Episode 81
Personne suivante
s’il-vous-plait !
Mike n’en revient pas encore d’avoir tant prisé le fouet
et sortant de la douche il complimente toujours Mirabelle qui en rougit de
bonheur en le séchant. Tous deux redescendent en cuisine pour se rafraichir
d’un thé glacé. Gary est allé à la remise pour sortir le tracteur et tondre la
pelouse.
Melle Véra, Sourire, Aline le mage et Baccardi sont
partis visiter Lourdes.
Quand Mike sort sur la terrasse supérieure, Ellie et
Dorine sont installées à la petite table et jouent aux dominos. Ellie relève la
tête vers Mike et ses yeux s’arrondissent de stupeur en voyant ses cuisses.
-
Mike, mais….Whaouuu ! Mais c’est quoi
ça ? Montre-t-elle du doigt les striures.
-
C’est le fouet de Mirabelle. Annonce-t-il
très fier.
-
Le fouet, tu t’es fait fouetter par
Mirabelle, tu as fait une grosse bêtise ? S’étonne Dorine.
-
Non, c’était juste pour une première
expérience aussi bien pour elle que pour moi. Répond-il comme une banalité.
-
C’est donc pour ça qu’elle s’entrainait avec
Gary.
-
Oui et je peux t’affirmer que Gary l’a
parfaitement éduqué. En fait les compliments Mike en se pavanant.
-
Montre voir ça de plus près. L’invite Dorine
à d’avantage s’approcher d’elle.
Elle pose le bout de ses doigts
sur le devant des cuisses légèrement striées. Ellie se lève et constate que
l’arrière est aussi bien décoré.
-
Whoooo, le fouet…. Tu m’en diras tant !
Fait-elle avec dans l’intonation une certaine admiration teinté d’envie.
-
Le fouet mais tout en douceur, un vrai régal.
Fanfaronne Mike en se laissant ausculter les cuisses par les filles.
-
Ah bon, c’était bien ? Demande Dorine.
-
Tu ne peux même pas t’imaginer, je n’en
reviens pas encore. J’en aie eut une jouissance mmmmm ! Je ne te dis
pas !
-
Parce qu’en plus ça t’a fait jouir ? Non
tu déconnes. Raconte ! réclame Ellie.
Mike leur fait un bref récit.
-
Tu as pris ton pied rien qu’en recevant les
coups ?
-
Enfin Mirabelle y à mis un peu les mains pour
m’exciter mais c’est bien pendant que
j’étais fouetté que c’est parti. Je t’assure, une super jouissance d’enfer tu
demanderas à Mirabelle et Gary si tu ne me crois pas. Assure-t-il en soulevant
son polo pour montrer son torse et son dos imprimé par le fouet.
-
J’le crois pas ça…Whaaa, j’adore les traces
que ça laisse.
-
Et autant sur les fesses, profitez-en car ça
va disparaitre, bientôt il n’y aura plus rien. Se vante-t-il en tirant vers le
haut l’ourlet de son short pour dégager une fesse.
-
Et ça ne fait pas trop mal ? Se
renseigne Dorine.
-
Penses-tu…. Enfin un peu quand même sinon il
n’y a aucun intérêt mais je t’assure juste ce qu’il faut. Bordel, tu aurais vu
comment ça me faisait bander les coups de fouet.
-
Wouuu, j’aurais voulu voir ça. Tu étais à
poil ?
-
Oui Mirabelle m’avait mis tout nu et Gary m’avait
attaché à l’anneau de la salle de punition, c’était vraiment génial. Mirabelle
a été parfaite, mmmmm, je me ferais bien flageller tous les jours comme ça.
Raconte-t-il en remettant son short et son polo comme il faut.
-
Arrête Mike, je suis en train de mouiller ma
culotte. Dit Ellie en se passant la main entre ses cuisses.
-
Moi pas encore mais ça ne va pas tarder.
Pouffe Dorine.
-
Faut absolument que j’essaye ça !
trépigne d’envie Ellie.
-
Oui, ça incite et je pense que je vais tenter
aussi. Adhère Dorine.
-
Je suis certain que Gary se fera un plaisir
de vous contenter. Leur dit Mike d’un ton catégorique.
A ce moment là Jack arrive.
-
Hey tu as vu les cuisses de Mike ?
l’interpelle Ellie.
Jack regarde et met sa main devant sa bouche comme pour
étouffer un cri.
-
Qu’est-ce que c’est que ça ?
Interroge-t-il stupéfait.
-
Mike à été fouetté par Mirabelle. L’instruit
Dorine.
