épisode 27
Apéro chaud.
18H15, Bonemain stationne devant la façade d’une maison
de ville à trois niveaux. Une demeure plus que centenaire en granit lavé par le
temps couvert d’un toit en ardoise. Trois marches incurvées par les années de
passage conduisent au seuil d’une lourde porte en chêne riveté. Bonemain
actionne le coup de poing en bronze ; quelques secondes plus tard,
Verbehaut ouvre et invite à entrer.
Un couloir sombre mène vers la lumière d’une grande pièce
de vie. Les murs sont de pierres apparentes séparées en compartiments par des colombages.
Le solide parquet est recouvert en partie d’un tapis aux motifs orientaux. Le
massif mobilier : table, chaises et vaisselier est de fabrication
artisanal. En bout de pièce un canapé et
deux fauteuils lourds de cuir et de chêne. Madame et monsieur aiment
l’authentique et le costaud.
Une triple porte fenêtre est grande ouverte sur un petit
jardinet coincé entre la maison et trois hauts murs aux pierres disjointes. Au
milieu du carré de pelouse est posé un barbecue de fonte, une table en teck et
cinq chaises de jardin.
Verbehaut invite ses hôtes à s’installer dans les
fauteuils. Il ouvre un gros coffre clouté ressemblant à ceux qu’utilisaient les
pirates pour cacher leur trésor et en sort une bouteille de jaune à peine
entamée qu’il pose sur un plateau de cuivre ciselé soutenu par un trépied. Il
s’absente quelques instants et revient avec un pot de glaçons, une bouteille
d’eau fraîche, trois verres et une coupelle d’olives vertes.
L’homme verse les doses, l’eau et ajoute les
glaçons ; il donne un verre à Bonemain et Mikael, prend le dernier, le
lève et :
-
A la notre ! crie-t-il.
Première gorgées bues, Bonemain instruit son ami de son
périple en Europe.
-
Bon plan ça ! juge Verbehaut.
-
Tu l’as dit et bien payé en plus. Ajoute
Bonemain.
-
Et le matelot alors ?
-
Je remonte au nord et ensuite je descends au
sud. Répond Mikael.
-
Gast ! Bonne ballade en bécane ça !
Apprécie Verbehaut.
Un peu plus tard, une tournée est remise, le maître de
maison insiste pour que Bonemain et Mikael restent manger. Tout est prévu, une
grosse côte de bœuf et des pommes de terre. Verbehaut sort et allume le
barbecue.
Mikael a le regard perdu dans le fond de son verre, il
semble absorbé par de profondes pensés.
-
Ben alors môme, tu rêvasses ? Nom des
gueux ! Rigole Verbehaut en s’affalant dans le canapé.
-
Non je réfléchis !
-
Gast ! A quoi donc ?
-
Oh si vous saviez ça vous ferait bien rire.
Répond Mikael avec un large sourire.
-
Dis-nous, nom des gueux ! Veut savoir
Verbehaut curieux.
Mikael relève son nez de son verre et fixe le maître de
maison avec un étrange rictus.
-
Alors ? Le presse Verbehaut.
-
Vous voulez vraiment savoir ?
-
Gast ! Bien sûr !
-
Très bien. Fait Mikael en se levant du
fauteuil.
Il se place face au deux hommes puis commence à ôter son
tee-shirt.
-
Mais que fais-tu ? Lui demande étonné
Bonemain.
-
Je vous explique ce à quoi je pensais.
Réplique malicieux Mikael en enlevant ses chaussures.
-
Tu as chaud garçon ? Demande Verbehaut
ne comprenant pas la démarche de Mikael.
Ce dernier ne répond rien et ôte son pantalon de toile
montrant un slip pointé par une solide érection. Lentement il fait glisser son
slip à ses chevilles puis le jette sur le reste. Une fois tout nu il regarde
bien droit dans les yeux Verbehaut et :
-
Je veux savoir ce qu’est la fessée en
position de la brouette. Annonce-t-il rayonnant.
Verbehaut et Bonemain éclatent de rire.
-
Alors toi matelot tu me les coupe ! Ha,
ha, ha, ha, ha ! Sans rire, tu veux vraiment savoir ?
-
Parfaitement monsieur Verbehaut, je ne veux
pas quitter le Morbihan idiot.
-
Nom des gueux ! Ha, ha, ha, ha !
