LECTURE DE LA SAGA

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mercredi 2 avril 2014

F2 épisode 6, 7, 8, 9





Episode 6

                                             Maître principale Clakett

Avec Dorine et Lilote nous étions de quart à 20 heures. Pas grand-chose à faire lorsque nous étions à quais. Juste tourner les camemberts et nourrir les Ventilettes.
Pour passer le temps, nous jouions aux cartes, nous consommions du café et des biscuits.

7 heures du matin, tout le monde debout pour l’appareillage. Le premier maître Rolin nous attendait et ne semblait pas de bonne humeur. Il appela à lui Lilote, Dorine et moi puis nous montra une tasse sale posée sur une commande de vanne.

-        Qui d’entre vous trois à laissé sa tasse ici pendant le quart de 20-24 ? Interroge-t-il assez sèchement.

Bordel, je me souviens, c’est la mienne… J’avais complètement oublié de la rincer et de la ranger dans le placard, pensais-je.

-        Si personne ne se dénonce c’est évidement le quartier maître Lilote qui était la responsable de ce quart qui en assumera la responsabilité et qui sera puni ! Nous informa Rolin.

Que devais-je faire ? Le meilleur serait de me dénoncer pour ne pas que Lilote soit sanctionnée à ma place mais rien que de penser que j’allais peut-être recevoir des coups de ce gros martinet, franchement ça me refroidissait. Ce serait un martinet normal il n’y aurait aucun problème mais…
Non je ne pouvais pas faire punir Lilote à ma place ! Non, elle était trop sympa et ce serait injuste et ça me rongerait l’esprit. Je devais assumer et tant pis on verra bien.

-        C’est moi ! C’est ma tasse ! Que j’avouais timidement.

-        Je prends note Mike, une fois l’appareillage terminé je te conduirais au bureau du capitaine. C’est lui qui décidera de la punition. Maintenant, tous à vos poste !

Je me taisais n’écoutant que les ordres en les exécutant aussi précisément que possible. Dans ma tête le redoutable martinet ne cessait de me menacer. Je ne craignais pas d’être déculotté devant l’équipage, certes c’était une grande humiliation mais si elle meurtrissait temporairement l’esprit elle ne mordait pas douloureusement la chair. C’était bien les cinq lanières de cuir que je redoutais, j’avais parfaitement vu comme elles cinglaient quand Félanie s’était fait fouetter.
Et qui était le bourreau des hommes ? Et s’il n’avait pas la même retenu que Gary et que c’était un pur sadique ?
Moi mon plaisir secret c’est la fessée, et même si je l’aime aussi avec des instruments, je refusais qu’ils soient de torture comme ce martinet.
Je refusais, pffff… Drôle d’idée… Comme si on allait me donner le choix.
Les manœuvres de sortie du port étaient achevées, la passerelle commanda la vitesse de croisière. A la salle des venteurs il n’allait rester que l’effectif de quart.
Le premier maitre Rolin s’approcha de moi.

-        Viens Mike, je t’emmène chez le capitaine. Me disait-il sans aucune jubilation.

Je me résignais et lui emboîtais le pas. Que faire d’autre d’ailleurs…
 Au passage, Lilote me donna une amicale tape sur l’épaule comme pour m’offrir un peu de courage mais aussi, je pense, pour me soutenir et me remercier de m’être dénoncé. Dorine, les lèvres pincées, m’a juste fait un petit signe de la main.
Nous montions jusqu’à la coursive centrale, puis Rolin me dirigea vers la poupe où se trouvait le carré des officiers supérieurs et les quartiers du capitaine.
Une belle porte en bois rouge nervuré de lignes d’essence noire en gardait l’accès. Le premier maître frappa trois petits coups.

-        Entrez ! Répondit la voix du capitaine.

Rolin ouvrit la porte et m’invita à passer devant.
Me voilà donc en face du Pacha. Le premier maître Rolin lui expliqua la faute. Le capitaine me regardait en hochant lentement la tête.

-        Vous n’avez donc pas bien apprit le règlement mousse Mike ? Me demanda-t-il d’une voix calme.

-        Si capitaine !

-        Alors je ne vous enseignerais pas qu’aucun objet qui n’a pas d’utilité au poste de travail ne doit y demeurer !

-        Non capitaine !

-        Ce n’est pas grand-chose une petite tasse mais si nous devons affronter un ennemi, cet insignifiant objet que vous avez laissé sur une vanne peut gêner et compromettre sa manœuvre ou simplement distraire. Dans un combat, chaque seconde est précieuse et la concentration doit être totale ! vous saisissez mousse Mike ?

-        Oui capitaine !

C’était assez étrange, le capitaine me parlait sans hausser le ton, un peu comme s’il s’adressait à un ami. Je commençais à croire que je n’aurais droit qu’à un rappel du règlement et une remontrance.
Le capitaine tourna son regard vers le premier maître et soupira longuement.