-
Fouetter ? Ha …Ha bon… M… Mais….
Mais avec un fouet ? Bégaye-t-il.
-
Non avec une casserole. Lui répond Ellie en
haussant les épaules.
-
Mais quoi, on peut fouetter aussi avec un
martinet ou une ceinture. Réplique-t-il.
-
Là c’était vraiment avec un fouet. Affirme
Mike avec fierté.
-
T’es vraiment maso toi.
-
Il a dit que c’était top et il en a même
jouit. Raconte Ellie.
-
Et bien tant mieux pour lui, mais trop peu
pour moi ce genre de jeu extrême. Répond Jack en prenant place sur une chaise
libre.
-
Ça n’a rien d’extrême avec Mirabelle et Gary,
je t’assure. Contredit Mike.
-
Chacun son opinion, mais pour moi c’est extrême !
Réaffirme Jack.
-
Ellie à raison, tu es vraiment un petit
joueur. Le chambre Dorine.
-
Entièrement d’accord avec toi, je suis un
petit joueur et j’en suis très satisfait.
-
Si on faisait une partie de dominos à
quatre ? Coupe Dorine.
-
Ouais bonne idée ! Approuve Mike.
Au diner du soir, les infos de 20 heures de disent rien
de nouveau sur la disparition d’Horace de Fantenay. Elles annoncent que dans
certaines villes du monde, les élus ont annulé les arrêtés qui interdisaient
sur la voie publique toutes robes, jupes ou vêtement court au dessus des
genoux. Il est également dit que tous les avoirs bancaires et immobiliers
connus des prédicateurs ont été saisis.
-
C’est une excellente nouvelle ! Commente
le mage. Ce pauvre Halebard n’a plus de quoi nous acheter.
-
Quand il va apprendre ça demain matin, il va
tirer une gueule de trois pieds de long. Ricane Ellie.
-
Oui mais surtout ne lui en parlons pas,
laissons-le venir. Ajoute Mirabelle.
-
Si leurs biens immobiliers ont été saisis
c’est que De Fantenay ne se cache pas dans une maison ou une propriété à son
nom. Raisonne Melle Véra.
-
Ou que sa planque n’est pas répertoriée dans
son patrimoine personnel. Ajoute Jack.
-
De bien maigres indices. Soupire le mage
Arnak.
-
Ouais, avec ça on ne va pas aller bien loin.
Estime Mike.
-
Le seul qui peut nous mener à Horace de
Fantenay c’est Childéric Halebard mais pour le moment il reste muet sur le
sujet. Déplore Dorine en se resservant des tomates.
-
Attendons encore et laissons le mijoter, je
suis certaine qu’il va finir par cracher le morceau. Si dans quatre jours il ne
dit toujours rien, je l’accroche derrière ma bécane et je le traîne sur les
graviers de l’allée. J’ai vu ça dans les films de cowboys. Dit Ellie en
balançant discrètement une boulette de mie de pain dans le verre de Gary.
En fin de repas, Aline le mage Arnak et Baccardi
discutent de Lourdes. Mike montre les dessins qu’il à fait du Pont Valentré et
prévoit qu’ils serviront d’illustrations à l’histoire de la mission qu’il à
l’intention un jour d’écrire. Ellie et Dorine ne cessent de faire les yeux doux
à Gary et de s’accuser personnellement d’avoir jeté une boulette dans son vin.
L’homme n’est pas candide et il sait très bien où les deux jeunes femmes
veulent en venir étant certain que Mike leur avait parlé du fouet.
Pour le dessert, Lady Dark sert une délicieuse charlotte
aux poires qu’elle a préparée avec amour.
Après le souper, le mage Arnak fait des tours de cartes
dans le grand salon.
A minuit tout le monde va se coucher.
Episode 82
Machiavélique.
25 Septembre, 7h45 heures du matin, Aline apporte le
petit déjeuner et le journal à Childéric Halebard.
10 heures, Dorine et Mike accompagnent le prisonnier pour
sa sortie quotidienne. Aujourd’hui il n’a pas envie de courir ce sera donc une
simple promenade.
Le prédicateur fait grise mine et pendant une bonne
vingtaine de minutes il ne décroche pas un mot. Dorine et Mike discutent entre
eux des tours de cartes du mage, de l’excellente charlotte aux poires de Lady
Dark et du nombre de tartine chipées à Gary ce matin.
-
Et De Fantenay vous ne vous en occupez
plus ? Pose soudain la question Childéric Halebard.
-
Non, on attend qu’il sorte de son trou.
Répond habilement Dorine.
