Les
« AYAYAÏE ! » les « HOO, HOU, HAAA ! » ne sont
que l’expression d’un réflexe vocal qui ne reflète pas la réalité d’une
souffrance maîtrisée.
Gary et Baccardi offrent et
s’offrent du plaisir et les entrecuisses des Jeunes femmes en sont imbibées.
C’est le bouquet final, les
mouvements s’accélèrent et les claques ne sont plus synchronisées. Elles
tombent à la volée bien fortes et presque sans intervalle. Une bonne série
qu’on ne peut compter. Les jambes et bras battent l’air, les corps ondulent et
tressautent… Puis, ce sont les dernières qui tombent et l’ultime, celle où la
main rassasiée ne se relève plus, elle reste collée un instant sur la rougeur
et glisse doucement sur les reins. Une main qui après avoir châtié devient
consolante, apaisante, fraternelle… Ellie et Dorine laisse couler ce moment de
tendresse comme le sable fin d’un sablier.
Gary et Baccardi aident
gentiment les filles à se remettre debout. Elles remontent leurs culottes les
visages collés de cheveux et le sourire pleinement satisfait.
C’est maintenant au tour de
Jack et Mike. Melle Véra et Mirabelle prennent place sur les chaises tièdes.
Comme pour les précédentes, les jeunes hommes sont déculottés et s’exposent
sexes bien droits. Une fois shorts et slips au chevilles, ils sont courbés sur
les cuisses de leurs fesseuses.
Melle Véra est expérimentée
mais Mirabelle n’est encore qu’une débutante. Gary se place bien en face d’elle
et par gestes, si nécessaire, il la guidera.
Une répétition presque
identique mais de la part des deux jeunes hommes un petit peu plus de plaintes.
Seraient-ils plus douillet ?
Du pupitre Gary surveille et
de temps en temps, par quelques signes il orchestre la main de Mirabelle.
Mike ne semble pas y trouver
a redire et présente bien ses fesses aux claques répétées de son apprentie
fesseuses.
La montée en puissance de la
fessée réjouie les spectateurs et il serait injuste de prétendre qu’elle à un
effet contraire sur les acteurs.
Une fessée certes très
classique mais elle représente à elle seule la base de ce fantasme. Les fesses
masculines se teintent d’un seyant rouge qui les fait reluire à les rendre
admirables. Jack et Mike en savourent toutes les claques qui, si bien
administrées, les pousseraient volontiers à l’indigestion.
Le final est un cran plus
sévère. Serait-ce parce que la fesse d’homme demande plus de rigueur ou bien
que les fesseuses estiment qu’elles le méritent ?
Quand le silence vient et
que Jack et Mike se relèvent, ils ne marquent pas moins de satisfaction
qu’Ellie et Dorine.
Mirabelle fait les gros yeux
à Mike en s’apercevant de la grosse tache de sperme qui orne sa jupe. Aucun
reproche et sans doute même une fierté de réussir, malgré son inexpérience, à
conduire Mike jusqu’à la jouissance.
La robe de Melle Véra est
resté nette, pourtant, Jack à apprécié avec autant d’excitation. On peut
imaginer que comme c’est la première fessée qu’il reçoit de Melle Véra, il
s’est retenu car il n’a pas la même affinité avec elle que Mike avec Mirabelle.
Visiblement, tout le monde
est content. Ellie, Dorine et Mike remontent au dortoir pour se laver.
Mirabelle va dans sa chambre
pour changer de robe. Melle Véra, Baccardi et Gary sortent dans le parc.
Jack revient au grand salon.
Le mage Arnak est seul plongé dans un livre relatant l’histoire de Léonard de
Vinci. Un rayon de lumière traverse la grande fenêtre et embrase la silhouette
de l’homme. Il lève les yeux en entendant Jack allumer son ordinateur.
-
Alors cette terrible fessée ? Lui
demande-t-il en plaisantant.
-
Ho non, pas terrible mais excellente !
Répond Jack en s’approchant du mage.
-
Montre-moi un peu ça ? Sollicite le
mage.
Jack tire vers le haut l’ourlet de son short pour
découvrir un peu sa fesse gauche.
-
Effectivement, c’est rouge. Constate le mage
en rigolant. C’est un bien étrange fantasme. Ajoute-t-il en se recalant dans
son fauteuil.
-
Oui… Je me pose souvent cette question aussi.
Pendant longtemps j’ai pensé que j’étais anormal et cela m’arrive encore. Lui
répond Jack en recouvrant sa fesse.
-
Cela aussi est étrange… Les fantasmes, si
divers et curieux qu’ils peuvent l’être, n’engendrent pas de culpabilisation à
Fantasmaginaire.
-
Surtout ne changez rien. Préconise Jack en
rejoignant son ordinateur.
-
Même si on le voulait, on ne pourrait pas,
c’est dans les racines profondes de Fantasmaginaire. Répond le mage en
replongeant dans son livre.
Chose promise,
chose due !
3 Juillet en fin de matinée le faussaire apporte les
cartes d’identité et constate que les moustaches de Gary ont bien poussée. Dans
quatre ou cinq jours elles seront parfaites. Chacun admire la photo présenté
sur sa carte. Melle Véra, Ellie et Jack comparent avec leurs vrais papiers
d’identité pour y déceler d’éventuels défauts.