Ecoute Mikael, je ne veux pas te prendre en traite, mais si je te place en
brouette et que je t’en colle une tu vas vraiment avoir le riffe au cul parce
que j’ai envie de bien te rougir.
-
C’est bon pour moi ! Répond sans aucune
crainte Mikael en continuant d’exposer une érection sans faiblesses.
-
Gast ! Tu en es bien sûr ? Remet
Verbehaut en se chauffant les mains.
-
Certain ! Affirme le jeune homme.
-
Très bien, ça va être un apéro chaud ça. Nom
des gueux ! Viens ici !
Mikael s’approche du canapé. Verbehaut le fait
agenouiller à ses pieds et lui demande de se mettre à quatre pattes fesses vers
lui. Une fois dans la position souhaitée, Verbehaut attrape dans chaque main
les chevilles de Mikael, tire et les place à droite et gauche de ses hanches.
L’homme soulève le bassin de Mikael pour bien le poser sur ses deux cuisses.
Voilà donc le jeune homme le ventre sur les deux genoux
de Verbehaut, ses deux jambes écartées de chaque côté de son fesseur, les mains
bien plaquées au sol et le visage face au parquet.
Verbehaut contemple un bon moment cette paire de fesses
exposée sur ses cuisses. Elles sont tel un appétissant dessert qu’on ne
voudrait entamer par crainte d’en arriver à la dernière bouchée trop vite.
L’homme ne peut résister davantage à la tentation, sa mains droite se lève et
retombe sur la fesse de même côté. Une claque assez légère pour commencer. Il
lève sa mains gauche et applique l’identique sur la fesses correspondante.
Mikael ne bouge pas, juste un clignement des yeux signifie qu’il à bien reçu
les premières claques.
L’homme y va sans empressement, un tempo lent, main
droite main gauche. La peau fine et blanche de Mikael prend un peu de teinte et
se réchauffe gentiment. Verbehaut voit le sexe de son fessé tendu entre ses
jambes écartées.
Au bout d’un petit moment, estimant que le derme est à
bonne température, Verbehaut entreprend une vraie fessée. Les deux bras en
mouvement, chacun leur tour, droite, gauche, droite, gauche…
Le corps de Mikael se raidit et ses muscles fessiers se
compriment. Verbehaut avait prévenu que la fessée serait chaude. La bouche
grande ouverte les yeux plissés, Mikael absorbe les claques qui tombent et
retombent.
-
Houaillayayayayayaïe ! Crie-t-il en gesticulant
comme il peut du postérieur.
Quand il glisse en avant, Verbehaut le reprend pour le
remettre bien en position et poursuivre la fessée. Toujours à deux mains et
croyez qu’elles claquent rudement.
Au bout d’un moment, les deux demi-globes de Mikael sont
parfaitement écarlate ; il ne bande plus et suffoque. Verbehaut arrête la
fessée.
-
Alors matelot ? Rigole le fesseur.
-
Hoooooo…. Houuuu ! Répond Mikael en
laissant tout son poids peser sur les cuisses et genoux de l’homme.
Verbehaut glisse sa main le long des jeunes cuisses et
câline les fesses chaudes. D’un signe il demande à son amis Bonemain de lui
donner des glaçons. Une fois en mains il applique les petits cubes translucides
et glacés sur les rougeurs.
Mikael sursaute, se raidi puis se relâche en dégustant le
bonheur de ce froid sur ses fesses brûlantes.
Les glaçons fondent vite, Bonemain assure le
ravitaillement. Sensation inverse et plaisante comme la lave du volcan coule
jusqu’à la mer pour s’éteindre enfin d’un feu qui la dévore, Mikael se désaltère
de ce moment et de ce délice l’excitation redonne une raide droiture à son
sexe. Sous lui, le parquet est mouillé de petites flaques qui glissent les unes
vers les autres pour se rassembler et parfois se séparer tranché par une
nervure.
Assez joué avec le froid, Verbehaut estime qu’il est
temps de remettre du charbon dans la chaudière. Une dizaine de claques presque
trop molle pour réveiller l’épiderme et c’est la fessée qui reprend.
Mikael se dandine animé par les coups qui se succèdent.
-
Haaa… Hoooouu… Hayayayayayailleeeee !
Chante-t-il la partition des percussions.
Copieuse fessée que Verbehaut lui administre et achève
par de puissantes claques qui marquent au rouge vif les fesses de Mikael.