-        Le mousse Mike est embarqué que depuis quelques jours. Dit-il toujours aussi calmement. C’est juste une petite maladresse de novice. Qu’en pensez-vous Premier maître Rolin ?

-        Oui capitaine, une maladresse de novice. Répondit-il.

-        Avez-vous à vous plaindre de son travail ?

-        Pas du tout capitaine !

-        Bien ! Je vais donc considérer cette faute au niveau 1, c'est-à-dire au plus bas. Premier maître Rolin, vous accompagnerez le mousse Mike au bureau du maitre principal Clakett et vous lui remettrez cette note de punition. Acheva le capitaine en griffonnant quelques mots sur un bristol à entête.

Quand nous sommes sortis j’étais plutôt assez jovial car la punition ne pouvait plus être une flagellation avec cet horrible martinet.

-        Qui est Clakett ? Demandais-je à Rolin.

-        C’est le maître principal des barreurs, une femme. Me répondit-il en me faisant descendre vers le pont inférieur.

-        Une femme ?

-        Oui, c’est la grande brune qui est souvent avec Maitre Gary. C’est celle qui s’occupe des punitions pour les mousses, matelots et quartier maitres masculins.

Effectivement, on voyait souvent maître Gary discuter et plaisanter avec cette femme officier et si mes souvenirs étaient bons il me semble que quand je fus convié par le capitaine à m’embarquer à bord du Bouchtrou, elle était à ses côtés et semblait le conseiller. Je me remettais furtivement son image qui jusqu’à maintenant n’était pas pour moi un centre d’intérêt.


-        Le capitaine n’a pas défini ce que j’allais avoir comme punition. M’étonnais-je.

-        Non, pour le niveau 1 et 2 il laisse Clakette ou Gary en décider.

-        D’après vous, que vais-je avoir comme punition ? Demandais-je.

-        En niveau 1, ce n’est pas bien méchant, c’est souvent des corvées supplémentaires, des exercices sportifs ou un châtiment léger. Pour toi, je crois que… Je ne peux pas savoir exactement, c’est Clakett qui décidera. Ne m’en dévoilait-il pas plus en esquissant un petit sourire.

Que voulait dire cet énigmatique « Pour toi, je crois que…» ?  
A l’angle d’une coursive, Rolin frappa à une porte. Une voix assez ferme invita à entrer. Le bureau n’est pas très grand. Sur tout un coté étaient rangés des rouleaux de cartes dans des casiers. Et une alcôve accueillait un lit.

-        C’est pourquoi ? Interrogea le maître principal en levant son nez d’un gros classeur.

Le premier maitre Rolin se contenta comme réponse de lui donner le bristol. Clakett le lu rapidement et :

-        Premier maitre Rolin, vous pouvez nous laisser, je vous le renverrais quand sa punition sera terminée !

Quelques secondes plus tard j’étais seul en face d’elle. Elle me dévisagea et relut le bristol. Je remarquais de suite son regard. Ces yeux étaient étranges et fascinants. Ils étaient de couleur gris perlé d’une profondeur insondable. Je n’en avais jamais vu comme ceux là auparavant. La femme était plutôt grande assez jeune, peut-être entre vingt-cinq et vingt-sept ans mais certainement pas la trentaine. Ses formes courbaient harmonieusement et elle portait bien l’uniforme.

-        Donc tu es Mike ? M’interrogea-t-elle.

-        Oui maître principal !

-        Tu es nouveau et même le dernier monté à bord n’est-ce pas ? Me demanda-t-elle toujours d’une voix aussi ferme.

-        Oui maître principal !

-        Hum !... Punition niveau 1 ! Comme je n’aie pas vraiment le temps de te faire faire une corvée et de te surveiller car j’ai un gros travail de cartographie à finir, nous allons donc opter pour une punition différente et plus rapide. M’annonça-t-elle en se levant.

Elle fit le tour de ma personne en m’inspectant de la tête aux pieds avec un petit sourire de contentement.

-        De toute manière, une corvée ne serait pas une sanction qui te conviendrait. Dit-elle en se plaçant face à moi et en me dévisageant de nouveau.

Son regard me troublait, je baissais le miens.

-        Serais-tu Timide ? Me questionna-t-elle.

-        Non maître principal !

-        Alors pourquoi regardes-tu tes souliers ?

-        Je…. Je ne sais pas.

-        Bon, ne perdons pas de temps inutilement ! Dit-elle en fermant le verrou de la porte puis en plaçant un tabouret au milieu de la pièce.

