Épisode 8
Arts ménagers.
J’apprends par Grenadine et Ariane que les cours d’arts ménagers sont en fait l’apprentissage de la tenue d’un foyer et c’est Madame Nina qui assure la classe. Apprentissage plutôt réservé aux gonzesses, c’est bien ma veine ça ! Si la prof-lingère savait qu’avant d’ouvrir mon armoire il faut avant tout se préparer à retenir ce qui s’y trouve au risque de tout recevoir sur les pieds. Si elle voyait mon lit qui n’est fait que quand je change le drap et la housse de couette, si elle se doutait que le fer à repasser qu’on m’avait offert il y a deux ans est encore dans son emballage d’origine non ouvert, je crois qu’elle me jetterait immédiatement de ce cours.
Mais bon, ne paniquons pas, ce que font les femmes, il n’y a aucune raison qu’un homme ne puisse pas le faire… Après tout, c’est nous qu’on est les plus fort !
C’est l’heure du cours ; celui-ci ne se déroule pas dans la classe, mais dans une drôle de pièce ou tout un tas d’instruments barbares y sont entreposé. Il y a des balais, des aspirateurs, des raclettes à vitre, une cuisinière avec deux fours et toute la batterie de cuisine, une table à repasser, des plumeaux etc.
- Silence ! Impose Madame Nina.
En une fraction de seconde le brouhaha de nos discutions s’éteint.
- Aujourd’hui, nous allons apprendre à repasser une chemise. Annonce-t-elle en allumant un fer et en posant une chemise plus que froissée sur la table.
Méthodiquement, sous nos regard attentif, elle explique étape par étape comment opérer. Faut dire qu’elle a un sacré coup de main. Bordel, c’est bien ma veine ça, du repassage…. Mais qu’est-ce que je suis venu faire ici et par qu’elle sortilège j’y suis ? Bonne question d’ailleurs parce que je ne le sais toujours pas.
Madame Nina reprend une autre chemise et recommence lentement pour que tout le monde comprenne. Je n’en perds pas une seule fraction de quart de fraction de seconde.
Quelques minutes plus tard, c’est à notre tour et la première à s’y coller est Rose. Il y a de quoi faire, des chemises fripées il y en a plein une panière. Elle s’en tire très bien et les suivantes également. Quelques réflexions pour Marie et Dora mais rien de bien méchant. Apparemment elle me réserve pour la fin. Tant mieux d’ailleurs parce qu’ainsi je peux réviser à chaque passage et repassage. Tiens je fais de l’humour… Léa reçoit un bon point pour avoir plus que parfaitement repassé la chemise.
C’est l’heure de vérité, la prof me convie à la table et y dépose une chemise. J’ai l’impression qu’elle est bien plus froissée que les précédentes mais c’est sans doute qu’une impression. Autour de moi les pensionnaires affichent un sourire moqueur mais elles vont voir ce qu’elles vont voir ! J’ai bien vu comment elles avaient fait alors il n’y a aucune raison que je n’y arrive pas.
Je m’applique et pour le moment tout ce passe bien. C’est en dessous du col que ça se gâte, il y a un pli qui ne veut absolument pas s’aplatir. J’insiste, je tire sur le tissu, je recommence, j’insiste un peu plus, bordel, ce maudit pli ne va pas me faire chier longtemps j’insiste encore sur ces quelques centimètres carrés et il me vient aux narines comme une légère odeur de chaud, je dirais même comme une odeur prononcée de brûlé. Madame Nina me retire le fer des mains et je constate que la chemise, à l’endroit du pli qui na pas disparu, n’est plus vraiment de couleur blanche mais plutôt un peu brune. C’est dôle, ça me fait penser à de la crème brûlée… Juste la couleur, pas l’odeur. Toutes les pensionnaires se bidonnent il n’y a que madame Nina qui fait la gueule. Tsss, je sens qu’elle n’a pas le sens de l’humour.
- Un slip, et maintenant une chemise ! Monsieur Mikael je crois qu’il est grand temps de vous prendre sérieusement en main et vous apprendre à respecter les affaires du pensionnat.
- Mais madame, soyez indulgente, c’est la première fois et…
- Hé bien moi c’est la première fois que je vais te flanquer une fessée et malgré ça, tu vas vite t’apercevoir que je suis nettement plus douée que toi au repassage. Prune, vas me chercher une chaise !
La jeune femme ne se fait pas prier et en moins de 10 secondes la chaise est en place. J’ai beau réclamer un autre essai mais rien à faire, madame Nina me tire en travers de ses genoux et me trousse la jupe.
Bordel, cette fois je n’y coupe pas.
La première claque est si forte que j’ai cru qu’elle avait gardé le fer à repasser en main.