-
Mesdames et messieurs ! Les interpelle
le faussaire. Sur chacune des identités, il y a un nom un lieu et date de
naissance plus une adresse. A partir d’aujourd’hui, ils seront vos identités
l’égales au regard des autorités, Votre vrai nom, naissance et adresse ne sont
plus rien, ne l’oubliez pas si vous vous faîtes contrôler.
-
Excusez monsieur s’approche le mage avec en
main les trois triangles d’or dus. Vous nous avez bien dit que ces noms,
adresses, naissances correspondaient à d’autres personnes existantes.
-
C’est exact, ces identités sont des doublons.
-
Mais si on vient à être contrôlé en même
temps que cette personne ?
-
Cette probabilité est proche de zéro
monsieur. Une seule chose peut arriver, c’est s’il y a une enquête criminelle
menée à l’encontre d’une de ces personnes, vous serez donc recherchés au même
titre qu’elle mais là encore, nous prenons de grande précaution dans notre
choix. Ce sont des personnes qui n’ont aucun antécédent et aucune inscription
au fichier. Maintenant, vous savez aussi bien que moi que le risque néant
n’existe pas.
Le mage Arrnak se tourne
vers Melle Véra. Cette dernière lui fait un signe de tête lui indiquant que les
cartes sont parfaites et qu’il peut verser le solde aux faussaires.
Une nouvelle de Childéric
Halebard. La municipalité de Roubaix accepte qu’il tienne meeting le 12 juillet
dans le stade. Cette ville est trop éloignée et y entreprendre un raid semble
déraisonnable. Cette ville leur est inconnue et le temps bien trop court pour
qu’ils y prennent de sérieux repères. Il faut frapper à coup sûr en limitant au
maximum les écueils.
Cet après midi pour la
première fois ils sortent tous en ville. Pour Jack, Mike, Ellie et Dorine, pas
d’uniforme.
Ils font les vitrines et
découvrent encore mille merveilles. Ellie, Dorine et Mike lorgnent sur le
marchand de glace et en bonne camarade Ellie leur offre un double cornet. Faut
dire que ni Dorine ni Mike ne possèdent de monnaie du pays. C’est d’ailleurs
également un point qu’il va falloir régler car chaque membre du groupe doit
avoir une certaine autonomie et ne pas se retrouver dépourvu s’il y a
séparation pour une raison ou une autre. Melle Véra indique qu’il y a dans les
villes des commerces de métaux précieux où l’or, l’argent et les bijoux se
vendent et de préciser que les acheteurs ne sont pas très regardant sur la
provenance.
En passant devant un
supermarché, Ellie y entre et demande à ce qu’on l’attende. Un peu plus tard,
elle en ressort avec un sac dont elle tient à tenir secret son contenu.
La nuit tombe tard en ce
début juillet, Baccardi le mage Arnak et Gary flânent au bord de la rivière.
Jack et Ellie apprennent à Dorine et Mike à jouer au Badminton. Mirabelle,
Aline, Lady Dark et Melle Véra Papotent assises sur la pelouse.
C’est vers 10 heures que
tout le monde rentre au château. Au dortoir, Mike allongé sur son lit, se
régale d’une bande dessinée trouvée dans la bibliothèque. Sur le lit d’à côté,
Jack rempli les cases de mots croisés. Les filles reviennent de la douche en
parfumant le dortoir de légères vapeurs d’essences féminines.
Elles sont bien joyeuses, de l’autre côté de
la cloison, on les entend chuchoter et éclater de rire.
Quelques minutes plus tard
Ellie passe du côté garçon et interpelle Jack.
-
Te souviens-tu de ce que je t’avais
promis ? Lui demande-t-elle.
-
A quel sujet ? Interroge Jack l’air
surpris.
-
Au sujet de la fessée.
-
Rappelle-moi car ça ne me reviens pas.
-
Je t’avais dit, que si je recevais rapidement
une fessée je t’offrirais la branlette du siècle. Rappelle Ellie avec un petit
sourire.
-
Ellie, ça ne va pas ! Merde, on n’est
pas tout seul. S’offusque Jack en regardant Mike se bidonner sur son lit.
-
Je me fiche des autres moi. Je suis une nana
de parole, chose promise, chose due.
-
Et bien tu fais comme si tu l’avais fait, je
suis content, tu es contente et maintenant bonsoir Ellie.
-
Non, non, non, Moi je tiens toujours mes
promesses. Répond-elle en s’approchant du lit de Jack.
-
Ecoute Ellie, je n’aie pas envie de rire ce
soir alors ce sera peut-être pour une autre fois si tu le veux bien.
-
Pas question, c’est ce soir !
Insiste-t-elle en attrapant la ceinture de sa culotte de pyjama pour la lui
baisser.
Jack lui retire rudement la main.
-
Ça suffit tes conneries Ellie ! Lui
crit-il.