Elle y posa tranquillement son séant, me lança un grand sourire puis me demanda d’approcher. Mon visage me picota de rougeurs, je n’osais comprendre ce qu’elle avait décidé de faire et pourtant, je devais admettre que la mise en scène ne laissait que peu d’alternative à ce que je pressentais. Bordel, avait-elle l’intention de me basculer sur ses genoux et me fesser ? D’accord, c’était mon fantasme, mais là comme ça maintenant avec quelqu’un que je ne connaissais que de vue, ajoutant que ce n’était pas une vraie punition de marin ça, la fessée en travers des genoux c’était plutôt pour les gosses ou pour le plaisir, mais pas pour punir réellement un membre d’équipage adulte.

-        Baisse ton pantalon ! M’ordonna-t-elle.

-        Heu… Moi ?

D’un regard rapide elle fit le tour de la petite pièce et :

-        Tu vois quelqu’un d’autre dans ce compartiment ? Me posa-t-elle la question.

-        Non… non !

-        Alors ce ne peut être qu’à toi que je m’adresse et je te demande de baisser ton pantalon.

-        Mais pourquoi ? Que je la questionnais en redoutant déjà la réponse.

-        Parce que je vais te punir par une bonne fessée et je trouve ton pantalon trop protecteur. Me répondit-elle comme une évidence.

Non je ne pouvais pas la laisser faire cela. Je ne bougeais pas le regard fixé dans le sien. Visiblement, elle n’appréciait guère mon immobilité.

-        Autant te dire que si c’est moi qui te le baisse tu en reçois le double ! A toi de voir ! Haussa-t-elle le ton.

-        Mais maître principal je suis… Enfin… J’ai 18 ans et je…

-        Je me fiche de ce que tu es, pour moi tu mérites une fessée alors pour la dernière fois avant que j’intervienne, déculottes-toi !


Visiblement, elle ne me donnait pas vraiment le droit de contester. Alors timidement je déboutonnais mon pantalon. Le vêtement tomba en accordéon sur mes chevilles et  soudain je me senti un peu plus chaud au visage et plus froid aux cuisses. Elle me regarda avec un petit sourire gourmand en s’échauffant la main sur son uniforme.




Episode 7

La fessée.

J’étais vraiment en mauvaise posture et je ne savais plus où porter mes yeux pour la fuir. J’étais loin d’imaginer en entrant dans ce local que j’allais me retrouver en slip pour être fessé comme un gamin. Dans un autre contexte, j’avoue que la situation aurait été plutôt plaisante et même excitante mais aujourd’hui, je ne m’étais pas du tout préparé à cette éventualité ; l’immédiat ne m’amusait pas et m’excitait encore moins.

-        Ce n’est quand même pas la première fois que tu reçois une fessée j’espère ? Me demanda-t-elle narquoise comme pour accentuer davantage mon humiliation.

-        Heu… Non maître principal.

-        Tes parents te punissaient ainsi quand tu faisais des bêtises n’est-ce pas ? 

-        Ben… Un peu…. Que je lui répondais d’une toute petite voix.

-        Un peu ? Ils n’étaient donc pas trop sévères ou tu étais sage.

-        Ben… Si un peu sévère. Que j’avouais timidement.

-        Parfait tu sais donc ce qui t’attend ?

-        Heu… Oui… Mais je ne suis plus un gosse… maintenant je suis…

-        Tu n’es qu’un peu plus grand ! Me coupa-t-elle. Donc la fessée sera un peu plus dure ! Annonça-t-elle sèchement.

-        Mais maître principal je…

-        Tu protestes ? Commençait-elle à s’agacer de mes tergiversations.

-        Heu non… Enfin oui !

Elle se leva soudainement du tabouret le regard incendié et :

-        Tu vas vite comprendre qu’avec moi on ne conteste pas ! Cria-t-elle en me baissant le slip aux genoux. C’est cul nu que tu vas la recevoir la fessée ça va t’apprendre à accepter les punitions sans rechigner !

Je tentais de le remonter elle m’attrapa l’oreille et tourna d’un quart de tour.

-        Rebaisse ton slip ! M’ordonna-t-elle.

-        Aïe ! Aîe ! Oui maître principal. Que j’obtempérais en remettant le sous vêtement à mes genoux.

Elle me lâcha l’oreille puis contempla le spectacle avec délice. J’avais le visage rouge de honte. Clakett s’installa satisfaite sur le tabouret et me tira le bras sans violence pour me courber en travers de ses cuisses.

-         En voila de jolies fesses à rougir ! Estimait-elle en parcourant des doigts mes galbes offerts. Je crois que pour toi ce sera l’unique prescription. Ajouta-t-elle convaincue.

Que pouvais-je répondre à ça ? La seule chose dont j’étais maintenant à peu près certain c’est que j’étais tombé sur une franche partisane de la fessée.
Ses doigts qui continuaient à se balader sur mes fesses me faisaient frissonner. Bordel, si elle insistait trop j’allais finir par bander, manquerait plus que ça.

-        Qu’en penses-tu mousse Mike ?

-        De…De quoi maître principal ?

-        Que la fessée soit la punition qui te convienne le mieux.