-
Et vous croyez que quand il va le faire il
vous préviendra d’un coup de téléphone ? se force d’un petit sourire
moqueur le prédicateur.
-
Bien sûr que non, d’abord il ne nous connait
pas. Réplique Mike.
-
S’il sort de sa cachette, autant vous
prévenir, se sera pour quitter ce pays et il vous échappera.
-
Possible mais faudra bien qu’il aille quelque
part et un jour ou l’autre on le saura et nous irons le chercher.
-
Vous voyez ça ainsi vous ? S’étonne le
prédicateur.
-
Oui, nous ne sommes pas pressés. Lui répond
Dorine.
-
Mais cette traque peut durer longtemps,
peut-être des années. S’emporte Halebard en faisant une halte.
-
Sans doute…. Fait Mike d’un ton évasif.
-
Et moi dans tout ça, vous n’allez pas me
garder dans ce cachot tout ce temps ?
-
Bien sûr que si, on ne va quand même pas
t’offrir l’hôtel. Ricane Dorine.
-
Mais vous ne vous rendez pas compte, vous
êtes fous ! Colère-t-il.
-
Tu n’as aucune reconnaissance ; on
t’offre des grandes vacances le gîte et le couvert et tu te plains. Soupire
Mike.
-
En plus il mange comme nous et la cuisine de
Lady Dark est très bonne. En rajoute Dorine.
-
Et tout ça gratuit. En remet une couche Mike.
-
Vous êtes machiavéliques ! Insulte
Childéric Halebard.
-
Avance au lieu de dire des conneries !
Le pousse dans le dos Dorine.
11h10, le prédicateur est remis en cellule. Dorine et
Mike font un rapport détaillé sur la conversation qu’ils ont eut avec lui
pendant la promenade. L’équipe se réjouit car ce sont bien là les premiers
signes d’un affaiblissement.
En début d’après midi sur la terrasse, Ellie et Dorine
sont en grande conversation avec Gary. Un peu plus tard, ils sont au petit
salon et Baccardi les à rejoint puis une trentaine de minutes plus tard ils
sortent tous de la pièce et empruntent l’escalier qui conduit à la salle de
punition.
Profitant du soleil de cette fin septembre, Melle Véra,
Aline, Lady dark et Sourire jouent au badminton.
Pendant ce temps là, Mirabelle, Jack et Mike vont en
barque sur la rivière et à force de chahuter la font chavirer ; ils
rentrent joyeux au château complètement trempés et grelottants.
Dorine et Ellies ont eut ce qu’elles désiraient et le
soir au dortoir, toutes nues, elles exposent aux yeux de tous les traces du
fouet sur leurs corps en louant l’expérience de Gary et Baccardi.
-
Hey Jack, tu devrais essayer, c’est de la
balle ! Lui conseille narquoisement Ellie.
-
Ne me gonflez pas avec vos trucs de débile,
moi je suis un tendre, petites caresses et petites fessées me suffisent.
Répond-il.
-
Regarde comme c’est beau saute-t-elle sur son
lit pour bien lui montrer de plus près les belles lignes imprimées sur son
corps.
Jack l’attrape et la glisse sous ses draps.
-
Holà imprudente, ne sais tu pas qu’il ne faut
pas provoquer le loup au risque qu’il te croque ! Lui dit-il en passant
une main entre ses cuisses.
-
Ooooh comme le loup a les mains froides.
Constate-t-elle en rigolant.
-
C’est justement pour mieux se les réchauffer
qu’il les mets à cet endroit. Dit-il en introduisant délicatement son majeur
dans la fente.
-
Oooh mais le loup est un gros cochon !
Constate-t-elle.
Autour du lit, tout le monde rigole sauf Mike qui est
encore sous la douche.
-
Oui vraiment un gros cochon !
Répète-t-elle en passant sa main dans la culotte de pyjama de Jack en y
découvrant un sexe tendu et dur.
-
Je ne peux pas être un petit joueur dans
toutes les matières. Se vante-t-il.
-
Je sens que tu redemandes une branlette made
in Ellie toi ?
-
Un peu plus même si tes copines voyeuses
veulent bien fermer la lumière et retourner de leur côté.
-
Ellie ! Intervient Dorine. Ce n’est pas
Jack qu’il faut dorloter ce soir mais c’est Mike car c’est grâce à son
courageux sacrifice d’être le premier que nous avons été si splendidement
fouettées.
-
Tu as raison ! Souscrit Ellie en ouvrant
grand le drap découvrant Jack la culotte à mi-cuisses et le pénis pointé vers
le plafond.
-
Héééé, mais ! Proteste ce dernier.