Ho la vache ! En moins de 10 frappes j’ai déjà les fesses en feu et je ne peux faire autrement qu’émettre par de gros « AÏE ! » ma désapprobation mais surtout la cuisante douleur qui prend possession de mes fesses. Je les entends glousser de joie les pensionnaires. Pensez-donc, un mâle qui se fait copieusement fesser sous leurs yeux, ce ne doit pas être tous les jours qu’elles assistent à ça. Il est vrai que je serais à leur place, j’y prendrais certainement autant de bonheur. En attendant, c’est moi qui trinque et quand je dis « trinquer » ce n’est pas un verre mais la bouteille que je me tape.
J’essaye tant bien que mal de me protéger de la main mais la prof à réussi à me la coincer dans le dos. Bordel ! J’ai les fesses sur de la braise, non, ce n’est pas possible, ce n’est pas une femme c’est un bûcheron ! Peut-être est-elle plus sévère parce que je suis un homme ? Si c’est le cas, c’est parfaitement injuste !
J’ai trop mal, tant pis quitte à ce qu’on me traîne plus bas que terre, j’implore sa clémence.
- Madame… Haaaayaaaa ! Pitié madame ! Houaaaaaa ! Pitiiiééééé !!!!
Elle m’a entendu, la fessée s’arrête, j’ai les jambes qui tremblent et presque la larme à l’œil. J’en connais trois qui doivent mouiller la culotte. Soudain, je sens le pouce de madame Nina passer sous l’élastique de mon slip et le descendre au dessous de mes fesses.
Ho non !!! Pas ça !, Je tente désespérément de me dégager de ses genoux mais la femme à de la force et me maintient en position. C’est reparti, mais curieusement les frappes sont moins fortes. J’imagine que cette relative douceur est de ne pas trop en rajouter, l’humiliation d’être cul nu devant dix demoiselles semble peut-être suffisante à madame Nina. Pour la forme je sursaute, tressaute, gesticule et chante quelques « AÏE, AÏE, AÏEEEEE ! ».
J’apprends par Grenadine et Ariane que les cours d’arts ménagers sont en fait l’apprentissage de la tenue d’un foyer et c’est Madame Nina qui assure la classe. Apprentissage plutôt réservé aux gonzesses, c’est bien ma veine ça ! Si la prof-lingère savait qu’avant d’ouvrir mon armoire il faut avant tout se préparer à retenir ce qui s’y trouve au risque de tout recevoir sur les pieds. Si elle voyait mon lit qui n’est fait que quand je change le drap et la housse de couette, si elle se doutait que le fer à repasser qu’on m’avait offert il y a deux ans est encore dans son emballage d’origine non ouvert, je crois qu’elle me jetterait immédiatement de ce cours.
Mais bon, ne paniquons pas, ce que font les femmes, il n’y a aucune raison qu’un homme ne puisse pas le faire… Après tout, c’est nous qu’on est les plus fort !
C’est l’heure du cours ; celui-ci ne se déroule pas dans la classe, mais dans une drôle de pièce ou tout un tas d’instruments barbares y sont entreposé. Il y a des balais, des aspirateurs, des raclettes à vitre, une cuisinière avec deux fours et toute la batterie de cuisine, une table à repasser, des plumeaux etc.
- Silence ! Impose Madame Nina.
En une fraction de seconde le brouhaha de nos discutions s’éteint.
- Aujourd’hui, nous allons apprendre à repasser une chemise. Annonce-t-elle en allumant un fer et en posant une chemise plus que froissée sur la table.
Méthodiquement, sous nos regard attentif, elle explique étape par étape comment opérer. Faut dire qu’elle a un sacré coup de main. Bordel, c’est bien ma veine ça, du repassage…. Mais qu’est-ce que je suis venu faire ici et par qu’elle sortilège j’y suis ? Bonne question d’ailleurs parce que je ne le sais toujours pas.
Madame Nina reprend une autre chemise et recommence lentement pour que tout le monde comprenne. Je n’en perds pas une seule fraction de quart de fraction de seconde.
Quelques minutes plus tard, c’est à notre tour et la première à s’y coller est Rose. Il y a de quoi faire, des chemises fripées il y en a plein une panière. Elle s’en tire très bien et les suivantes également. Quelques réflexions pour Marie et Dora mais rien de bien méchant. Apparemment elle me réserve pour la fin. Tant mieux d’ailleurs parce qu’ainsi je peux réviser à chaque passage et repassage. Tiens je fais de l’humour… Léa reçoit un bon point pour avoir plus que parfaitement repassé la chemise.
C’est l’heure de vérité, la prof me convie à la table et y dépose une chemise. J’ai l’impression qu’elle est bien plus froissée que les précédentes mais c’est sans doute qu’une impression. Autour de moi les pensionnaires affichent un sourire moqueur mais elles vont voir ce qu’elles vont voir ! J’ai bien vu comment elles avaient fait alors il n’y a aucune raison que je n’y arrive pas.