Cette dernière siffle. Aline, Dorine et Lady dark
Arrivent. Deux ont dans les mains un jeu de longues cordes. Jack réalise de
suite leur manœuvre, il se redresse et tente de sauter du lit pour courir vers
la porte. Les jeunes femmes lui sautent dessus avant qu’un seul de ses pieds
touche le sol. Jack se débat, hurle et demande de l’aide à Mike. Ce dernier ne
bouge pas d’un millimètre, pourtant il sait qu’il pourrait à deux résister et
empêcher le déroulement prévu des opérations, mais il sait aussi que les filles
reviendraient régulièrement à la charge jusqu’à ce qu’elles gagnent.
-
Faux frère ! Vendu ! Hurle Jack à
l’adresse de Mike mais ce dernier reste tranquillement allongé sur son lit en
profitant hilare de la mêlée.
Lady Dark à réussi à bâillonner Jack et Aline lui à ôter
son pantalon de pyjama. Ellie et Dorine en profite pour lui lier les chevilles
et passe la corde sous le lit pour l’attacher aux deux pieds.
Jack résiste encore mais ses efforts son vain. Dorine lui
à retiré sa veste. Lady Dark et ellie lui maintiennent les mains pendant
qu’Aline les lui attachent et tire la corde pour la nouer aux pieds de devant.
Jack est maintenant nu, allongé sur le dos, parfaitement amarré et à la merci
d’Ellie.
-
Mike, s’il te plait, tu peux nous
laisser ? Lui demande-t-elle.
-
OK, je vais faire un tour dans le couloir. Se
lève-t-il en prenant sa bande dessinée.
-
On te préviendra quand tu pourras revenir.
Une fois dans le couloir, Mike voit arriver Gary et
Baccardi.
-
On a entendu crier, Que se passe-t-il ?
Demande l’ex capitaine.
-
Ce n’est rien. Ce sont les filles qui donnent
un cours d’éducation sexuelle à Jack. Répond Mike avec un petit sourire en
coin.
-
Ho ben alors rien de bien grave. Fait Gary en
faisant demi-tour.
-
Il a bien de la chance lui. Soupire Baccardi
en imitant Gary.
Mike va chercher une chaise dans les sanitaires, la place
dans le couloir, s’assoit et reprend le cours de sa bande dessinée.
Dans le dortoir, c’est la franche rigolade. Les jeunes
femmes admirent les abribus de Jack en détaillant sa forme, la grosseur de ses
bourses et le poids supposé du tout.
-
Je trouve que les poils ne sont pas
esthétiques. Estime Lady Dark.
-
Tu as raison, c’est bien plus beau sans,
comme Mike. Nous allons donc le raser. J’ai des rasoirs jetable dans ma
trousse. Dit Ellie.
-
Mooonooo, Hanhhnooo ! Proteste Jack
derrière son bâillon.
-
Il faudra faire attention de ne pas le
couper, se serait dommage. Emet Dorine.
-
S’il y a coupure, il n’y a rien de mieux que
l’alcool à 90 ou a défaut de l’eau de Cologne pour désinfecter. Expose Ellie en
allant chercher sa trousse de toilette.
-
HAARRRMNNNOOOO ! Tente d’hurler Jack.
-
Comprend-nous Jack, il ne faut surtout pas
que ça s’infecte, mais ne t’inquiète pas, c’est moi qui te raserais, en tant
qu’infirmière j’ai l’habitude.
-
Mmmmuunnnooooohhhmm !
-
Parfait, je vois que tu es d’accord.
-
Nnnmooonnnnhhoomm !
-
Ne me remercie pas, j’adore faire plaisir.
Ellie est revenu avec me matériel, elle remet le sachet
de rasoir à Aline et d’un coup d’aérosol dépose une grosse noix de mousse sur
le sexe à traiter. Avec sa main elle étale en prenant bien soin d’en mettre
sous les bourses. Par ses attouchements crémeux, le pénis prend un peu de
volume.
-
Continue Ellie, plus il est raide, plus c’est
facile de raser. Lui explique Aline.
Le jeune homme ne peut contenir son érection et en
quelques secondes, son membre est complètement dressé au centre d’un nuage de
mousse.
-
Parfait ! Apprécie Aline en tâtant la
dureté du pénis.
Elle demande qu’on lui apporte une serviette et commence
le rasage. Elle prend son temps, manipule le membre comme un joystick pour le
basculer à droite, à gauche, devant, et derrière. Aline est experte, la double
lame glisse sur la peau tendre. De temps en temps, Jack émet des petits «
Mmmmm, Mooohhhh ! » qui font bien rire les jeunes femmes. Aline
demande à ce qu’on lui écarte un peu les cuisses pour qu’elle puisse raser sous
les testicules et le périnée. Jack serre ses cuisses avec force. Ellie lui
balance trois ou quatre magistrales claques sur le côté des fesses, Jack se
soumet en manifestant son mécontentement. Lady Dark et Dorine desserrent les
liens des pieds pour mieux le lier jambes bien écartées.
Un petit moment plus tard, le sexe masculin s’expose
aussi nu qu’un ver. Ellie passe ses mains à l’huile d’amande douce.
-
Maintenant à moi ! Annonce-t-elle. Tu
vas voir comme c’est doux Jack, tu vas m’en dire des nouvelles. Lui dit-elle en
commençant à lui frictionner les bourses.
Lady Dark, Aline et Dorine se sont assises sur le lit de
Mike afin de profiter pleinement du spectacle.