-
Désolé l’ami mais je crois que tu vas te
finir tout seul. On verra ça une autre fois. Eclate de rire Ellie en sortant du
lit.
-
Où est Mike ? Interroge Dorine.
-
Encore à la douche. Lui indique Aline hilare
de voir le pauvre Jack ainsi abandonné.
-
Viens Ellie, on va se préparer, j’ai une
petite idée.
Elle ouvre leur trousse de toilette et se badigeonne
grassement les lèvres de rouge.
Une poignée de minutes plus tard Mike arrive dans le
dortoir tout beau tout propre. Et découvre avec stupeur que son lit est occupé
par Dorine et Ellie. Il n’a pas le temps d’en demander la raison que les deux
jeunes femmes nues s’éjectent des draps et lui sautent dessus en lui couvrant
le visage de rouge à lèvres par les multiples bises qu’elles y déposent. Elles
le remercient d’avoir ouvert la porte de cette si excitante et jouissive
expérience du fouet. Sourire, Lady Dark et Aline se pressent de passer la
cloison pour assister au spectacle.
Sur le lit d’à côté, Jack apprécie beaucoup moins.
Ellie et Dorine renverse Mike sur son lit et lui ôtent
son pyjama.
-
Hé mais… Qu’est-ce que vous faîte je… Enfin…
Proteste-t-il très mollement.
-
On va te récompenser Mike ! Lui signifie
Ellie.
-
Et je sais comment faire avec lui. Indique
Dorine en demandant à Sourire d’aller lui chercher deux foulards.
-
C’est quoi le truc ? Se renseigne Ellie.
-
On va le violer, il adore ça.
-
Ce n’est plus un viol s’il est consentant…
-
Mais si car il va faire tout ce qu’on lui dit
sinon je le claque. Eclate de rire Dorine.
Mike se laisse docilement attacher les poignets et les
chevilles. Jack grognon, se lève, prend sa couverture et son oreiller et :
-
Je vous laisse à vos extravagances moi. Je
vais dormir sur le canapé du grand salon. Dit-il en quittant le dortoir et
affichant une évidente mauvaise humeur.
-
Tu sais Ellie que Mike à été dépucelé par moi
sur une plage de l’île de l’ouest. Raconte Dorine en lui prenant le sexe à
pleine main.
-
Non, c’est vrai ?
-
Oui mais avec la complicité de Clakett.
Ajuste Mike.
Moi je vais vous laisser faire vos petites affaires. Dit
Aline en retournant de l’autre côté de la cloison.
-
Moi aussi. dit Sourire.
-
Pareil pour moi, ne faîtes pas trop de bruit
ça pourrait nous donner des envies de revenir, le pauvre Mike ne pourrait pas
assurer. Plaisante Lady Dark en suivant Sourire et Aline.
-
Ne vous inquiétez pas les copines, c’est
l’affaire d’une demi heure, c’est juste pour dire un petit merci à ce cher
Mike. Prévient Dorine.
Episode 83
Chaleureux
remerciements.
-
Par quoi on commence ? Demande Ellie.
-
Par lui faire goûter nos sucreries, tu vas
voir il adore les pâtisseries. Répond Dorine en se positionnant à genou, un de
chaque côté, au dessus de la tête de Mike pour lui coller sa fente sur sa
bouche. Allez Mike, sort ta petite langue et montre ce que tu sais faire. Lui
commande-t-elle en lui balançant une bonne claque sur un côté de cuisse.
-
Ha c’est comme ça qu’il faut le driver ?
S’étonne Ellie en regardant la légère trace des doigts imprimés sur la cuisse.
-
Mais oui, regarde comment il me lèche déjà.
Mets lui en une autre je le trouve un peu mou.
Ellie hésite un petit instant puis lui en colle une autre
sur le devant de la cuisse gauche. Mike plie les jambes mais comme il a la
bouche occupée il ne peut se plaindre ; d’ailleurs aurait-il vraiment
envie de se plaindre.
-
Allez Mike, allonge un peu plus ta langue, je
veux la sentir plus exploratrice. Ellie recolle lui en une ou deux.
-
Avec plaisir, pas de scrupule, il bande comme
un cheval. Ricane-t-elle en lui giflant les cuisses.
-
Mmmmmm, ho oui ça va beaucoup mieux comme ça.
Apprécie Dorine en jouant du bassin. Active le encore je sens qu’il va
m’envoyer au firmament.
Ellie redistribue quatre ou cinq claques.
-
Mmmmmm, hooooooooo ! Hoooo oui, là c’est
bien. Se pâme Dorine.