Dernière gifle tombée, le jeune homme se laisse glisser
sur le parquet où il trépide comme un poisson jeté sur la berge.
-
Houlà, là, là, làaaaaa ! Hooo, hou,
holà, la, la, la ! Piaffe-t-il sous les rires de Bonemain et Verbehaut.
-
Alors matelot, tu as aimé la brouette ?
Interroge hilare son fesseur.
-
Hoooooo…. Hoooouuuuu ! Continue-t-il à
émettre en se plaquant les mains sur les fesses incendiées.
Verbehaut se lève, quitte un petit moment la pièce et
revient avec un baume à l’arnica. Il redresse délicatement Mikael, va au
canapé, s’assoit et bascule le jeune homme en position OTK comme pour lui
redonner une fessée mais il n’en est rien heureusement.
Verbehaut lui passe le baume avec attention en prenant
bien soin qu’aucune rougeur ne soit oubliée.
Mikael souffle de soulagement puis bien pommadé il se
relève en esquissant un petit sourire crispé.
-
Alors ? Lui fait Bonemain.
-
Ben…. Houuu ! ça c’est une fessée !
Répond Mikael en grimaçant.
-
Je t’avais prévenu, tu pouvais refuser gamin.
Lui remémore Verbehaut.
-
Pas de problème, j’assume. Dit fièrement
Mikael.
-
Et la position de la brouette, qu’en
penses-tu ? Interroge Bonemain.
-
J’aime ! Oui j’aime beaucoup et puis les
glaçons vraiment super !
-
Laisse un peu la pommade être absorbé avant
de te rhabiller lui conseille Verbehaut.
La soirée se déroule calmement. Mikael se remet doucement
de la grosse fessée reçue et en plaisante.
C’est un peu après minuit qu’ils rentrent à Kerouarc’h et
se couchent.
Episode 28
Séparation et retrouvaille.
Le lendemain matin de bonne heure le café et les tartines
sont rapidement avalés. Vaisselle propre essuyée et rangée, un coup
d’aspirateur dans la grande salle et la serpillère sur le carrelage achève de
remettre la maison en état. Dans la salle de bain Mikael regarde ses fesses,
elles sont encore marquées par la fessée de la veille, mais aucunement
sensibles.
Un peu plus tard, le jeune homme arrime ses bagages sur
sa moto pendant que Bonemain charge ses affaires en cabine. L’homme ferme la
maison puis vient à Mikael.
-
Voilà, il est temps pour chacun de poursuivre
sa vie. Je suis content de t’avoir connu matelot. Fait gaffe à toi sur la
route ! Je te laisse mon numéro de portable, j’espère qu’un jour on se
reverra.
-
Merci monsieur Bonemain, c’était super sympa
de m’avoir accueillit. Je ne vous oublierais pas. Moi aussi j’espère qu’on se
rencontrera à nouveau, vraiment j’ai passé un super séjour. Bye Monsieur
Bonemain !
Mikael tourne la clef de contact et actionne de
démarreur. Il laisse quelques minutes chauffer son moteur puis se met en scelle,
enclenche la première vitesse et roule vers l’ouverture du portail en faisant
un signe d’au-revoir. Une fois les roues sur le goudron il accélère et
s’éloigne.
Bonemain monte en cabine et à son tour quitte la
propriété.
Mikael roule tranquillement, il prévoit de faire halte à
Pont-Aven pour déjeuner puis remonter vers Guilvinec et Penmarch pour y planter
sa tente. Depuis sa garde à vue et les aveux de Bonemain, la presqu’île du
Crozon l’obsède et c’est bien là qu’il compte passer quelques jours avant de
redescendre vers le sud-ouest. Il n’a plus rien à craindre, il est libre et ne
fait plus partie des suspects de cette affaire.
Comme prévu, il s’offre un restaurant à Pont-Aven. Tout
en dégustant une dorade il pense à Garcette et son envie de repasser par
Locmariaquer se fait moins aléatoire.
C’est vers 16 heures qu’il arrive au Guilvinec, mais les
campings sont complets ainsi qu’à Penmarch. Il se ballade un peu le long de la
côte puis s’infiltre dans les terres à la recherche d’un emplacement pour
planter sa tente. Un peu plus tard, c’est à Landudec qu’il trouve un camping
qui l’accueille sur un dernier emplacement derrière les sanitaires. Un diner au
resto du coin clôture sa soirée. Il reste assit devant sa tente jusqu’à ce que
la nuit soit presque noire et s’enfile dans son duvet.