Ellie travaille tendrement ses testicules en les faisant
rouler sous ses doigts. Ce dernier ferme les yeux et tremble des cuisses. Elle
le décalotte très très lentement et ensuite tourne son doigt autour du gland
découvert ? De temps en temps elle le presse entre deux doigts, relâche et
recommence. Les riens de Jack décollent du lit.
-
Je te l’avais dit mon copain, ce soir tu as
le droit à la branlette spécial Ellie. Lui dit-elle en continuant à jouer
longuement avec son gland.
D’un doigt elle titille le méat puis glisse le long du
frein et enserre de toute sa main la verge, elle le masturbe un court moment
puis lui donne de gentilles et douces claques du bout des doigts. Le pénis
bascule de droite à gauche entre les deux mains. Elle le reprend bien dans sa
paume et d’un lent mouvement de va et viens elle le tire de bas en haut. Jack
se tend et glousse dessous son bâillon. Elle poursuit en caressant ses bourses
de son autre mains Elle fait un signe de
tête à Lady Dark, Cette dernière se lève et sort du dortoir.
Dans le couloir Mike l’interpelle.
-
Alors, ça se passe bien ?
-
A merveille, qu’est-ce qu’on s’amuse. Lui
répond Lady Dark.
-
Tu vas où ?
-
Je vais en cuisine chercher des glaçons.
-
Ha bon… Pendant que tu y es, tu peux me
remonter une dizaine de petits beurres.
-
Pas de problème Mike.
Lady Dark est de retour dans le dortoir avec un pochon de
glaçons. Ellie masse le périnée de Jack. Le pénis de ce dernier est tendu au
maximum et ses tremblements sont de plus en plus nerveux. Ellie attrape le
pochon de glaçons et lui plaque sur la totalité du sexe. Jack décolle du
matelas en hurlant. Hurlement largement étouffé par le bâillon.
-
Ho mon
copain, je sentais que tu allais te laisser aller. Non, non, non, pas tout de
suite, je n’aie pas terminé. Rit-elle en maintenant fermement le sac glacé sur
le sexe de Jack. Au bout d’une bonne minute elle le retire. La verge du jeune
homme est toute flétrie et rouge de froid.
Elle se renduit les mains d’huile d’amande douce et de
chaque coté de la hampe les pose et remonte en tirant vers le haut. Une
trentaine de seconde suffise pour que le sang renfle à nouveau la verge. Ellie
tiraille sur le prépuce et tend le frein au maximum. Jack gigote de droite à
gauche en émettant des « Hoooommmnnnoo ! » Ellie redescend vers
les bourses, les prend à pleine main et les pétrit comme une boule de pate à
modeler sans presser exagérément. Jack se tortille et on ne doute pas que ce
soit de plaisir.
Pendant ce temps dans le couloir, Mirabelle sort de sa
chambre pour aller aux toilettes.
-
Mais, que fais-tu dans le couloir, tu n’es
pas encore couché ? Interroge-t-elle Mike.
-
Ben non, j’attends qu’on vienne me chercher.
Répond-il.
-
Je ne pige pas, raconte ?
-
Ellie est en train d’expliquer à Jack la
manipulation d’objet fragile. Dit Mike en affichant un large sourire.
-
D’objet fragile ?
-
D’objet très fragile et délicat !
Ajoute Mike narquoisement.
Mirabelle réalise de quoi il parle, elle pouffe et entre
dans les toilettes.
Dans le dortoir, Jack est toujours aux bons soins d’Ellie
qui s’amuse à lui vriller la verge, relâcher et recommencer. Un peu plus tard,
faisant un anneau avec son pouce et
l’index elle l’entoure juste au dessous du gland et serre, de son autre main du
bout des doigts elle le masturbe très lentement et plus elle sent Jack
roucouler de plaisir sous le bâillon, plus elle serre son anneau. Il n’en peut
plus et se tortille dans tous les sens, elle écarte son pouce et index et
continue sa masturbation à pleine main. Jack se raidit en tremblant de tout son
long, le sperme gicle puissant, la main d’Ellie ralenti le mouvement, Jack se
vide en une longue éjaculation. Le sperme arrose son torse et coule sur la main
d’Ellie. Encore quelques soubresauts et les dernières gouttes puis le corps du
jeune homme se tasse sur le matelas, Jack est en sueur. Ellie lui dépose un
doux baiser sur la joue.
-
Je te l’avais dit que tu aurais droit à une
belle branlette made in Ellie. Lui glisse-t-elle à l’oreille.
Les pieds et les mains de Jack sont libérés et Lady Dark
l’aide à remettre ses jambes. Aline et Dorine lui rattachent les mains au dos.
-
Huuumphffff ! Ne comprend pas Jack.
-
On va te faire prendre ta douche mon grand et
promis ensuite on te remet au lit. Lui dit Ellie.
Les filles sortent dans le couloir en entrainant Jack
vers les sanitaires.
-
Que faîtes vous ? S’étonne Mike.
-
Il s’est aspergé partout le cochon, on va le
laver. Lui répond Dorine.
Ellie et Dorine se sont mise toutes nues et passe Jack à
la douche. Elles lui ont ôté son bâillon mais il ne proteste pas et se laisse
docilement savonner. Elles y mettent du cœur surtout de bien s’appliquer à lui
nettoyer la partie sensible qui ne tarde pas à reprendre de la dureté et de la
longueur ce qui lui rappelle de bons souvenirs à l’hôtel de l’ambassade.