-
Ne vas pas trop lui user la langue quand
même, pense à moi. Rigole Ellie.
-
Non…. Mmmmmm ! Au…. Hoooo Au contraire
il va…. Mmmmmm Être bien chaud, Hooo, Hooooo, Mmmmm ! Pour toi,
oooooohhh !
Un petit moment plus tard Dorine se soulève satisfaite et
fait signe à Ellie de prendre la place. Le bas du visage de Mike et tout
humide. Ellie se met en position et lui tord gentiment le nez pour lui
signifier de commencer.
-
Alors comment tu trouves ? Lui Demande
Dorine.
-
Pour le moment c’est quelconque, franchement
j’ai connu mieux. Répond Ellie.
-
Je vais t’arranger ça. Dit Dorine en
soulevant les jambes de Mike à la verticale et en lui balançant de bonnes
claques sur les fesses.
-
Ha oui, ça va nettement mieux mais,
mmmmmmm, ça manque un peu de nerf.
Estime Ellie joueuse.
Dorine en remet une dizaine à la volée, Mike gigote en
émettant des plaintes étouffées par le sexe d’Ellie.
-
Houuuuu, alors là c’est carrément le top !
Hoooommmmmm, mmmmmm !
-
Ouais mais il ne faut pas lâcher la bride.
Rigole Dorine en le fessant de nouveau.
-
Hooo, oui, oui ! ça c’est de
l’extra-ball avec claquage de partie à la loterie. Ooooooh , Mmmmm, oooh oui
Mike.
Sourire, Lady Dark et Aline passent une tête par-dessus
la cloison.
-
Drôle de façon de le remercier. Ironise
Sourire en admirant les fesses de Mike un peu rougies.
-
En tout cas, ça doit bien lui plaire si j’en
crois la belle prestation de son phallus. Lui dit Lady Dark.
-
Sacré Mike ! Pouffe Aline en
redescendant vers son lit.
Dorine lui en remet quelques unes bien pesées. La langue
de Mike s’énerve dans l’antre ruisselant.
-
Hooooouuuuu ! Hoooo ! ça c’est,
huuuoooo ! le… Mmmmm ! le top ! HooooHooooo Hoooo ! en
jouit Ellie.
Une minute plus tard Ellie se dégage haletante et allonge
son corps sur celui de Mike. Elle lui fait un gros bisou sur le front en lui
passant tendrement la main dans ces cheveux.
-
Je ne connaissais pas ce jeu mais franchement
ça me botte. Lui chuchote-t-elle.
-
Et moi donc. Lui renvoie Mike avec un grand
sourire.
Ellie laisse la place à Dorine. Cette dernière le pousse,
s’allonge sur le dos et demande à Ellie de l’aider à placer Mike sur elle. Une
fois fait elle écarte ses cuisses, cherche entre les deux corps de pénis de
Mike et l’introduit dans sa vulve. Mike, les deux mains liées derrière le dos
et les chevilles entravées ne peut faire autrement que d’être profondément
emboîter par son propre poids.
-
Ho qu’on est bien comme ça. Souffle-t-elle de
plaisir.
Elle colle tendrement la tête de Mike contre son épaule.
-
Maintenant je vais te faire monter au ciel.
Ellie fesse-le.
-
Mais je ne sais pas moi, je n’aie jamais
fait. Répond-elle un peu embarrassée.
-
Pas grave, claque lui les fesses comme tu
peux mais fait doucement quand même.
En entendant ça, Sourire, Lady Dark et Aline repassent
leur tête au dessus de la cloison.
-
Ellie lève sa main et l’abat assez sèchement
sur les fesses de Mike.
Il se cambre un peu ce qui fait pénétrer plus profond son
sexe dans celui de Dorine.
-
Hooo oui ! Vas-y, Ellie n’arrête
pas ! Commande-t-elle.
Alors Ellie se met à balancer des claques en série. Par
les impacts, les fesses de Mike s’aplatissent et reviennent entrainant dans le
mouvement ses reins, son bassin et par la même son membre.
-
Hooooo… Mmmmm… Hooo ! Chante en chœur
Dorine et Mike de plaisir.
Les spectatrices apprécient la méthode et encourage Ellie
à plus d’énergie et celle-ci trouvant le jeu très amusant ne rechigne nullement
à donner plus d’élan à sa main.
Les claques font danser les fesses de Mike et l’effet
mécanique conduit son sexe à aller et venir dans un rythme saccadé et nerveux.
Ellie est en sueur mais poursuit vaillamment la fessée. Maladroite et
désordonné certes mais Mike n’a plus la lucidité de s’en rendre compte.
