LECTURE DE LA SAGA

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samedi 10 mai 2014

F4 épisodes 27, 28, 29, 30.





épisode 27


Apéro chaud.


18H15, Bonemain stationne devant la façade d’une maison de ville à trois niveaux. Une demeure plus que centenaire en granit lavé par le temps couvert d’un toit en ardoise. Trois marches incurvées par les années de passage conduisent au seuil d’une lourde porte en chêne riveté. Bonemain actionne le coup de poing en bronze ; quelques secondes plus tard, Verbehaut ouvre et invite à entrer.
Un couloir sombre mène vers la lumière d’une grande pièce de vie. Les murs sont de pierres apparentes séparées en compartiments par des colombages. Le solide parquet est recouvert en partie d’un tapis aux motifs orientaux. Le massif mobilier : table, chaises et vaisselier est de fabrication artisanal.  En bout de pièce un canapé et deux fauteuils lourds de cuir et de chêne. Madame et monsieur aiment l’authentique et le costaud.
Une triple porte fenêtre est grande ouverte sur un petit jardinet coincé entre la maison et trois hauts murs aux pierres disjointes. Au milieu du carré de pelouse est posé un barbecue de fonte, une table en teck et cinq chaises de jardin.
Verbehaut invite ses hôtes à s’installer dans les fauteuils. Il ouvre un gros coffre clouté ressemblant à ceux qu’utilisaient les pirates pour cacher leur trésor et en sort une bouteille de jaune à peine entamée qu’il pose sur un plateau de cuivre ciselé soutenu par un trépied. Il s’absente quelques instants et revient avec un pot de glaçons, une bouteille d’eau fraîche, trois verres et une coupelle d’olives vertes.
L’homme verse les doses, l’eau et ajoute les glaçons ; il donne un verre à Bonemain et Mikael, prend le dernier, le lève et :

-        A la notre ! crie-t-il.

Première gorgées bues, Bonemain instruit son ami de son périple en Europe.

-        Bon plan ça ! juge Verbehaut.

-        Tu l’as dit et bien payé en plus. Ajoute Bonemain.

-        Et le matelot alors ?

-        Je remonte au nord et ensuite je descends au sud. Répond Mikael.

-        Gast ! Bonne ballade en bécane ça ! Apprécie Verbehaut.

Un peu plus tard, une tournée est remise, le maître de maison insiste pour que Bonemain et Mikael restent manger. Tout est prévu, une grosse côte de bœuf et des pommes de terre. Verbehaut sort et allume le barbecue.
Mikael a le regard perdu dans le fond de son verre, il semble absorbé par de profondes pensés.

-        Ben alors môme, tu rêvasses ? Nom des gueux ! Rigole Verbehaut en s’affalant dans le canapé.

-        Non je réfléchis !

-        Gast ! A quoi donc ?

-        Oh si vous saviez ça vous ferait bien rire. Répond Mikael avec un large sourire.

-        Dis-nous, nom des gueux ! Veut savoir Verbehaut curieux.

Mikael relève son nez de son verre et fixe le maître de maison avec un étrange rictus.

-        Alors ? Le presse Verbehaut.

-        Vous voulez vraiment savoir ?

-        Gast ! Bien sûr !

-        Très bien. Fait Mikael en se levant du fauteuil.

Il se place face au deux hommes puis commence à ôter son tee-shirt.

-        Mais que fais-tu ? Lui demande étonné Bonemain.

-        Je vous explique ce à quoi je pensais. Réplique malicieux Mikael en enlevant ses chaussures.

-        Tu as chaud garçon ? Demande Verbehaut ne comprenant pas la démarche de Mikael.

Ce dernier ne répond rien et ôte son pantalon de toile montrant un slip pointé par une solide érection. Lentement il fait glisser son slip à ses chevilles puis le jette sur le reste. Une fois tout nu il regarde bien droit dans les yeux Verbehaut et :
-        Je veux savoir ce qu’est la fessée en position de la brouette. Annonce-t-il rayonnant.

Verbehaut et Bonemain éclatent de rire.

-        Alors toi matelot tu me les coupe ! Ha, ha, ha, ha, ha ! Sans rire, tu veux vraiment savoir ?

-        Parfaitement monsieur Verbehaut, je ne veux pas quitter le Morbihan idiot.