Tout propre il est sorti de la douche, Lady Dark et Aline
s’occupent de le sécher et le rebâillonner. Pendant que Dorine et Ellie
remettent leurs chemises de nuit, Elles emmènent Jack aux toilettes.
-
Mais bordel, qu’est ce que vous fabriquez
avec lui ? S’étonne encore Mike en les voyant pousser Jack les mains
toujours liées au dos.
-
Faut
bien qu’il aille aux toilettes avant d’aller au lit. Lui répond en rigolant
Lady Dark.
Quelques minutes plus tard elles ressortent en riant et
l’entrainent vers le dortoir. Jack se laisse docilement conduire et ne semble
pas si mécontent de son traitement, sans doute ne sait-il pas encore ce que les
filles lui réservent.
-
C’est bientôt fini Mike, tu vas pouvoir
revenir. Lui annonce Aline.
-
Ce serait bien car j’ai terminé ma bande
dessinée moi. Peste-t-il commençant à trouver le temps long.
-
On te préviendra. Fait Ellie en sortant des
sanitaires avec Dorine.
Dix minutes sont écoulées quand Lady Dark vient chercher
Mike. Sa surprise est grande quand il rejoint son lit et découvre Jack pieds et
poing liés portant une étrange culotte.
-
Mais qu’est ce que c’est que ce short ?
Demande-t-il en passant sa tête de l’autre côté de la cloison.
-
Ce n’est pas un short Mike, c’est une culotte
pour protéger de l’incontinence. Lui répond Ellie. Je l’avais acheté au grand
magasin cet après midi, ha, ha, ha, ha ! Ajoute-t-elle en se bidonnant.
-
C’est
quoi ça l’incontinence ? Se tourne-t-il vers le pauvre Jack.
-
Nddnnéémoooo vaannmm. Lui répond ce dernier
ne pouvant articuler à cause du bâillon.
Mike lui dénoue et lui
libère la bouche pour qu’il puisse s’expliquer.
- Alors toi, tu m’as laissé
tomber alors ne m’adresse plus la parole ! Plus Jamais ! Lui
hurle-t-il.
Ellie et Dorine reviennent
lui reposer le bâillon.
-
Il ne
faut pas lui retirer Mike, tu vois, il ne dit que des méchancetés. Ricane Ellie
en resserrant bien le double nœud.
-
Oui mais c’est quoi l’incontinence ?
redemande Mike.
-
C’est comme pour les bébés, tu te rappelles
comment les parents faisaient avec les petits.
-
Ce n’était pas des trucs comme ça, c’était
des langes en vrai tissu. Répond-il.
-
C’est pareil mais c’est bien plus pratique.
Lui explique Ellie.
-
Bordel, vous n’allez pas… Non… Vous n’allez
pas le laisser comme ça toute la nuit quand même ?
-
Mais si ! Eclate de rire Ellie.
-
Et s’il a envie ?
-
Il se retiendra ou bien… Ha, ha, ha,
ha ! Bonne nuit Mike.
-
Raaoognnmmm, hrroommnnaannhh, oonngnmm !
Fait Jack en lançant de gros yeux noirs à son voisin de lit.
-
Hey moi je n’y suis pour rien, tu te démerdes
avec les filles. Lui renvoie Mike en éteignant la lumière.
La vengeance de
Jack Klak.
4 Juillet, 4 heures du matin, Jack se met tant bien que
mal en travers de son lit et du bout des pieds touche le dos de Mike. Ce
dernier se réveille et se retourne.
-
Qu’est-ce que tu veux lui chuchote-t-il les
yeux à moitié clos.
Jack ne peut parler mais lui fait des signes de tête. Ses
yeux implorent. Mike s’approche dans la pénombre. Jack émet de discret
« Mmmmm » en faisant comprendre qu’il à quelque chose à dire.
-
Faudrait savoir, tu ne voulais plus
m’adresser la parole et maintenant tu veux causer ? Lui répond Mike
toujours à voix très très basse pour ne pas réveiller les filles.
-
Mhhhhmmm !
-
Bon, je vais te retirer le bâillon mais je te
préviens si tu hurles, je t’en colle une. Compris ?!!
-
Moouuuhh ! Fait Jack en remuant
positivement la tête.
Dans le noir, Mike défait avec difficulté le nœud. Une
fois la bouche libéré Jack lui glisse dans l’oreille qu’il ne pourra plus se
retenir longtemps et le supplie de lui détacher les pieds et les mains pour
qu’il puisse se rendre aux toilettes discrètement. Mike ne peut le laisser dans
cet état et défait les cordes qui l’entravent.
-
Tu fais doucement hein. Ne vas pas réveiller
les filles parce que là, on serait mal barré. A ton retour je te remettrais les
cordes et le bâillon. D’accord ?
-
Ouais c’est Ok, merci t’es un pote. Chuchote
Jack en se dirigeant à petit pas et courbé vers la porte du dortoir à peine
visible.
Un peu plus tard il revient soulagé et Mike lui remet les
liens et le bâillon.