Les doigts de pied de Dorine s’écartent de ravissement et
Mike râle de plaisir. Le jeu ne durera pas car déjà bien excité auparavant Mike
jouit au terme d’à peine deux petites minutes. Une jouissance pleine et entière
comme peuvent le constater les spectatrices ravies en regardant le corps de
Mike trembler comme s’il était branché sur une prise électrique. Dorine le
serre dans ses bras et le berce un moment sous les bravos d’Ellie, Sourire,
Lady Dark et Aline.
Dorine glisse doucement Mike sur le côté pour se dégager.
-
Comment tu as trouvé ça ? Lui
demande-t-elle.
-
Holalalalalala, c’est vraiment divin ! A
mon retour j’en parle à Clakett.
-
Tu veux essayer ? Demande-t-elle à
Ellie.
-
Ho non, le pauvre il à déjà les fesses toutes
rouges, franchement se serait abuser et je ne suis pas sûr qu’il reprendrait
son pied. Par contre, faudra qu’on fasse le coup à Jack.
-
ça c’est une idée, c’est à moi que revient la
fessée et tu vas voir qu’il va s’activer, ha, ha, ha, ha ! Eclate de rire
Dorine en s’imaginant déjà ce jour.
-
Doucement, n’oublie pas que c’est un petit
joueur.
-
Alors on va le faire grandir. Rigole-t-elle
encore.
Elle se penche sur Mike et :
-
On va te détacher et nous allons prendre une
douche, nous en avons tous les trois bien besoin.
-
Ho oui, une douche ensemble et c’est moi qui
vous savonne. Propose Mike.
-
Qu’est-ce que tu en pense Ellie ?
-
Moi ça me va. Accepte-t-elle avec joie.
Mike les à bien savonnées lavées et douchées de main de
maître avec douceur et minutie sans jamais leur mettre de savon dans les yeux.
Les corps de ces jeunes femmes est un ravissement à parcourir et il s’est
appliqué à en faire briller tous les galbes.
Une fois tous les trois reluisants et séchés, ils se sont
glissés sous leurs draps respectifs en ayant le bonheur d’avoir passé une
excellente soirée.
Episode 84
Balance.
Le lendemain matin au petit déjeuner, Jack se fait
gentiment chambrer par Melle Véra, Mirabelle, Arnak Gary et Baccardi, d’avoir
dormi sur le canapé du salon mais en bon camarade il n’en donnera pas la vraie
raison.
Les deux jours suivants, le moral de Childéric Halebard
descend vertigineusement.
Le 29 Septembre il demande audience. Mirabelle et Gary le
conduisent dans le grand salon où est réunie toute l’équipe.
-
Tu as des revendications à formuler ;
les conditions de détentions ne te conviennent pas ? Lui pose la question
Melle Véra.
-
Non elles ne me plaisent pas mais ce n’est
pas de cela qu’il s’agit. Répond-il piteusement.
-
Qu’as-tu à dire alors ? Nous
t’écoutons ! Invite Gary.
-
Si je crois bien me souvenir, vous m’aviez
dit vouloir m’emmener dans un lieux isolé et secret jusqu’à même tenter de me
faire croire qu’il se trouvait sur une autre planète mais peu importe… Si ma
mémoire est toujours bonne, vous m’aviez aussi affirmé qu’une fois là-bas je serais libre.
Enonce-t-il.
-
C’est exact ! Confirme le mage.
-
Libre, vraiment libre ? Insiste
Childéric Halebard.
-
En quelque sorte oui, une fois que tu seras
embarqué sur un navire Vagalâmeur tu seras libre de ta destinée mais il faudra
que tu sois déterminé car la vie à bord n’est pas facile. Lui précise-t-il.
-
Embarqué sur un navire ? Qu’est-ce que
cela veut dire ? S’étonne le prédicateur.
-
Parce que chez nous, tu ne peux résider sur
aucun des territoires donc tu navigueras et ton nouveau cadre de vie sera
l’océan. Explique Baccardi.
-
En permanence sur un bateau, tous le temps
sans même descendre sur une terre ? Ne semble pas s’imaginer Childéric
Halebard.
-
Dans les ports, pas de sortie pour toi, le capitaine en sera avisé et tu seras
consigné à bord. Dans les îles pour le ravitaillement en eau ou en fruits, tu
pourras aller t’y dégourdir les jambes. Répond Dorine.
-
Mais pourquoi sur un navire, je ne suis pas
marin ? Interroge le prédicateur.