-        Nom des gueux ! Ha, ha, ha, ha ! Ecoute Mikael, je ne veux pas te prendre en traite, mais si je te place en brouette et que je t’en colle une tu vas vraiment avoir le riffe au cul parce que j’ai envie de bien te rougir.

-        C’est bon pour moi ! Répond sans aucune crainte Mikael en continuant d’exposer une érection sans faiblesses.

-        Gast ! Tu en es bien sûr ? Remet Verbehaut en se chauffant les mains.

-        Certain ! Affirme le jeune homme.

-        Très bien, ça va être un apéro chaud ça. Nom des gueux ! Viens ici !

Mikael s’approche du canapé. Verbehaut le fait agenouiller à ses pieds et lui demande de se mettre à quatre pattes fesses vers lui. Une fois dans la position souhaitée, Verbehaut attrape dans chaque main les chevilles de Mikael, tire et les place à droite et gauche de ses hanches. L’homme soulève le bassin de Mikael pour bien le poser sur ses deux cuisses.
Voilà donc le jeune homme le ventre sur les deux genoux de Verbehaut, ses deux jambes écartées de chaque côté de son fesseur, les mains bien plaquées au sol et le visage face au parquet.
Verbehaut contemple un bon moment cette paire de fesses exposée sur ses cuisses. Elles sont tel un appétissant dessert qu’on ne voudrait entamer par crainte d’en arriver à la dernière bouchée trop vite. L’homme ne peut résister davantage à la tentation, sa mains droite se lève et retombe sur la fesse de même côté. Une claque assez légère pour commencer. Il lève sa mains gauche et applique l’identique sur la fesses correspondante. Mikael ne bouge pas, juste un clignement des yeux signifie qu’il à bien reçu les premières claques.
L’homme y va sans empressement, un tempo lent, main droite main gauche. La peau fine et blanche de Mikael prend un peu de teinte et se réchauffe gentiment. Verbehaut voit le sexe de son fessé tendu entre ses jambes écartées.
Au bout d’un petit moment, estimant que le derme est à bonne température, Verbehaut entreprend une vraie fessée. Les deux bras en mouvement, chacun leur tour, droite, gauche, droite, gauche…



Le corps de Mikael se raidit et ses muscles fessiers se compriment. Verbehaut avait prévenu que la fessée serait chaude. La bouche grande ouverte les yeux plissés, Mikael absorbe les claques qui tombent et retombent.

-        Houaillayayayayayaïe ! Crie-t-il en gesticulant comme il peut du postérieur.

Quand il glisse en avant, Verbehaut le reprend pour le remettre bien en position et poursuivre la fessée. Toujours à deux mains et croyez qu’elles claquent rudement.
Au bout d’un moment, les deux demi-globes de Mikael sont parfaitement écarlate ; il ne bande plus et suffoque. Verbehaut arrête la fessée.

-        Alors matelot ? Rigole le fesseur.

-        Hoooooo…. Houuuu ! Répond Mikael en laissant tout son poids peser sur les cuisses et genoux de l’homme.

Verbehaut glisse sa main le long des jeunes cuisses et câline les fesses chaudes. D’un signe il demande à son amis Bonemain de lui donner des glaçons. Une fois en mains il applique les petits cubes translucides et glacés sur les rougeurs.
Mikael sursaute, se raidi puis se relâche en dégustant le bonheur de ce froid sur ses fesses brûlantes.
Les glaçons fondent vite, Bonemain assure le ravitaillement. Sensation inverse et plaisante comme la lave du volcan coule jusqu’à la mer pour s’éteindre enfin d’un feu qui la dévore, Mikael se désaltère de ce moment et de ce délice l’excitation redonne une raide droiture à son sexe. Sous lui, le parquet est mouillé de petites flaques qui glissent les unes vers les autres pour se rassembler et parfois se séparer tranché par une nervure.
Assez joué avec le froid, Verbehaut estime qu’il est temps de remettre du charbon dans la chaudière. Une dizaine de claques presque trop molle pour réveiller l’épiderme et c’est la fessée qui reprend.
Mikael se dandine animé par les coups qui se succèdent.

-        Haaa… Hoooouu… Hayayayayayailleeeee ! Chante-t-il la partition des percussions.