7h45. Lady Dark ouvre les volets côté fille et Mike de
son côté. Ellie et Dorine se précipite sur Jack et tire sa culotte.
-
Ho mais c’est un grand garçon, il n’a pas
mouillé ses couches. Constate Ellie.
-
Dommage on l’aurait lavé, talqué et remis en
couche pour la journée. Regrette Dorine.
-
Mooo Meehhhtthh Mé miihhphii !
-
On ne comprend rien… On va te retirer tout
ça. Dit Ellie en commençant à le délivrer.
-
Vous êtes des chipies et toi Ellie, je te
garde un chien de ma chienne ! crie-t-il une fois libre.
-
Vraiment Jack tu n’as aucune reconnaissance.
Je suis sûr qu’aucune nana ne t’a masturbé aussi bien. Se vante Ellie.
-
Rien à dire là-dessus mais pour le rasage et
la couche culotte, tu me le payeras.
8h30, tout le monde est au petit déjeuner.
-
Alors ce cours d’éducation sexuelle ?
Demande Gary à Jack en apposant un rictus moqueur.
-
Heu… oui, c’était très instructif. Répond
Jack en rougissant.
-
Je vois qu’on s’amuse bien à Lafleurodent.
Constate en riant Melle Véra.
Aucune nouvelle informations intéressante si ce n’est que
la confrontation entre partisans de Horace et ceux de Childéric en Afrique
centrale commence à dégénérer en guerre civile. Le conseil de l’ONU se réuni
mais apparemment il y à de graves divergences entre les nations. Certains pays
menacent de quitter l’assemblée.
-
C’est le début de la crise et ça va mal se
terminer. Suppute Jack.
-
Tu as raison, il faut absolument mettre hors
jeu ses deux marioles. Dit Gary en tapant du poing sur l’accoudoir.
Pour le moment, rien à faire ils ne peuvent intervenir
tant que les prédicateurs ne sont pas à bonne portée.
Après midi ensoleillée, Jack prend Mike à part.
-
Hey Mike, tu n’as pas une idée pour attirer
Ellie seule dans un coin ? Lui demande-t-il.
-
Toi tu as quelque chose derrière la tête.
-
Oui, je vais me venger et j’ai trouvé
comment. Avoue Jack.
-
Peut-on savoir ?
-
Tu le sauras si tu m’aides mais autant te
dire que tu ne seras pas déçu. Melle Véra à ouvert beaucoup de portes dans ce
château depuis la visite de la brigade blanche et j’ai trouvé pour Ellie un
coin très douillet pour passer une bonne après midi.
-
Bien… A mon avis, le meilleur moyen de
l’attirer quelque part c’est par la gourmandise. Dis-lui que dans le
congélateur il y a des glaces. Elle aime trop ça pour résister.
-
Si c’est moi qui lui dis, elle va se méfier.
-
Alors je m’en charge, attend dans la réserve
où il y a le congélateur.
-
J’y vais, juste le temps de prendre le
bâillon et une corde. Exulte Jack.
Mike cherche Ellie pendant un petit moment puis fini par
la trouver au soleil dans une chaise longue derrière le château.
-
Salut la branleuse ! Dit-il joyeusement
en s’approchant d’elle.
-
Ha, ha, ha ! Avoue que ça te plairait
aussi ?
-
Oui mais sans la couche ou alors tu ne
m’attaches pas.
-
Mais si, sinon ce ne serait pas marrant.
-
Parce que tu trouves ça drôle toi d’obliger
un mec à se faire dessus ?
-
Ben oui, c’est super et qu’est-ce qu’on se
serait fendu la gueule. Dit-elle.
-
Ouaff, j’ai peut-être pris une trop grosse
glace moi. Souffle Mike en s’asseyant sur l’herbe.
-
Une glace ? où tu as trouvé de la
glace ? S’intéresse Ellie les yeux brillants.
-
Dans la remise, il y en à dans le
congélateur. Lui indique Mike.
-
Tu es sérieux là ?
-
Bien sûr, tu veux que je te montre ? Se
propose-t-il.
-
Bah un peu mon neveu ! Se
pourlèche-t-elle déjà les babines.
Mike l’accompagne jusqu’à la remise et la fait entrer en
première. Jack est à l’affut, il lui saute dessus. Mike ferme la porte.
-
Ha les traites ! Hurle Ellie.
Jack l’attrape par les
cheveux pendant que Mike tente avec bien des difficultés à lui mettre le
bâillon. Ellie se défend et Jack est obligé d’user d’une prise instruite
pendant les entrainements à la caserne pour l’immobiliser, mais Ellie continue
à hurler au secours.
-
Mike vite, attache-lui les mains et remet lui
bien le bâillon sinon on va l’entendre dans tout le château.
Une fois parfaitement
bâillonnée et les mains bloquées, Mike jette un œil dans le petit couloir
desservant la cuisine et le réfectoire. Personne n’a entendu et apparemment les
environs sont déserts. Ils tirent Ellie vers le hall, le traversent rapidement
et Jack les guide dans le couloir de la bibliothèque. Au milieu de celui-ci est
une porte qui jusqu’à maintenant était fermée. Jack tourne la poignée,
ouvre et allume la lumière. Un large escalier de grosses pierres taillées
descend en spirale en dessous du château. Une légère odeur d’humidité remonte
aux narines. Ellie tente de se défaire des deux jeunes hommes mais ceux-ci la
maintiennent fermement et la force à descendre.