-
Ne t’inquiètes-pas, tu commenceras comme
mousse et si tu fais bien ton travail tu monteras en grade et qui sait si un
jour tu ne seras pas officier. Lui raconte en plaisantant Mirabelle.
-
C’est un canular ! Doute Childéric
Halebard.
-
Pas du tout, gagner quelques galons est
possible si tu te comportes bien mais ne va pas croire que tu seras un jour
capitaine, tu n’y auras pas droit. Lui signifie Gary.
-
Le commandement d’un navire c’est pour les
Vagalâmeurs, toi tu seras et restera qu’un étranger à bord. Ne te plains pas,
nous pourrions te faire condamner aux galères où tu y ramerais jusqu’à trépas. Dit
le mage Arnak.
-
Qu’est-ce que c’est que ce charabia ?
Eructe le prédicateur.
-
Ecoutes-moi mariole, tu penses ce que tu veux
mais ce qui est sûr, c’est que tu seras embarqué et ensuite tu feras ta vie.
Lui répond Gary.
-
Si je comprends bien que ce soit vrai ou
faux, de toute manière je n’aie pas d’avis à donner. Soupire Childéric
Halebard.
-
Voilà, tu as tout compris !
-
D’accord, donc une fois sur ce bateau je suis
un marin comme un autre, un travailleur émigré en quelque sorte ?
-
Tout à fait. Lui confirme le mage.
-
Et pour ce qui est de De Fantenay ?
-
La même chose.
-
Sur le même bateau ?
-
Il y a de grande chance. Répond le mage
Arnak.
Le prédicateur se gratte le menton pendant de longues
secondes en remuant lentement la tête puis reprend la parole.
-
Je crois que je suis dans une situation qui
ne me permet pas de négocier quoi que ce soit. Mes incertitudes n’y changeront
rien, vous êtes les maîtres ; je n’aie donc d’autre alternative que vous
croire et espérer qu’une fois sur ce bateau vous m’ôterez mes chaines, toutes
virtuelles qu’elles sont, ce sera toujours mieux que de me morfondre dans votre
prison. Cependant, ce moment ne viendra que lorsque De Fantenay sera entre vos
mains ; je ne me trompe pas ? Récapitule-t-il.
-
Tu ne te trompe pas. Authentifie Mirabelle.
-
Très bien, alors je vais vous révéler où il
se cache en espérant qu’il y est toujours.
Entendant ces mots, on sent dans l’équipe un grand
soulagement copieusement arrosé de satisfaction.
Melle Véra lui sert une tasse de café, le prédicateur la
boit d’un trait et poursuit :
-
Horace de Fantenay est caché chez sa fidèle
éminence grise. Une femme que le public et un grand nombre de politique ne
connaissent pas. Pas d’inscription au fichier, aucune condamnation donc inconnue
des services de police. Une femme ordinaire insoupçonnable qui va chercher son
pain et ses croissants tous les matins, présidente d’une association logeant
des demandeurs d’emploi sans domicile. Si officiellement les hommes qui
habitent chez elle sont en recherche d’un travail, en vérité ils ne sont des
hommes de main de l’organisation de De Fantenay. Quand à elle, comme couverture
elle travaille comme chef de vente dans un magasin de prêt à porter. Redoutable
et intelligente agissant en arrière dans l’ombre de son maître, elle est plus
qu’un bras droit, elle est la colonne vertébral de De Fantenay. Sa demeure se
situe en Bretagne sur la presqu’île du Crozon… Avez-vous une carte ?
Melle Véra sort du grand salon et revient cinq minutes
plus tard avec une carte de la région Bretonne qu’elle déplie sur un guéridon.
Childéric Halebard se lève et se penche sur la carte. Il cherche un petit
moment en parcourant le graphisme de son index puis pointe l’endroit. Tous les
yeux de l’équipe fixent le bout de son doigt collé au papier imprimé.
-
Voilà, c’est ici au bout de l’impasse qui se
branche sur la rue du Cap des Chèvres non loin de Menesguen et Morgat. Indique
le prédicateur.
Melle Véra entoure le lieu avec un stabilo jaune
fluorescent. Childéric Halebard donne d’autres précisions sur la propriété. Pas
de doute, ses espions avait bien œuvré. Sourire note tout sur une feuille de
papier.
Le mage pose une main sur l’épaule de Childéric Halebard.
-
Nous ne sommes pas des ingrats. Lui
déclare-t-il. En remerciement de ta coopération, nous allons adoucir tes
conditions de détention en t’installant une télévision dans ta cellule.
Le prédicateur fait un signe de tête appréciant le geste.