Copieuse fessée que Verbehaut lui administre et achève par de puissantes claques qui marquent au rouge vif les fesses de Mikael.
Dernière gifle tombée, le jeune homme se laisse glisser sur le parquet où il trépide comme un poisson jeté sur la berge.

-        Houlà, là, là, làaaaaa ! Hooo, hou, holà, la, la, la ! Piaffe-t-il sous les rires de Bonemain et Verbehaut.

-        Alors matelot, tu as aimé la brouette ? Interroge hilare son fesseur.

-        Hoooooo…. Hoooouuuuu ! Continue-t-il à émettre en se plaquant les mains sur les fesses incendiées.

Verbehaut se lève, quitte un petit moment la pièce et revient avec un baume à l’arnica. Il redresse délicatement Mikael, va au canapé, s’assoit et bascule le jeune homme en position OTK comme pour lui redonner une fessée mais il n’en est rien heureusement.
Verbehaut lui passe le baume avec attention en prenant bien soin qu’aucune rougeur ne soit oubliée.
Mikael souffle de soulagement puis bien pommadé il se relève en esquissant un petit sourire crispé.

-        Alors ? Lui fait Bonemain.

-        Ben…. Houuu ! ça c’est une fessée ! Répond Mikael en grimaçant.

-        Je t’avais prévenu, tu pouvais refuser gamin. Lui remémore Verbehaut.

-        Pas de problème, j’assume. Dit fièrement Mikael.

-        Et la position de la brouette, qu’en penses-tu ? Interroge Bonemain.

-        J’aime ! Oui j’aime beaucoup et puis les glaçons vraiment super !

-        Laisse un peu la pommade être absorbé avant de te rhabiller lui conseille Verbehaut.

La soirée se déroule calmement. Mikael se remet doucement de la grosse fessée reçue et en plaisante.

C’est un peu après minuit qu’ils rentrent à Kerouarc’h et se couchent.



Episode 28


Séparation et retrouvaille.


Le lendemain matin de bonne heure le café et les tartines sont rapidement avalés. Vaisselle propre essuyée et rangée, un coup d’aspirateur dans la grande salle et la serpillère sur le carrelage achève de remettre la maison en état. Dans la salle de bain Mikael regarde ses fesses, elles sont encore marquées par la fessée de la veille, mais aucunement sensibles.
Un peu plus tard, le jeune homme arrime ses bagages sur sa moto pendant que Bonemain charge ses affaires en cabine. L’homme ferme la maison puis vient à Mikael.

-        Voilà, il est temps pour chacun de poursuivre sa vie. Je suis content de t’avoir connu matelot. Fait gaffe à toi sur la route ! Je te laisse mon numéro de portable, j’espère qu’un jour on se reverra.

-        Merci monsieur Bonemain, c’était super sympa de m’avoir accueillit. Je ne vous oublierais pas. Moi aussi j’espère qu’on se rencontrera à nouveau, vraiment j’ai passé un super séjour. Bye Monsieur Bonemain !

Mikael tourne la clef de contact et actionne de démarreur. Il laisse quelques minutes chauffer son moteur puis se met en scelle, enclenche la première vitesse et roule vers l’ouverture du portail en faisant un signe d’au-revoir. Une fois les roues sur le goudron il accélère et s’éloigne.
Bonemain monte en cabine et à son tour quitte la propriété.

Mikael roule tranquillement, il prévoit de faire halte à Pont-Aven pour déjeuner puis remonter vers Guilvinec et Penmarch pour y planter sa tente. Depuis sa garde à vue et les aveux de Bonemain, la presqu’île du Crozon l’obsède et c’est bien là qu’il compte passer quelques jours avant de redescendre vers le sud-ouest. Il n’a plus rien à craindre, il est libre et ne fait plus partie des suspects de cette affaire.

Comme prévu, il s’offre un restaurant à Pont-Aven. Tout en dégustant une dorade il pense à Garcette et son envie de repasser par Locmariaquer se fait moins aléatoire.