-        Heu, mais non, ce n’est pas bien…. Enfin… Je… je ne sais pas madame.
Elle me balança une bonne claque sur la fesse droite en me rappelant qu’elle n’était pas « madame » mais maître principal.

-        Tu ne sais pas ! Je vais donc te donner le choix. Que préfères-tu pour tes prochaines petites punitions si jamais il y en a ? Allez vider les cuves des toilettes, déboucher les lavabos, ramoner la cheminée de la cambuse, faire cent pompes et marcher en canard vingt fois le tour du pont principal ou bien recevoir une fessée ?

Je dois avouer que le choix n’avait rien de cornélien pour quelqu’un comme moi qui n’appréciait pas particulièrement le sport forcé ni patauger dans la merde.
Je me doutais qu’elle avait volontairement lesté les corvées pour que je choisisse en fonction de sa préférence. De plus mon attirance pour la fessée ne pouvait que me pousser à opter pour cette punition plutôt qu’une autre, après tout, quitte à être sanctionné autant que ce soit dans le meilleur créneau possible ; alors je lui répondis ce qu’elle voulait entendre.

-        Parfait mousse Mike. Jubilait-elle en commençant à copieusement me claquer.

Je ne m’attendais pas à de la tendresse, mais je peux affirmer que le maître principal ne faisait pas dans le léger. Je recevais là une forte fessée que je trouvais bien sévère pour une malheureuse tasse oubliée.
Je priais pour que cette cabine soit bien isolée car en plus du claquement répétitif, je n’aie pas pu longtemps retenir mes plaintes. Elle fessait vigoureusement avec une régularité de métronome. Un peut comme si une marche militaire rythmait ses mouvements.



Je ne me souvenais plus de l’effet que produisait une fessée, il y avait déjà trois ans que je n’en n’avais plus reçue et depuis je les fantasmais uniquement. Mes parents, qui pourtant étaient de fervents adeptes de cette méthode d’éducation, avaient, à mes quinze années, abandonné la fessée. En attendant, celle que je recevais aujourd’hui me chauffait douloureusement et pour cette première et involontaire mise en pratique de mon fantasme je ne me vanterais pas d’y trouver un quelconque plaisir, ce serait un gros mensonge.
Quand Clakett arrêta de frapper j’avais le postérieur comme une cocote minute sans soupape de sécurité.
Je me suis piteusement relevé en frottant mon postérieur douloureux. Je me dandinais d’une jambe sur l’autre en affichant une grimace explicite.

-        J’espère que tu ne pensais pas que ce serait une fausse fessée mousse Mike ? M’interrogea-t-elle en voyant ma tête.

-        Non maître principal.

-        N’est-ce pas une bonne façon de punir ?

-        Ben, heu… Oui, non, peut-être, maitre principal ! Que je bafouillais.

-        C’est oui ou c’est non, mais certainement pas peut-être ? Me demanda-t-elle de préciser comme si elle voulait mon total consentement ou une définitive négation.

J’hésitais un peu puis.

-        Ben… C’est vous qui décidez, mais si vous pensez que c’est bien. Que je lui répondais.

-        Alors parfait, tu as été sanctionné, on n’en parle plus. Je vais te tamponner ta note de punition que tu remettras à ton supérieur hiérarchique comme preuve de son exécution. Reculottes-toi maintenant.

Je suis sorti de son bureau les fesses en flamme avec en main le bristol. Au bout de la coursive je remontais vers la lumière du jour.
Le premier maître Rolin contemplait l’océan sur le pont principal. Je lui remettais le carton.

-        Alors, pas trop dur ? Me demanda-t-il sans même consulter si le papier était bien tamponné.

-        Non, ça va. Que je lui répondis d’une petite voix.

-        Tu n’as pas eut droit à la corvée sinon tu ne serais pas revenu aussi vite, ni aux exercices physiques, je t’aurais vu sur le pont principal. Tu as reçu une fessée, c’est ça ? Me dit-il discrètement.

Je n’osais répondre. Il rigola en me posant sa main sur l’épaule.

-        Tu n’es pas le premier Mike ! Je l’a connais bien Clakett et j’étais sûr qu’elle allait t’en coller une. Me parlait-il à voix basse.

-        Ha bon ?

-        Elle ne peut pas résister quand c’est un jeune qui vient pour la punition. Elle adore ! Ha, ha, ha ! Je ne serais pas étonné que son souhait correspondent un peu à ça mais jusqu’à maintenant, elle n’a jamais rencontré son Inquéteur, et pourtant, elle navigue depuis cinq ans… Peut-être qu’en attendant ce jours elle s’entraîne sur les jeunes mousses et matelots pour ne pas perdre la main. Ha, ha, ha, ha ! Va donc te reposer et manger un peu, ton quart est dans moins de deux heures. Autre chose Mike, je n’aie rien vu, rien entendu et je ne sais rien. Termina-t-il en me faisant un clin d’œil certifiant de sa bonne foi.