Le lendemain le ciel est gris ; renseignement pris,
la météo régionale ne prévoit pas de pluie. Il démonte et charge sa moto.
S’acquitte du prix de l’emplacement et prend la route en direction de Plogoff.
L’après midi il fait une halte touristique à Douarnenez puis remonte vers la
presqu’île du Crozon. C’est à Lambézen qu’il déniche une petite place dans un
camping ; il en est très satisfait et comptes-y rester trois nuits.
Deux jours à visiter lentement cette presqu’île et quand
il passe vers Menesguen son cœur s’emballe. Ainsi c’est dans ce périmètre
qu’Horace de Fantenay était caché ? Mikael ne cherche pas la propriété,
d’ailleurs il ignore complètement où elle se situe exactement et il se garde
bien de querir des renseignements. Inutile d’éveiller des soupçons qui le
replongeraient dans une affaire qui ne le concerne plus.
Dernière nuit sur la presqu’île, demain Mikael retourne à
Locmariaquer rendre visite à Garcette. C’est une étape petit à petit devenue
obligatoire pour lui. Le soir il lui téléphone pour lui annoncer son arrivée le
lendemain vers midi dans son restaurant. Garcette saute de joie et lui promet
un après-midi torride.
La nuit dans son duvet Mikael excité en imagine le
déroulement. Des rêveries bien trop énervantes il est obligé de se soulager en
solitaire.
De bon matin il va prendre sa douche, déplante et range
ses affaires. Une fois la moto chargée il se gare devant la cafétéria du
camping, prend un expéditif petit déjeuner et quitte Lambézen.
Il est impatient d’atteindre Locmariaquer et roule à
vitesse soutenue sur l’asphalte de la E-60.
A 9H45 il passe Quimperlé et c’est à 12H05 qu’il
stationne sa moto devant le restaurant de Garcette. Cette dernière lui avait
réservé une petite table dans l’angle de la terrasse. Tout en lui présentant le
menu elle lui annonce que sa mère prend les commandes du restaurant tout
l’après-midi et qu’aussitôt le repas achevé elle emmène Mikael chez elle.
Le jeune homme s’en réjouie d’avance et son excitation
l’enfièvre. Tant excité que ce qu’il mange n’a plus aucune importance. On lui
ferait avaler une assiette complète d’épinard qu’il déteste que Mikael ne s’en
apercevrait même pas.
Pas de carte bleue ni de monnaie pour honorer le repas,
le jeune homme payera en nature.
Garcette est prête et invite Mikael à la suivre.
Une dizaine de minutes plus tard il pénètre dans l’entrée
d’une petite propriété planté d’une maison typiquement Bretonne dont la
couverture est de chaumes. Il met sa moto sur béquille, prend quelques affaires
et emboite le pas de Garcette à l’intérieur de la demeure.
En cuisine, la maîtresse de maison prépare du café tout
en dévorant des yeux Mikael. Tout deux savent qu’une fois les tasses vides ils
seront partenaires jusqu’à demain matin.
Episode 29
Garcette show. (acte 1)
Ultime gorgée de café, Garcette débarrasse et tire Mikael
dans la salle à manger.
Le jeune homme remarque de suite que la table à été
poussé le long du mur et que les quatre chaises sont remisées dessus pour
dégager de la place. Aucun doute Garcette avait préparé la fête.
La femme se poste face à Mikael, son visage affiche une
pleine satisfaction de d’avoir le jeune homme entre ses murs. Elle le
déshabille complètement puis tourne autour de lui en lui donnant de temps en
temps de légères petites baffes sur son pénis dressé.
-
Tu es à moi ! Lui dit-elle. Rien qu’à
moi jusqu’à demain matin ! Je vais te faire hurler de plaisir et de
douleur parce qu’avec moi tu vas goûter à bien plus que la fessée.
Mikael ferme les yeux en frémissant.
-
Tu vas aimer j’en suis certaine ! Mais
il faut avant tout que tu me payes ton repas hein ?
-
Oui Garcette ! Répond-il enthousiasmé.
La femme lui pince un sein, Mikael serre les dents.
-
Oui madame Garcette ! Lui
commande-t-elle de dire en le pinçant plus fort.
-
Hooo, Ouaïe ! Oui Madame Garcette !