C’est vers 16 heures qu’il arrive au Guilvinec, mais les campings sont complets ainsi qu’à Penmarch. Il se ballade un peu le long de la côte puis s’infiltre dans les terres à la recherche d’un emplacement pour planter sa tente. Un peu plus tard, c’est à Landudec qu’il trouve un camping qui l’accueille sur un dernier emplacement derrière les sanitaires. Un diner au resto du coin clôture sa soirée. Il reste assit devant sa tente jusqu’à ce que la nuit soit presque noire et s’enfile dans son duvet.
Le lendemain le ciel est gris ; renseignement pris, la météo régionale ne prévoit pas de pluie. Il démonte et charge sa moto. S’acquitte du prix de l’emplacement et prend la route en direction de Plogoff. L’après midi il fait une halte touristique à Douarnenez puis remonte vers la presqu’île du Crozon. C’est à Lambézen qu’il déniche une petite place dans un camping ; il en est très satisfait et comptes-y rester trois nuits.
Deux jours à visiter lentement cette presqu’île et quand il passe vers Menesguen son cœur s’emballe. Ainsi c’est dans ce périmètre qu’Horace de Fantenay était caché ? Mikael ne cherche pas la propriété, d’ailleurs il ignore complètement où elle se situe exactement et il se garde bien de querir des renseignements. Inutile d’éveiller des soupçons qui le replongeraient dans une affaire qui ne le concerne plus.
Dernière nuit sur la presqu’île, demain Mikael retourne à Locmariaquer rendre visite à Garcette. C’est une étape petit à petit devenue obligatoire pour lui. Le soir il lui téléphone pour lui annoncer son arrivée le lendemain vers midi dans son restaurant. Garcette saute de joie et lui promet un après-midi torride.
La nuit dans son duvet Mikael excité en imagine le déroulement. Des rêveries bien trop énervantes il est obligé de se soulager en solitaire.

De bon matin il va prendre sa douche, déplante et range ses affaires. Une fois la moto chargée il se gare devant la cafétéria du camping, prend un expéditif petit déjeuner et quitte Lambézen.
Il est impatient d’atteindre Locmariaquer et roule à vitesse soutenue sur l’asphalte de la E-60.
A 9H45 il passe Quimperlé et c’est à 12H05 qu’il stationne sa moto devant le restaurant de Garcette. Cette dernière lui avait réservé une petite table dans l’angle de la terrasse. Tout en lui présentant le menu elle lui annonce que sa mère prend les commandes du restaurant tout l’après-midi et qu’aussitôt le repas achevé elle emmène Mikael chez elle.
Le jeune homme s’en réjouie d’avance et son excitation l’enfièvre. Tant excité que ce qu’il mange n’a plus aucune importance. On lui ferait avaler une assiette complète d’épinard qu’il déteste que Mikael ne s’en apercevrait même pas.
Pas de carte bleue ni de monnaie pour honorer le repas, le jeune homme payera en nature.
Garcette est prête et invite Mikael à la suivre.
Une dizaine de minutes plus tard il pénètre dans l’entrée d’une petite propriété planté d’une maison typiquement Bretonne dont la couverture est de chaumes. Il met sa moto sur béquille, prend quelques affaires et emboite le pas de Garcette à l’intérieur de la demeure.
En cuisine, la maîtresse de maison prépare du café tout en dévorant des yeux Mikael. Tout deux savent qu’une fois les tasses vides ils seront partenaires jusqu’à demain matin.



Episode 29


Garcette show. (acte 1)


Ultime gorgée de café, Garcette débarrasse et tire Mikael dans la salle à manger.
Le jeune homme remarque de suite que la table à été poussé le long du mur et que les quatre chaises sont remisées dessus pour dégager de la place. Aucun doute Garcette avait préparé la fête.
La femme se poste face à Mikael, son visage affiche une pleine satisfaction de d’avoir le jeune homme entre ses murs. Elle le déshabille complètement puis tourne autour de lui en lui donnant de temps en temps de légères petites baffes sur son pénis dressé.

-        Tu es à moi ! Lui dit-elle. Rien qu’à moi jusqu’à demain matin ! Je vais te faire hurler de plaisir et de douleur parce qu’avec moi tu vas goûter à bien plus que la fessée.

Mikael ferme les yeux en frémissant.

-        Tu vas aimer j’en suis certaine ! Mais il faut avant tout que tu me payes ton repas hein ?

-        Oui Garcette ! Répond-il enthousiasmé.

La femme lui pince un sein, Mikael serre les dents.

-        Oui madame Garcette ! Lui commande-t-elle de dire en le pinçant plus fort.