-        Merci premier maître ! Dis-je appréciant sa discrétion.




Episode 8

Les mains de Dorine.

En retournant vers mon poste d’équipage, dans la coursive centrale se trouvaient Lilote en compagnie de Drule et Saline. Elle m’interpella.

-        Alors Mike, le capitaine n’a pas été trop sévère ? Me demanda-t-elle.

-        Non Lilote, franchement je m’attendais à pire. Que je lui répondais en poursuivant mon chemin pour éviter d’engager une conversation sur le sujet.

Arrivé dans mes quartiers, Dorine somnolait sur sa bannette. Entendant mon entrée, elle ouvrit grand ses yeux puis se leva.

-        Mike, ça va ? Pas trop méchante la punition ? M’interrogea-t-elle.

-        Ça va Dorine… ça va !

-        Il t’a fait quoi le capitaine ?

-        Lui rien, il décide seulement du niveau, il m’a collé le niveau le plus bas c’est tout. Pour l’exécution, c’est Clakett qui s’en occupe, tu sais la brune qui est souvent avec Gary.

-        Pourquoi elle, moi je croyais que Gary…

-        Gary c’est pour le beau sexe et pour nous c’est Clakett ! L’informais-je.

-        Alors, raconte-moi ! Me pressait-elle.

-        Rien, je n’aie rien à dire. Que je lui répondais en m’allongeant sur ma bannette.

-        Tu ne vas pas me dire qu’il ne s’est rien passé, je ne te croirais pas.

-        J’ai été puni voilà tout !

-         Puni comment ?

-        Je ne désire pas en parler ! Laisse-moi me reposer un peu et ensuite on ira manger ensemble si tu veux.

-        Mais tous les deux nous sommes amis. On a embarqué le même jour, on est dans le même service, dans la même galère alors, on peut tout se dire. Tu n’as pas confiance en moi ?

-        Bien sûr que si. Rassurais-je.

-        Alors tu peux me raconter, ça restera entre nous… C’est si délicat que ça ?

Je crois que Dorine aurait insisté et n’aurait jamais lâché l’affaire jusqu’à ce que je lui dise comment j’avais été puni. En plus si Clakett avait l’habitude de punir ainsi les nouveaux mousses, il était toujours possible que Dorine l’apprenne un jour alors je me suis décidé à lui raconter.

-        Bon d’accord, je vais te le dire mais tu me promets de garder ta langue !

-        Juré, craché, si je mens que je sois pendue à la plus haute vergue. Répondit-elle en crachant la main tendue.

-        Tu ne va pas me croire, lui avouais-je à voix basse, Clakett m’a collé une fessée.

Les yeux de Dorine se sont agrandis à presque sortir de leurs orbites, elle se remit debout et ferma la porte de la chambre au verrou.

-        Une fessée, ce n’est pas possible ! Une fessée comment ? m’interrogea-t-elle une fois revenue accroupie devant ma bannette.

-        Bah une fessée sur les fesses… une fessée quoi… ça fait plutôt drôle ! Tu te rends compte, je suis quand même majeur depuis deux mois. Je suis un homme bordel ! Oui un homme et Clakett m’a quand même flanqué une fessée comme à un môme de 10 ans qui a cassé un carreau.

-        Oui mais… une fessée comment… Heu… Comme ça ou… Ou Déculottée ? Me demanda Dorine avide d’en savoir un peu plus.

J’aurais bien sûr pu lui mentir, mais à quoi bon, au point où j’en étais… Alors, pas trop fier, à voix basse je lui dévoilais que j’avais bien reçu une bonne fessée déculottée… Entièrement déculottée !
De sa position accroupie, elle se laissa tomber les fesses au sol en sifflant.

-        Ben mince alors ! Une vraie fessée déculottée ! Fit-elle avec un petit sourire.

-        Hé oui, une vraie fessée déculottée… Cul nu ! je ne te dis pas la honte !

-        Devant le capitaine et Rolin ? Voulait-elle savoir.

-        Non, non, juste elle et moi.

-        Sévère ?

-        Assez oui !

-        Fais-moi voir ! Sollicita-t-elle avec un petit sourire coquin.

-        Fais-moi voir quoi ?

-        Ben tes fesses comment elles sont rouges. Précisa-t-elle.

-        Franchement Dorine tu crois que ce n’est pas assez pour aujourd’hui, tu veux en plus que je te montre mes fesses ?

-        Ben oui quoi, on est entre nous.

-        C’est tout ce que tu trouve à dire, « On est entre nous » Et bien sûr, puisqu’on est entre nous, il est normal que je te montre mes fesses ?

-        Ben oui ! Moi si j’avais reçu une fessé, et bien si tu m’avais demandé, je t’aurais montré.