Répète-t-il en sautillant et grimaçant.
-
Bien Mikael, je vois que tu comprends vite
qui domine, j’aime les garçons obéissants ! Ricane-t-elle en lâchant le
sein du jeune homme.
Elle quitte un instant la pièce et revient avec un
martinet.
-
Instrument de punition typiquement français.
Je vais te faire valser ! Voyons, un plat du jour et un quart de vin.
C’est bien ça ?
-
Oui madame Garcette !
La femme l’attrape de la main gauche par un poignet et de
son autre main armée du martinet entame une flagellation de fesses.
Elle fait tourner Mikael en lui envoyant les lanières sur
son postérieur dénudé. Petites frappes sèches qui cinglent assez
douloureusement. Mikael sautille en poussant des petits cris étouffés.
Garcette se régale de tenir sous sa coupe le jeune homme.
Elle fouette avec un total ravissement cette paire de fesses à peine rôdée.
Elle les souhaite bien zébrées mais sans morsure, juste ce qu’il faut pour
qu’elles soient éblouissantes. Mikael semble adorer ce traitement, son érection
ne faiblit pas et encore moins quand après avoir bien tourné et dansé, Garcette
s’assoit et le courbe en travers de ses cuises pour lui administrer une bonne
fessée manuelle.
Trop bonne sans doute car Mikael n’y résistera pas et
cette fois il asperge sans remord la robe de Garcette qui ne s’en offusque pas
du tout. Restant assise, elle attrape Mikael par les cheveux et l’oblige à
s’agenouiller devant elle.
Garcette passe ses mains sous sa jupe et retire sa
culotte.
-
Il n’y a pas de raison que tu prennes du
plaisir et pas moi. Dit-elle à Mikael en troussant sa jupe et en écartant ses
jambes.
Elle invite le jeune homme à s’avancer et toujours à
genoux bien se placer, elle pose une main derrière son crâne et manœuvre sa
tête afin de lui plaquer la bouche sur sa vulve.
-
Fait jouir ta maîtresse avec ta langue,
montre ton talent mon garçon. ! Lui intime-t-elle.
A ce jeu Mikael est un débutant ; juste une fois une
fille le lui avait demandé et il s’était exécuté sans vraiment savoir s’il
avait bien fait ou non. De toute façon il n’a pas le choix et cette situation
lui plait beaucoup. La tête toujours maintenue par garcette il introduit sa
langue et l’agite du mieux qu’il le peut.
Petite gâterie le clitoris de la femme est de bonne
taille, Mikael joue avec sa souplesse et l’aspire entre ses lèvres en titillant
le bout de rapides coups de langue.
Garcette ferme les yeux et laisse fuir de longs soupirs
de volupté. Mikael est certes inexpérimenté mais elle sent sa volonté de bien
faire.
La langue du jeune homme prend le temps d’une visite
approfondie ; l’antre dégouline et les cuisses de Garcette tremblotent de
bonheur. Les mains de la femme se crispent sur le crâne de Mikael en le
plaquant plus fort sur le sexe en fête. A la limite de ne plus pouvoir respirer
il poursuit son œuvre sans rechigner, le bassin de la femme est secoué par de
nerveux spasme et la bouche grande ouverte elle libère un long râle rauque de
plaisir en secouant la tête de Mikael dans tous les sens.
Le corps se détend, les mains de Garcette lâche le crâne
qu’elles emprisonnaient. Mikael se laisse choir sur le tapis. Garcette haletante
entrouvre les yeux.
-
Haarrrhhhh ! C’est bien Mikael… Tu te
débrouilles pas mal et cela mérite une récompense.
Garcette se lève et entraine le jeune homme dans un petit
cabinet de toilette. Elle lui sort un gant et une serviette et le laisse se
nettoyer le visage et le sexe.
Lorsqu’il retourne dans la salle à manger il ne voit pas
Garcette, mais entend du bruit à l’étage. Il avise une chaise tapissée et s’y
assoit.
C’est une quinzaine de minutes plus tard que la femme
revient. Elle s’est vêtue d’un débardeur bleu ciel très moulant et d’un short
blanc très court. Elle va dans la cuisine et rapporte un plateau avec une
bouteille de Coca, une de limonade, du sirop de menthe et deux godets en
plastique. Elle entraine Mikael dans le jardin.
-
N’ait crainte mon garçon, le premier voisin
est à plus de deux cent mètres. Lui dit-elle sachant qu’il est tout nu.