-        Hooo, Ouaïe ! Oui Madame Garcette ! Répète-t-il en sautillant et grimaçant.

-        Bien Mikael, je vois que tu comprends vite qui domine, j’aime les garçons obéissants ! Ricane-t-elle en lâchant le sein du jeune homme.

Elle quitte un instant la pièce et revient avec un martinet.

-        Instrument de punition typiquement français. Je vais te faire valser ! Voyons, un plat du jour et un quart de vin. C’est bien ça ?

-        Oui madame Garcette !

La femme l’attrape de la main gauche par un poignet et de son autre main armée du martinet entame une flagellation de fesses.
Elle fait tourner Mikael en lui envoyant les lanières sur son postérieur dénudé. Petites frappes sèches qui cinglent assez douloureusement. Mikael sautille en poussant des petits cris étouffés.
Garcette se régale de tenir sous sa coupe le jeune homme. Elle fouette avec un total ravissement cette paire de fesses à peine rôdée. Elle les souhaite bien zébrées mais sans morsure, juste ce qu’il faut pour qu’elles soient éblouissantes. Mikael semble adorer ce traitement, son érection ne faiblit pas et encore moins quand après avoir bien tourné et dansé, Garcette s’assoit et le courbe en travers de ses cuises pour lui administrer une bonne fessée manuelle.
Trop bonne sans doute car Mikael n’y résistera pas et cette fois il asperge sans remord la robe de Garcette qui ne s’en offusque pas du tout. Restant assise, elle attrape Mikael par les cheveux et l’oblige à s’agenouiller devant elle.
Garcette passe ses mains sous sa jupe et retire sa culotte.

-        Il n’y a pas de raison que tu prennes du plaisir et pas moi. Dit-elle à Mikael en troussant sa jupe et en écartant ses jambes.


Elle invite le jeune homme à s’avancer et toujours à genoux bien se placer, elle pose une main derrière son crâne et manœuvre sa tête afin de lui plaquer la bouche sur sa vulve.

-        Fait jouir ta maîtresse avec ta langue, montre ton talent mon garçon. ! Lui intime-t-elle.

A ce jeu Mikael est un débutant ; juste une fois une fille le lui avait demandé et il s’était exécuté sans vraiment savoir s’il avait bien fait ou non. De toute façon il n’a pas le choix et cette situation lui plait beaucoup. La tête toujours maintenue par garcette il introduit sa langue et l’agite du mieux qu’il le peut.
Petite gâterie le clitoris de la femme est de bonne taille, Mikael joue avec sa souplesse et l’aspire entre ses lèvres en titillant le bout de rapides coups de langue.
Garcette ferme les yeux et laisse fuir de longs soupirs de volupté. Mikael est certes inexpérimenté mais elle sent sa volonté de bien faire.
La langue du jeune homme prend le temps d’une visite approfondie ; l’antre dégouline et les cuisses de Garcette tremblotent de bonheur. Les mains de la femme se crispent sur le crâne de Mikael en le plaquant plus fort sur le sexe en fête. A la limite de ne plus pouvoir respirer il poursuit son œuvre sans rechigner, le bassin de la femme est secoué par de nerveux spasme et la bouche grande ouverte elle libère un long râle rauque de plaisir en secouant la tête de Mikael dans tous les sens.
Le corps se détend, les mains de Garcette lâche le crâne qu’elles emprisonnaient. Mikael se laisse choir sur le tapis. Garcette haletante entrouvre les yeux.

-        Haarrrhhhh ! C’est bien Mikael… Tu te débrouilles pas mal et cela mérite une récompense.

Garcette se lève et entraine le jeune homme dans un petit cabinet de toilette. Elle lui sort un gant et une serviette et le laisse se nettoyer le visage et le sexe.
Lorsqu’il retourne dans la salle à manger il ne voit pas Garcette, mais entend du bruit à l’étage. Il avise une chaise tapissée et s’y assoit.
C’est une quinzaine de minutes plus tard que la femme revient. Elle s’est vêtue d’un débardeur bleu ciel très moulant et d’un short blanc très court. Elle va dans la cuisine et rapporte un plateau avec une bouteille de Coca, une de limonade, du sirop de menthe et deux godets en plastique. Elle entraine Mikael dans le jardin.