Je voyais dans son regard pétillant l’attente d’une réponse favorable à sa requête et moi, je ne sais pourquoi, la soudaine excitation de lui accorder ce petit divertissement. Il est vrai qu’à part devant Clakett, mais par obligation, jamais je n’avais volontairement baissé mon pantalon sous les yeux d’une fille. Je dois dire que l’idée, si inattendue qu’elle soit ne me déplaisait pas. J’ai donc déboutonné mon pantalon, me suis retourné sur le ventre et je l’ai baissé à mis cuisses. Je savais qu’elle ne se contenterait pas de regarder uniquement ce que mon slip laissait apparaitre et j’étais presque certain qu’elle ne résisterait pas à en voir davantage. D’ailleurs, maintenant je n’attendais que ça et tout mon corps frissonnait déjà de ce petit plaisir. J’ai senti ses doigts passer au dessous de l’élastique et doucement tirer mon slip vers le bas. Je soulevais un peu mon bassin pour lui faciliter la manœuvre.

-        Hooo, fit-elle devant mon postérieur à nu. Elle ne t’a pas loupé la Clakett.

-        Ça c’est sûr, elle m’a bien fessé.

-        D’ici une ou deux heures on n’y verra plus rien. Estima-t-elle en caressant du bout des doigts mes deux rondeurs.



Sous mon ventre, je sentais mon sexe s’allonger. Je savourais ce bien être délicieux qui m’embrumait  dans son suave nuage. Je fermais les yeux pour ne rien voir mais juste sentir ces douces mains aller et venir sur ma peau. De temps en temps elle soufflait sur la rougeur encore tiède. Ce petit jeu à duré quelques minutes puis elle ma déposé un petit bisou sur la fesse droite.

-        Voilà mon petit Mike, plus de bobo. Dit-elle en éloignant ses tendres lèvres. Je vais quand même te remettre ton slip.

-        Heu non, je… Je vais m’en occuper. C’est… Comment dire… Disons que c’est préférable.

Elle mit sa main devant sa bouche pour étouffer un rire.

-        Mike, tu ne vas pas me dire que… Que tu bandes ?

-        Ben… Ben si juste un peu, je… Je m’excuse. Je ne sais pas… Tes mains sur mes fesses, tu es une fille, c’est normal ! Que je lui répondais un peu confus.

-        Fais voir !

Je n’aie pas eu le temps de faire quoi que ce soit que joignant le geste à la parole, elle m’avait retourné face à elle.

-        Hé bien mon cochon ! Juste un peu dis-tu ! On ne peut pas dire que mes petites caresses te laissent indifférent. Constata-t-elle en posant une main sur mon sexe tendu et bien dur.

-        Dorine non… Dorine !

-        Dis-moi en plus que tu n’aimes pas ça la main d’une femme sur ton intimité ?

-        Mais si mais… Enfin…

Elle se glissa sur moi dans le peu de hauteur qu’offrait la bannette, je sentais ses seins bien ronds, bien durs se poser sur mon torse et sa main qui continuait de me tripoter. Je relevais sa vareuse pour que mes doigts courent sur son dos et soudain quelqu’un frappa à la porte.

-        Hé y’a du monde la dedans ? Ho y’a quelqu’un ?!!.

-        Heu oui… Oui… on se repose c’est pour quoi ? Demanda Dorine en s’extirpant avec difficulté de ma bannette.

-        Premier service, pour ceux qui sont de quart à 12 heures.

-        Oui, oui ! Merci, on arrive !

Je me reculottais vite fait en maudissant le matelot de garde qui était venu nous interrompre. Bordel pour une fois qu’une fille m’accordait un peu de tendresses et que je pouvais la toucher de mes mains.



épisode 9

Baccardi.

 Déjà trois jours que nous avions quitté le port de Kédébrum sans croiser de navire. Certains s’en plaignaient pour la simple raison que s’il n’y avait pas rencontre et malheureusement affrontement, il n’y avait pas non plus d’Inquêtrice ou d’Inquêteur.
Pour ma part, j’avais un avis très partagé. D’un côté, comme tout le monde je désirais mon Inquêtrice, et d’un autre côté, je ne voulais pas me faire étriper.
C’est le matin du quatrième jour que la vigie a signalé deux navires qui se chassaient. Ce genre de situation était une aubaine car ces navires ennemis avaient déjà dû s’envoyer quelques boulets et de la mitraille ; de ce fait ils étaient sans doute endommagés donc plus vulnérable. Les lois impériales qui régissaient les combats navals interdisaient les alliances avec un navire contre un autre. C’était du chacun pour soit donc si on devait s’engager, on devait simultanément attaquer les deux navires. Ce genre de combat naval s’appelait une triangulaire, nous apprenait le premier maître. Il y avait une autre solution, nous disait-il, qui consistait à attendre la fin du combat entre les deux navires et attaquer le vainqueur, mais souvent, les belligérants remarquant un troisième navire en attente arrêtaient de se battre et à leur tour attendaient.