-
C’est quoi, c’est la cave ? Demande
Mike.
-
Mieux que ça, j’ai découvert ce lieu ce
matin, tu vas voir c’est horriblement abominable. Répond Jack en affichant un
sadique rictus.
Une quarantaine de marches
plus bas, ils arrivent dans une espèce de vestibule vouté. A leur droite un
passage donne dans une autre pièce, ils y entrent et en face sont trois grosses
portes en bois percées d’un petit regard barreaudé. Jack ouvre celle du milieu.
Mike et Ellie découvrent une cellule exigüe équipé d’un lit de camp, d’un pot
de chambre et d’un rouleau de papier toilette dans son emballage plastifié.
-
Voilà ta résidence jusqu’à ce soir !
Annonce Jack à Ellie.
-
Muuuooonnhhh, umoo, mmmuuuhrr !
-
Mike, défait lui le bâillon, je voudrais
connaitre ses premières impressions.
Bâillon ôté, Ellie inspecte la cellule d’un regard
affolé.
-
Jack, s’il-te plait, jette moi dans les
ronces toutes nue si tu veux mais je t’en prie, ne me laisse pas ici !
Jack, j’ai la trouille des rats et des souris. Supplie-t-elle.
-
Parait qu’il y en a des gros de rats dans les
sous-sols du château. Remet lui le bâillon Mike ! Commande sans pitié
Jack.
-
JACK… Mmeenn ! JA…
Mmmuuunnuuoonhh !
-
Voilà, c’est fait. Et maintenant ?
Demande Mike.
-
Tiens-la bien, j’enlève le bas. Répond Jack
en ôtant la jupe et la culotte d’Ellie.
-
Mmmooonnnn, mmmooonnn !
-
Mais si tu vas voir, les rats vont se rincer
l’œil, surtout les mâles. Ha, ha, ha ! Ricane Jack.
-
Laisse-lui ses chaussures, ce n’est pas très
propre au sol. Constate Mike en frottant sa semelle sur le dallage poussiéreux.
-
Ouais, tu as raison… On n’est pas des
sauvages quand même.
-
Si tu veux aussi lui retirer le haut ça ne va
pas être pratique avec ses mains attachées.
-
Défait lui la corde, on va se débrouiller.
Une fois les mains libre, Ellie pousse Jack contre le mur
et essaye de sortir de la cellule. Mike la ceinture et lui tord un bras dans le
dos sans trop forcer pour ne pas lui faire vraiment mal.
-
Ma pauvre Ellie, tu n’as pas de chance avec
nous. Nous avons eut un entrainement commando à Fantasmaginaire. Lui dit-il en
tirant sur le maillot.
Cinq minutes plus tard, excepté ses chaussettes et
chaussures, Ellie ne porte plus rien d’autre. Jack lui rattache les mains au
dos.
-
Je sais, ça ne va pas être pratique pour aller
sur le pot mais je te laisse les jambes libres. C’est quand même mieux que
d’être attaché sur un lit avec une couche et d’être obligé, si on ne peut plus
se retenir, de se faire dessus. Tu vois je ne suis plus humain que toi.
J’espère que tu me remercieras. Lui dit Jack en arborant un sourire
Jubilatoire.
-
Moouuunnnoomm !
-
De rien Ellie, de rien. Bon maintenant on va
te laisser et je pense, si on ne t’oublie pas, qu’on viendra te chercher pour
le dîner. A moins que d’ici là les gros rats aient fait un festin de toi.
Provoque Jack.
-
Mmmuuunnhhhrrrooo !
-
Tu m’excuseras mais j’éteins la lumière parce
que l’électricité coûte chère. Achève-t-il en appuyant sur l’interrupteur
extérieur, en verrouillant la porte et enclenchant le lourd loquet de fer.
-
Bouah c’est sordide cet endroit. Fait Mike en
inspectant mieux le lieu.
-
A mon avis, c’était réservé aux élèves
récalcitrants.
-
Regarde un peu ce gros martinet suspendu au
clou. Montre Mike.
-
Hou, il est costaud celui là… Hum, cet
endroit était vraiment prévu pour des élèves très récalcitrants. Rigole Jack.
Derrière eux, Ellie donne de gros coups de pieds dans la
porte. Jack s’approche du regard.
-
Tu peux faire autant de bruit que tu veux ma
belle, personne ne t’entendra de là-haut, ha, ha, ha, ha !
-
Hey Jack, il fait un peu frais ici, on
devrait quand même lui donner une couverture. Préconise Mike.
-
Tu as raison, je ne voudrais pas qu’elle
attrape un rhume.
Un peu plus tard, Mike et Jack redescendent et déposent
une couverture à Ellie.
-
Les mains attachées dans le dos ce n’est pas
très pratique pour se couvrir mais je suis certain que tu vas trouver une
combine, ha, ha, ha, ha ! Lui lance Jack en refermant la porte du cachot.
-
Qu’est-ce que je fais de son uniforme ?
Demande Mike.
-
On ne peut pas le laisser ici, c’est trop
sale. On le monte au dortoir.