-        N’ait crainte mon garçon, le premier voisin est à plus de deux cent mètres. Lui dit-elle sachant qu’il est tout nu.

Mikael s’en moque, elle pourrait lui ordonner n’importe quoi. Visiblement son terrain n’est pas ce qu’on peut appeler entretenu. L’herbe est assez dense et haute agrémentée d’arbres sans ordre. Garcette se pose dans un petit coin ombragé où sont deux transats en bois que de fin matelas rayés bleu et blanc rendent confortables. Mikael remarque sous l’un d’eux une valise.
Garcette l’invite à prendre place sur l’un des transats et de choisir entre diabolo et Coca.
Verres pleins ils s’abreuvent par petites gorgées en laissant filer le temps. Garcette ne cesses de visiter du regard le corps de Mikael. Une aubaine ce jeune homme presque tout neuf. Elle se lève et colle son transat sur l’autre avant de s’y réinstaller. Elle regarde dans les yeux Mikael et il ne fait pas de doute que ce dernier attend une suite. Elle pose sa main sur son flan et descend vers ses hanches lentement. Le jeune homme frissonne et bien davantage quand la main caresse son sexe.

-        Tu aimes qu’on joue avec toi, tu aimes être nu devant une femme et qu’elle te domine hein ? L’interroge Garcette en manipulant délicatement son pénis qui prend lentement du volume.

-        Oui madame Garcette. Répond-il.

-        Hi, hi, hi ! C’est bien Mikael, tu es obéissant et j’adore ça.

Elle approche son visage et colle ses lèvres sur celle de Mikael.

-        Je vais te faire subir de bons petits supplices, je vais te faire souffrir, je vais te faire jouir. Tu veux bien ? Lui demande-t-elle.

Mikael cligne des yeux en signe d’approbation. Elle l’enlace, force sa bouche et l’embrasse longuement tout en continuant à lui palper le sexe.




Episode 30


Garcette show. (Acte 2)



Mikael est totalement sous l’emprise de Garcette et il ne désire pas qu’il en soit autrement. Elle le caresse, joue avec son sexe, lui pince les fesses puis au terme de ces attouchements elle se lève et ouvre la valise. Des jeux de cordes et des petites pinces chromées s’y trouvent en vrac.
Elle attrape Mikael, le sort du transat et lui colle le dos contre un tronc d’arbre, elle passe une corde par-dessus une branche et lui lie les poignets. Elle tire pour que ses bras soient bien tendus au dessus de sa tête puis lui attache les chevilles à la base du tronc. Docile il se laisse faire et son érection trahie son bonheur d’être ainsi dominé.
Garcette retire de la valise les pinces toutes reliées à un long cordon dont chacune de leurs extrémités sont nouées à un unique anneau.
Garcette ouvre une des pinces et la referme sur le téton droit de Mikael. Ce dernier sursaute et souffle entre ses lèvres une plainte. Une deuxième pince est refermée sur son téton gauche.
-        Aaayayaïeee ! Haaaaaaa ! Gémit-il du mal qui embrase ses pointes de seins.

Garcette jubile de le voir se tortiller d’affliction. Elle s’accroupie puis en pose une troisième en bout du prépuce. Tout le corps de Mikael se contracte et il éjecte entre ses dents serrées une longue lamentation.

-        Chuuuuttt Mikael, Hi, hi, hi, même si le premier voisin est distant il pourrait quand même t’entendre. Lui dit Garcette en rigolant.

-        Hoooaaaaa ! Madame je vous en prie ! Hayaïeeeeee ! retirez la ! Houaaaaa ! s’il-vous plait madame, haaaaa !

Garcette en pose une autre juste en dessous du testicule gauche. Mikael étouffe ses geignements en fermant la bouche mais ses trépignements témoignent du supplice subit. Une dernière en dessous du testicule droite ; Mikael Supplie en tremblant de douleur.



-        Ça fait mal ? Lui demande-t-elle avec un rictus incendié.

-        Oui madame Garcette, hoooouuuuu ! Oui trop ! Hayaaaaaaaïe !

-        Petit douillet ! Fait-elle en approchant le transat.

Du bout des doigts elle saisit le pénis de Mikael et le masturbe lentement. Malgré les pinces qui le torturent sa verge reprend vite de la raideur. Le jeune homme se plaint moins mais reste crispé.