Mikael s’en moque, elle pourrait lui ordonner n’importe
quoi. Visiblement son terrain n’est pas ce qu’on peut appeler entretenu.
L’herbe est assez dense et haute agrémentée d’arbres sans ordre. Garcette se
pose dans un petit coin ombragé où sont deux transats en bois que de fin
matelas rayés bleu et blanc rendent confortables. Mikael remarque sous l’un
d’eux une valise.
Garcette l’invite à prendre place sur l’un des transats
et de choisir entre diabolo et Coca.
Verres pleins ils s’abreuvent par petites gorgées en
laissant filer le temps. Garcette ne cesses de visiter du regard le corps de
Mikael. Une aubaine ce jeune homme presque tout neuf. Elle se lève et colle son
transat sur l’autre avant de s’y réinstaller. Elle regarde dans les yeux Mikael
et il ne fait pas de doute que ce dernier attend une suite. Elle pose sa main
sur son flan et descend vers ses hanches lentement. Le jeune homme frissonne et
bien davantage quand la main caresse son sexe.
-
Tu aimes qu’on joue avec toi, tu aimes être
nu devant une femme et qu’elle te domine hein ? L’interroge Garcette en
manipulant délicatement son pénis qui prend lentement du volume.
-
Oui madame Garcette. Répond-il.
-
Hi, hi, hi ! C’est bien Mikael, tu es
obéissant et j’adore ça.
Elle approche son visage et colle ses lèvres sur celle de
Mikael.
-
Je vais te faire subir de bons petits
supplices, je vais te faire souffrir, je vais te faire jouir. Tu veux
bien ? Lui demande-t-elle.
Mikael cligne des yeux en signe d’approbation. Elle
l’enlace, force sa bouche et l’embrasse longuement tout en continuant à lui
palper le sexe.
Episode 30
Garcette show. (Acte 2)
Mikael est totalement sous l’emprise de Garcette et il ne
désire pas qu’il en soit autrement. Elle le caresse, joue avec son sexe, lui
pince les fesses puis au terme de ces attouchements elle se lève et ouvre la
valise. Des jeux de cordes et des petites pinces chromées s’y trouvent en vrac.
Elle attrape Mikael, le sort du transat et lui colle le
dos contre un tronc d’arbre, elle passe une corde par-dessus une branche et lui
lie les poignets. Elle tire pour que ses bras soient bien tendus au dessus de
sa tête puis lui attache les chevilles à la base du tronc. Docile il se laisse
faire et son érection trahie son bonheur d’être ainsi dominé.
Garcette retire de la valise les pinces toutes reliées à
un long cordon dont chacune de leurs extrémités sont nouées à un unique anneau.
Garcette ouvre une des pinces et la referme sur le téton
droit de Mikael. Ce dernier sursaute et souffle entre ses lèvres une plainte.
Une deuxième pince est refermée sur son téton gauche.
-
Aaayayaïeee ! Haaaaaaa ! Gémit-il
du mal qui embrase ses pointes de seins.
Garcette jubile de le voir se tortiller d’affliction.
Elle s’accroupie puis en pose une troisième en bout du prépuce. Tout le corps
de Mikael se contracte et il éjecte entre ses dents serrées une longue
lamentation.
-
Chuuuuttt Mikael, Hi, hi, hi, même si le
premier voisin est distant il pourrait quand même t’entendre. Lui dit Garcette
en rigolant.
-
Hoooaaaaa ! Madame je vous en
prie ! Hayaïeeeeee ! retirez la ! Houaaaaa ! s’il-vous
plait madame, haaaaa !
Garcette en pose une autre juste en dessous du testicule
gauche. Mikael étouffe ses geignements en fermant la bouche mais ses
trépignements témoignent du supplice subit. Une dernière en dessous du
testicule droite ; Mikael Supplie en tremblant de douleur.
-
Ça fait mal ? Lui demande-t-elle avec un
rictus incendié.
-
Oui madame Garcette, hoooouuuuu ! Oui
trop ! Hayaaaaaaaïe !
-
Petit douillet ! Fait-elle en approchant
le transat.
Du bout des doigts elle saisit le pénis de Mikael et le
masturbe lentement. Malgré les pinces qui le torturent sa verge reprend vite de
la raideur. Le jeune homme se plaint moins mais reste crispé.