Beaucoup plus tard dans le grand salon. Le mage Arnak
joue aux échecs avec Jack. Mike est sur l’ordinateur et Baccardi plongé dans un
livre de Jules Vernes.
Aline et Lady dark arrivent.
-
Personne ne sais où se trouve Ellie, nous la
cherchons partout ? Interroge Aline.
-
Pourquoi ?
-
Parce qu’elle devait nous aider pour le
dîner. Répond Lady Dark.
-
Elle m’a dit qu’elle allait vers la rivière.
Peut-être est-elle partie à la pêche. ment Jack sans lever le nez du plateau de
jeu.
-
Elle à trouvé une bonne excuse pour ne pas
nous donner la main. Bon, ce n’est pas bien grave. Soupire Lady Dark en
tournant les talons.
Un peu plus tard c’est Dorine qui cherche Ellie pour une
partie de Badminton et Jack lui fait la même réponse.
19 heures. Dans la cuisine le mage Arnak et Gary dresse
la table. Jack et Mike montent au dortoir chercher l’uniforme d’Ellie et
redescendent discrètement dans le couloir de la bibliothèque. Juste avant
d’ouvrir la porte qui donne accès à l’escalier, Jack s’arrête le visage
lumineux d’un sadique rictus.
-
Qu’est-ce qui t’arrive ? Lui demande
Mike.
-
Je viens d’avoir une idée géniale, donne-moi
l’uniforme et attend-moi.
Jack reprend le couloir en sens inverse et disparait.
Quelques minutes plus tard il revient en tenant l’uniforme d’Ellie complètement
trempé.
-
Mais pourquoi tu as fait ça ?
l’interroge Mike en constatant les vêtements dégoulinants.
-
Elle a été au bord de la rivière et elle est
tombée et en plus pour ça elle va prendre une fessée, hi, hi, hi, hi !
Elle n’a vraiment pas de chance hein ? Ricane Jack.
-
Toi quand tu te venges tu ne fais pas
semblant.
-
Dans une vengeance, il y a toujours les
intérêts.
Ils allument la lumière et descendent au cachot. Ils
ouvrent, éclairent la cellule et découvrent Ellie la mine ravagée. Sur le lit
de camp, elle est recroquevillée, tremblante et entortillée maladroitement dans
la couverture. Visiblement, vu les marques sur ces joues elle a pleurée. Jack
la regarde et baisse son visage sur l’uniforme trempé qu’il tient dans ces
mains. Ses yeux remontent sur Ellie, son sourire disparait.
-
Mike détache-là, je reviens, je vais à la
lingerie lui chercher un autre uniforme. Je ne peux pas faire ça tu comprends.
Dit-il confus.
-
Oui, c’est trop. Approuve Mike.
Jack remonte les escaliers emportant l’uniforme mouillé.
-
Ça va Ellie, ça n’a pas été trop dur ?
Questionne Mike en lui détachant les mains et le bâillon.
-
Ho Mike, c’est inhumain ça. Lui répond-elle
en se blottissant dans ses bras.
-
C’est vrai que comme chambre d’hôtel il y a
mieux. Essaye-t-il de plaisanter en lui remettant correctement la couverture
sur le dos.
-
Ce n’est pas la prison mais les rats…
-
Tu en a vu ? Interroge Mike en regardant
partout.
-
Mais non, c’était tout noir mais j’en suis
sûr il y en avait. Se remet-elle à pleurer.
-
C’est fini, ne pleure plus… C’est fini.
Jack revient avec un uniforme tout neuf.
-
Tiens Ellie mais je suis désolé pour la
culotte, elle est mouillée. Merde tu as eut si peur que ça ?
Ellie secoue la tête affirmativement en séchant ses
larmes.
-
Mince… Je… Je ne pensais pas que… Je
m’excuse. Dit-il un peu piteux en prenant Ellie dans ces bras.
-
Ne restons pas là, Ellie habille-toi et on va
t’accompagner au dortoir, tu vas mettre une culotte propre et te refaire une
beauté, tu ne peux pas aller à table comme ça. Dit Mike en ramassant la culotte
mouillée.
Pendant qu’Ellie prend une douche. Jack tourne dans le
dortoir l’esprit torturé de remords.
-
Qu’est-ce que je suis con quand je m’y
mets ! Ne cesse-t-il de répéter.
-
Ho tu ne vas pas en faire toute une histoire,
il y a des choses plus graves que ça dans la vie. Minimise Mike.
-
Tu te rends compte ce que j’ai fait, tu as vu
sa tête quand nous avons été la chercher ?
-
C’est bon, c’est fini maintenant.
A ce moment là Ellie revient toute de neuf vêtue et
souriante.
-
La vache, la trouille ! Je n’te raconte
pas les angoisses… A un moment j’ai piqué une crise de nerf je ne te dis que ça.
Ouaaa !!! ça va mieux là… Ben mon salaud, tu t’es bien vengé ! Dit-elle.
-
Ecoute Ellie je…
-
Ça va Jack ; je ne suis pas morte. On
est quitte !
-
Je suis content que tu le prennes comme ça
parce que tu sais, je n’étais pas fier. Alors on est quitte ?
-
Mais oui… Du moins jusqu’à la prochaine.
Fait-elle en lançant un clin d’œil à Jack.
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