-        Ça va mieux ainsi hein ? L’interroge Garcette.

-        Ho oui…. Ho oui ! Soupire Mikael.

La femme s’assoit sur le transat et prend l’anneau en main elle tire légèrement pour que les cinq cordons agissent sur les pinces.

-        Hoooooo, non ! non ! Se contorsionne Mikael.

-        Hoooo si ! Lui répond Garcettes en tirant un peu plus fort. Sachant que la première douleur de la pose des pinces passée le supplice devient plus supportable.

Elle se délecte de ce corps à sa merci. Parfois elle tiraille par petits coups sec ou elle tend lentement, très lentement pour que les tétons, la bourse et le pénis soient bien étirés. Les gémissements de Mikael l’électrisent et quand elle sent ce dernier à bout elle lui caresse le sexe pour infiltrer en lui une excitation apaisante.
Le jeu dure un bon petit moment avant qu’elle lui retire les pinces. Le jeune homme souffle de soulagement, Garcette l’embrasse longuement puis va chercher le martinet.
Elle se poste face à lui en faisant tourner les lanières. Mikael n’a de yeux que pour l’instrument et bande aussi dur que la pression de son sang lui permet.
Slac ! Les lanières s’étalent sur son bas ventre à pas plus de cinq centimètres de son sexe dressé. Garcette ne fouette pas fort elle veut juste lui faire craindre un mauvais coup sur ses parties sensibles. Elle a de l’expérience et agit avec beaucoup de précision. Les coups se succèdent sans réel tempo. Elle fait selon son envie ; une cinglée juste en dessous des bourses, une autre sur le côté de la hanche puis en dessous du nombril etc. Un amusement sans excessive souffrance qui plait à Mikael.
Un peu plus tard elle lâche le martinet et s’agenouille devant Mikael. Elle le décalotte puis de sa langue lèche de bas en haut toute la hampe en s’attardant arrivée en bout sur le gland.

-        Si jamais tu jouis, je te donne une sévère dérouillée. Prévient-elle en continuant ses léchouilles.

-        Je t’écorche vif à coup de martinet ! Menace-t-elle de nouveau.

Mikael se contracte et essaye de penser à autre chose que cette langue qui lui cajole la verge. Il lève ses yeux au ciel ou les ferme. Il grimace, serre les dents, se mordille les lèvres. C’est horrible, Garcette y met tout son savoir faire surtout quand sa langue tourne tout autour de son gland gonflé à bloc. Il trépigne et tente par des mouvements de hanche de se soustraire mais rien à faire la langue arrive toujours à retrouver sa friandise. Il sent qu’il ne pourra tenir encore longtemps et déjà il redoute la correction. Il tremble et implore, il va craquer. Garcette libère le sexe de sa bouche et recule en affichant toute sa satisfaction. Elle lève ses yeux vers le visage de Mikael. Il est en sueur, il est allégé et surtout rassuré de n’avoir pas jouis.

-        Bien mon garçon ! Bravo ! Félicite-t-elle. On va faire une pause, tu le mérites. Ajoute-t-elle en dénouant ses chevilles.

Ils reviennent tous les deux dans la salle à manger. Garcette prépare du thé et ouvre une boîte de biscuit Nantais, mais avant de lui offrir cette collation elle s’approche de Mikael, l’attrape par les cheveux et :

-        Mains au dos ! Ça te plait ? Lui demande-t-elle.

-        Oui… Oui, mais les pince c’est…

-        C’est comment ?

-        C’est dur, vraiment très dur. Répond-il.

-        Ce n’est rien mon garçon, après le goûter je vais te descendre à la cave et là je vais t’en faire baver. Lui annonce-t-elle avec un grand sourire.

-        M’en faire baver, mais ?

-        Oui mon garçon ! Dis-moi que tu le désires ! Réclame-t-elle d’une voix forte en tirant davantage les cheveux.

-         Mais je…

-        Dis-moi que tu le désire ! Insiste-t-elle.

-        Oui madame Garcette je le désire. Dit-il sans réfléchir plus.

-        Bien mon garçon ! Mmmmmm, madame Garcette va bien s’occuper de toi, tu ne le regretteras pas. Pour le moment prenons un peu de repos. Lui lâche-t-elle les cheveux en l’invitant cordialement à s’assoir et goûter.





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