Sur ordre du pacha tout l’équipage fut rapidement au poste de combat. Dorine et moi, à notre place aux commandes des vannes.
La passerelle ordonnait qu’on mette le paquet, il nous fallait au moins prendre un des deux navires alors, à toute voile. 500 Ventilettes par globe. C’était le maximum.



Les artilleurs étaient parés. Jéon et Glodine préparaient les armes à feux en cas de combat rapproché voir d’abordage. Tétakeu, Saline et Drule avaient branché les lances d’incendie. Lovinyou et Lilote aux faux Khon et les officiers à la transmission des ordres.
Le premier maître Rolin était aux côtés de Dorine et moi afin d’encore nous seconder.
Une trentaine de minutes plus tard, on entendait les salves des deux autres navires. Je n’étais pas très rassuré mais ça allait quand même un peu mieux que la première fois.
Toutes les batteries du Bouchtrou étaient opérationnelles, à bâbord comme à tribord et le second maître Tabagri n’attendait pas l’engagement pour actionner la ventilation ce qui présageait qu’il allait avoir beaucoup de poudre brûlée. On se rapprochait, « 700 mètres ! » indiqua un chef de pièce.
La passerelle commanda le feu de toutes les pièces tribord puis le bateau vira de bord et la passerelle donna l’ordre de tir aux pièces bâbord probablement sur le second navire.
Pour moi, posté dans la salle des venteurs, le plus angoissant était toujours de ne rien voir.
Le Bouchtrou venait d’essuyer un tir juste derrière le compartiment, notre cloison en fut même éventré. Il y avait des flammes. Tétakeu, Saline et Drule arrosaient.

-        100 Ventilettes de moins ! M’hurla Rolin.

J’ouvrais la passe aspirante. Le compteur défilait, 100, je fermais. On virait de bord très serré, le navire tanguait fortement et à peine stabilisé que l’ordre de feu à tribord fut commandé.

L’incendie était maîtrisé, Les trois mécanos furent envoyés en renfort pour colmater la voie d’eau.
J’avais de moins en moins peur, sans doute l’adrénaline me stimulait et peut-être commençais-je à m’habituer, je regardais du côté de Dorine ; apparemment, tout allait bien.
Le bouchtrou à heurté quelque chose. J’interrogeais du regard Lovinyou.

-        Surement des débris flottant ! Me cria-t-elle.

Cette fois, sur ordre, les batteries firent feu des deux côtés en même temps. Le bruit était assourdissant, à la limite de me mettre K.O. Toutes les structures du Bouchtrou vibraient.
Un projectile à rames venait de percuter l’ouverture d’un sabord. Des éclats de ferraille volaient dans tous les coins. Une épontille volait en morceaux, je me tassais sur le sol, j’entendais des cris, il y avait certainement des blessés mais Je ne voyais rien avec la fumée. Heureusement que les globes étaient protégés d’un treillage métallique sinon ils auraient été brisés. Bordel, le verre du compteur de vanne d’entrée est fêlé. Rien de grave, me rassurait Rolin en tapotant dessus pour voir si les rouleaux chiffrés n’étaient pas coincés.
Je ne sais depuis combien de temps l’affrontement durait mais ça me paraissait bien trop long. Là haut, vers le plafond, il y eut un grand bruit ; peut-être un mat ou une verge avait dégringolé sur le pont. On virait à nouveau puis encore le feu des canons tribord.
Soudain la passerelle commanda l’arrêt des tirs et ce fut le silence. Même la poussière pendant quelques secondes sembla suspendue dans le compartiment comme pour marquer l’instant.

-        Tout l’équipage valide sur le pont, paré à l’abordage ! Hurla le communicateur de la passerelle.

Le premier maître Rolin me redressa vigoureusement sur mes jambes.

-        Allez Mike, prend ton sabre !

Il m’entraîna vers le sas qui remonte sur le pond principal et au passage attrapa Dorine, Jéon et Glodine.
Là haut on nous plaça sur le gaillard d’avant dans un petit groupe composé que de  nouveaux. Nous étions encadrés par l’enseigne de vaisseau Mirabelle, le maître principal Bièle Et le second maitre barreur Duvolan.

-        Restez bien accroupis pour ne pas prendre du plomb ! Ordonnait Mirabelle. Vous êtes des novices, vous faites donc partie du quatrième groupe d’assaut. On vous donnera l’ordre d’attaquer seulement s’il y en a nécessité. Expliqua-t-elle en distribuant des corbeaux à Bièle et Duvolan.

A tribord, La coque complètement dématée d’un bâtiment Crèvesueur. A hauteur de la double rangées de sabord, leur muraille était éventrée sur un bon tiers. Les canons étaient renversés, pour la plupart, hors d’usage Quelques flammes crépitaient à l’arrière, mais ce qui restait de l’équipage était prêt à résister à notre abordage.
Derrière nous, à bâbord, un navire s’éloignait en fumant. Sa voile avant était déchirée par la moitié et visiblement vu la gîte, il embarquait de l’eau.