-
Ça va mieux ainsi hein ? L’interroge
Garcette.
-
Ho oui…. Ho oui ! Soupire Mikael.
La femme s’assoit sur le transat et prend l’anneau en
main elle tire légèrement pour que les cinq cordons agissent sur les pinces.
-
Hoooooo, non ! non ! Se
contorsionne Mikael.
-
Hoooo si ! Lui répond Garcettes en
tirant un peu plus fort. Sachant que la première douleur de la pose des pinces
passée le supplice devient plus supportable.
Elle se délecte de ce corps à sa merci. Parfois elle
tiraille par petits coups sec ou elle tend lentement, très lentement pour que
les tétons, la bourse et le pénis soient bien étirés. Les gémissements de
Mikael l’électrisent et quand elle sent ce dernier à bout elle lui caresse le
sexe pour infiltrer en lui une excitation apaisante.
Le jeu dure un bon petit moment avant qu’elle lui retire
les pinces. Le jeune homme souffle de soulagement, Garcette l’embrasse
longuement puis va chercher le martinet.
Elle se poste face à lui en faisant tourner les lanières.
Mikael n’a de yeux que pour l’instrument et bande aussi dur que la pression de
son sang lui permet.
Slac ! Les lanières s’étalent sur son bas ventre à
pas plus de cinq centimètres de son sexe dressé. Garcette ne fouette pas fort
elle veut juste lui faire craindre un mauvais coup sur ses parties sensibles.
Elle a de l’expérience et agit avec beaucoup de précision. Les coups se
succèdent sans réel tempo. Elle fait selon son envie ; une cinglée juste
en dessous des bourses, une autre sur le côté de la hanche puis en dessous du
nombril etc. Un amusement sans excessive souffrance qui plait à Mikael.
Un peu plus tard elle lâche le martinet et s’agenouille
devant Mikael. Elle le décalotte puis de sa langue lèche de bas en haut toute
la hampe en s’attardant arrivée en bout sur le gland.
-
Si jamais tu jouis, je te donne une sévère
dérouillée. Prévient-elle en continuant ses léchouilles.
-
Je t’écorche vif à coup de martinet !
Menace-t-elle de nouveau.
Mikael se contracte et essaye de penser à autre chose que
cette langue qui lui cajole la verge. Il lève ses yeux au ciel ou les ferme. Il
grimace, serre les dents, se mordille les lèvres. C’est horrible, Garcette y
met tout son savoir faire surtout quand sa langue tourne tout autour de son
gland gonflé à bloc. Il trépigne et tente par des mouvements de hanche de se
soustraire mais rien à faire la langue arrive toujours à retrouver sa
friandise. Il sent qu’il ne pourra tenir encore longtemps et déjà il redoute la
correction. Il tremble et implore, il va craquer. Garcette libère le sexe de sa
bouche et recule en affichant toute sa satisfaction. Elle lève ses yeux vers le
visage de Mikael. Il est en sueur, il est allégé et surtout rassuré de n’avoir
pas jouis.
-
Bien mon garçon ! Bravo !
Félicite-t-elle. On va faire une pause, tu le mérites. Ajoute-t-elle en
dénouant ses chevilles.
Ils reviennent tous les deux dans la salle à manger.
Garcette prépare du thé et ouvre une boîte de biscuit Nantais, mais avant de
lui offrir cette collation elle s’approche de Mikael, l’attrape par les cheveux
et :
-
Mains au dos ! Ça te plait ? Lui
demande-t-elle.
-
Oui… Oui, mais les pince c’est…
-
C’est comment ?
-
C’est dur, vraiment très dur. Répond-il.
-
Ce n’est rien mon garçon, après le goûter je
vais te descendre à la cave et là je vais t’en faire baver. Lui annonce-t-elle
avec un grand sourire.
-
M’en faire baver, mais ?
-
Oui mon garçon ! Dis-moi que tu le
désires ! Réclame-t-elle d’une voix forte en tirant davantage les cheveux.
-
Mais
je…
-
Dis-moi que tu le désire !
Insiste-t-elle.
-
Oui madame Garcette je le désire. Dit-il sans
réfléchir plus.
-
Bien mon garçon ! Mmmmmm, madame
Garcette va bien s’occuper de toi, tu ne le regretteras pas. Pour le moment
prenons un peu de repos. Lui lâche-t-elle les cheveux en l’invitant
cordialement à s’assoir et goûter.
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