Mirabelle et Aline le reconduisent au cachot.
Un peut plus tard Jack bricole l’éclairage de la cellule
pour tirer une rallonge afin d’alimenter le petit poste de télévision.
-
J’espère que tu ne nous as pas raconté des
sornettes au sujet de la planque d’Horace de Fantenay. Dit-il en branchant les
prises.
-
Quel intérêt j’aurais à faire ça ? Non
jeune homme je suis lucide et j’ai bien pris la mesure de la situation. Presque
tout ce que je possédais à été saisit et je suis indésirable pratiquement dans
tous les pays du globe. Je ne comprends pas grand-chose à votre histoire
d’embarquement sur un bateau mais de toute manière aucune autre alternative
m’est offerte alors…
-
Alors autant balancer Horace de Fantenay. Lui
retourne Jack avec certain mépris.
-
Oui jeune homme parce que je ne peux admettre
qu’il s’en tire à bon compte alors que moi…
-
Je comprends ! Hum… La télé fonctionne,
je vous laisse la télécommande.
-
Merci ! Dites-moi, c’est l’uniforme pour
les jeunes de votre secte que vous portez ? Demande Halebard intrigué par
les vêtements que porte Jack.
-
Heu… non… Nous ne sommes pas une secte. C’est
comment dire… C’est comment on est habillé à Fantasmaginaire. Invente Jack ne
sachant pas trop quoi répondre.
-
Oui bien sur…. Fantasmaginaire, sur une autre
planète. Pouffe le prédicateur en testant la télécommande.
-
Vous verrez bien une fois arrivé là-bas. Lui
répond Jack en refermant la porte du cachot.
Le soir, autour du dîner c’est l’effervescence.
-
Si nous nous rendons en Bretagne en voiture,
impossible de revenir ici avec le prédicateur à bord. Il y a bien trop de
risques de se faire coincer par des contrôles sur la route. Expose Melle Véra.
-
Oui parce que je ne peux pas le rendre
invisible dans une voiture. Dit le mage.
-
Tu peux en lui tenant la main le fondre dans
le siège. Répond Mike.
-
Très difficile dans un espace aussi restreint
qu’une automobile et de plus je ne peux l’empêcher de gesticuler et de parler.
Explique le mage.
-
On le maquille, on lui coupe les cheveux on
lui met des lunettes et on l’endort ! Propose Aline.
-
Et si on se fait contrôler on nous demandera nos
identités et endormi ou pas faudra bien qu’il décline la sienne et nous n’avons
plus le temps de lui faire des faux papiers. Contre très justement Jack.
-
Y’a qu’à le mettre dans une caisse et
l’envoyer ici par colis recommandée avec accusé de réception. Badine Ellie.
-
Ce n’est pas bête ça. S’illumine Melle Véra.
-
Ce n’est pas jouable ! Contredit Jack.
-
Tu as raison Jack, par la poste c’est
utopique, mais je crois que j’ai une solution reste à savoir s’il est
disponible. Reprend-elle la main.
-
Peut-on savoir ? Réclame Arnak.
-
J’ai un bon ami qui habitait à Paris et
tenait un bar où se déroulait tous les vendredis et samedis soir des
rendez-vous fessées. Quand les autres tordus on prit la majorité et commencé
leur croisade, son bar à été mis a sac par les brigades blanches et ensuite
fermé par arrêté préfectoral. Mon ami Bonemain fut obligé de quitter le
quartier et de s’exiler en Bretagne chez ses parents. Avec ce qui lui restait
comme économie, il a acheté un camion et gagne sa vie en faisant du fret.
Bonemain, comme vous vous en doutez, à une dent contre les prédicateurs… Je
dirais même toute la mâchoire ! Je ne suis certaine de rien mais si on le
mettait dans le coup, je crois qu’il accepterait avec grand plaisir de nous
livrer le prédicateur au château. Après tout, transporter un prédicateur en
caisse au milieu d’un chargement de frigidaires ou de cartons de vin, ça ne
fatiguera pas plus le moteur. Développe Melle Véra.
-
Reste que le chargement de son camion
peut-être aussi contrôlé. Emet des réserves Jack.
-
Je crois que pour les problèmes techniques il
vaut mieux voir avec lui, s’il accepte de nous aider.
-
Tu peux le contacter ? Demande Gary.
-
Oui mais surtout pas par mail ni téléphone
portable ou poste domicilié. Le meilleur serait d’une cabine téléphonique
publique et dans les environs il n’en reste qu’une dans un petit bourg à sept
kilomètres d’ici. Demain matin je m’en occupe. Propose Melle Véra.
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