-        Nous avons de la chance, dit Mirabelle à Bièle, C’est le Troudanlo du capitaine Baccardi. C’est le pire des Kidnapingres et si son navire n’était pas si endommagé il nous aurait certainement pas laissé sa proie.

-        Mais pourquoi a-t-il attaqué des Crèvesueurs. D’habitude ils font commerce de Vagalâmeurs ensemble. S’étonne Bièle en faisant tournoyer le corbeau.

-        A mon avis, ils n’ont pas du s’accorder sur l’échange et Baccardi n’est pas du genre à se laisser rouler.

-        Ou alors c’est peut-être lui qui était trop gourmand. Ricane Bièle.

Sur le pont principal et sur le gaillard d’arrière, les deux premiers groupes d’assaut balançaient les corbeaux. Les navires se rapprochaient et presque au moment ou les bastingages se sont touchés, l’ordre d’attaque fut donné. C’était la rué sur le pont des Crèvesueurs. J’étais assez étonné, vu leur petit nombre, qu’ils ne hissent pas le drapeau blanc et je posais la question à Duvolan.

-        Pourquoi qu’ils se rendraient puisque de toute façon on va les jeter à la flotte. M’expliqua-t-il avec un grand sourire.

Il n’y aura pas besoin d’envoyer le troisième et le quatrième groupe. La boucherie n’a duré que quelques minutes et ceux qui ne ce sont pas fait sabrés se sont balancés par-dessus bord sans que personne ne les pousse.
Maintenant, c’était le pillage de leur navire. Tout ce qui est bon y passait. Canons poudre, boulets, Ventilettes, Vivres, outils, vêtements, monnaie, les deux inquêteurs mais aussi les Vagalâmeurs prisonniers des Crevesueurs.
Une fois libérés de leurs chaînes, ils furent alignés sur le pont principal. Il y en avait une bonne vingtaine.
 Le pacha demanda un rapport détaillé sur nos pertes.

-        onze Morts et quinze blessés dont cinq gravement ! comptabilisait Aline.

-        On  débarquera les sérieusement blessés au prochain port. Annonça le capitaine. Lieutenant Roupiye, sélectionnez-moi seize remplaçants et le reste, dans un canot avec des vivres, de l’eau et bon vent. Quand à l’épave des Crèvesueurs, vous me l’envoyez par le fond.

Bordel, le capitaine était vraiment sans pitié… Un canot et des vivres ! C’étaient quand même des Vagalâmeurs comme nous.

-        Dis-moi, Duvolan, c’est un peu dégueulasse pour ceux qui ne vont pas être pris à notre bord. Que je m’insurgeais en voyant Roupiye faire le tri.

De toute sa hauteur, le barreur me regarda puis me répondit.

-        Bien sûr que c’est dégueulasse Mike mais il faut bien te dire une chose, nous sommes cent fois plus nombreux que les inquêteurs alors…

-        Oui bien sûr, le Chym me l’avait dit que la concurrence était raide. Que je lui répondis avec un amer goût dans la bouche.

-        Et il ne faut pas qu’ils se plaignent, j’ai connu des capitaines qui les remettaient à la mer sans canot, sans rien. Au moins ceux là ont une chance de s’en tirer s’ils accostent une île ou qu’ils arrivent à rejoindre un port sans se faire reprendre.

-        Cent fois plus nombreux mais avec tous les morts que nous avons ça devrait suffire à rétablir l’équilibre sans être obligé d’abandonner ceux là en mer. Intervint Dorine.

-        Hélas non car des tués, il y en a aussi chez les inquêteurs ! Rétorqua Duvolan.


Il a été fait comme le capitaine l’avait commandé et après avoir remis en état le navire, enfin ce qui pouvait l’être parce que le trou dans la coque derrière la salle des venteurs n’avait que provisoirement été rafistolé en attendant une vraie réparation dans un port, nous avons quitté les lieux du combat laissant les Vagalâmeurs qui n’avaient pas eut la chance d’être choisis, se débrouiller avec un simple canot et un peu de vivre.
Le mécano Drule est mort, je ne le connaissais pas beaucoup mais ça me faisait quand même un peu de peine. Il allait être remplacé par un blondinet du nom de Pipo.
Un peu plus tard, nous avons hissé les pavillons noirs à croix rouge car les deux inquêteurs récupérés n’avaient pas trouvé leurs élus à bord du Bouchtrou.


Epontille : Pilier soutenant le barrot.

Barrot : Poutre soutenant le pont supérieur.

Corbeau : Grappin lié au bout d’une corde permettant d’agripper le pavois ou le bastingage d’un navire pour l’approcher afin de l’aborder.

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