Je m’applique et pour le moment tout ce passe bien. C’est en dessous du col que ça se gâte, il y a un pli qui ne veut absolument pas s’aplatir. J’insiste, je tire sur le tissu, je recommence, j’insiste un peu plus, bordel, ce maudit pli ne va pas me faire chier longtemps j’insiste encore sur ces quelques centimètres carrés et il me vient aux narines comme une légère odeur de chaud, je dirais même comme une odeur prononcée de brûlé. Madame Nina me retire le fer des mains et je constate que la chemise, à l’endroit du pli qui na pas disparu, n’est plus vraiment de couleur blanche mais plutôt un peu brune. C’est dôle, ça me fait penser à de la crème brûlée… Juste la couleur, pas l’odeur. Toutes les pensionnaires se bidonnent il n’y a que madame Nina qui fait la gueule. Tsss, je sens qu’elle n’a pas le sens de l’humour.
- Un slip, et maintenant une chemise ! Monsieur Mikael je crois qu’il est grand temps de vous prendre sérieusement en main et vous apprendre à respecter les affaires du pensionnat.
- Mais madame, soyez indulgente, c’est la première fois et…
- Hé bien moi c’est la première fois que je vais te flanquer une fessée et malgré ça, tu vas vite t’apercevoir que je suis nettement plus douée que toi au repassage. Prune, vas me chercher une chaise !
La jeune femme ne se fait pas prier et en moins de 10 secondes la chaise est en place. J’ai beau réclamer un autre essai mais rien à faire, madame Nina me tire en travers de ses genoux et me trousse la jupe.
Bordel, cette fois je n’y coupe pas.
La première claque est si forte que j’ai cru qu’elle avait gardé le fer à repasser en main.
Ho la vache ! En moins de 10 frappes j’ai déjà les fesses en feu et je ne peux faire autrement qu’émettre par de gros « AÏE ! » ma désapprobation mais surtout la cuisante douleur qui prend possession de mes fesses. Je les entends glousser de joie les pensionnaires. Pensez-donc, un mâle qui se fait copieusement fesser sous leurs yeux, ce ne doit pas être tous les jours qu’elles assistent à ça. Il est vrai que je serais à leur place, j’y prendrais certainement autant de bonheur. En attendant, c’est moi qui trinque et quand je dis « trinquer » ce n’est pas un verre mais la bouteille que je me tape.
J’essaye tant bien que mal de me protéger de la main mais la prof à réussi à me la coincer dans le dos. Bordel ! J’ai les fesses sur de la braise, non, ce n’est pas possible, ce n’est pas une femme c’est un bûcheron ! Peut-être est-elle plus sévère parce que je suis un homme ? Si c’est le cas, c’est parfaitement injuste !
J’ai trop mal, tant pis quitte à ce qu’on me traîne plus bas que terre, j’implore sa clémence.
- Madame… Haaaayaaaa ! Pitié madame ! Houaaaaaa ! Pitiiiééééé !!!!
Elle m’a entendu, la fessée s’arrête, j’ai les jambes qui tremblent et presque la larme à l’œil. J’en connais trois qui doivent mouiller la culotte. Soudain, je sens le pouce de madame Nina passer sous l’élastique de mon slip et le descendre au dessous de mes fesses.
Ho non !!! Pas ça !, Je tente désespérément de me dégager de ses genoux mais la femme à de la force et me maintient en position. C’est reparti, mais curieusement les frappes sont moins fortes. J’imagine que cette relative douceur est de ne pas trop en rajouter, l’humiliation d’être cul nu devant dix demoiselles semble peut-être suffisante à madame Nina. Pour la forme je sursaute, tressaute, gesticule et chante quelques « AÏE, AÏE, AÏEEEEE ! ».
J’entends de grands
rires ; c’est certain qu’elles doivent bien s’amuser de me voir en si
mauvaise posture. Hooo ! Madame Nina reprend des forces et sur mon
postérieur bien bouillant je sens de nouveau l’impact puissant des claques. Je
serre les dents, j’encaisse et quand je n’en peux plus de retenir ma voix je
lâche le trop plein de cris.
Inutile de préciser que pour ce qui est de prendre du plaisir à recevoir une fessée, ce sera pour une autre fois…
Des fessée à la main, j’en avais déjà pris quelques unes consentantes
mais je n’ai pas le souvenir d’une aussi douloureuse. C’est certain, elle à une
fausse main, elle est en bois recouverte de peau.Inutile de préciser que pour ce qui est de prendre du plaisir à recevoir une fessée, ce sera pour une autre fois…
Cette fessée a duré moins longtemps que celles reçues par Léa et Joan mais elle fut beaucoup plus ferme et je suis certain que s’il y avait un concours de rougeur, la médaille serait pour moi.
Quand Madame Nina relâche son emprise je ne sais même pas si je vais pouvoir me relever. J’ai le sentiment que le moindre mouvement que je ferais ne ferait qu’accentuer le feu qui me cuit le postérieur.
Un geste délicat de la part de la prof-lingère, avant que je ne me remette debout, elle me remonte mon slip et me rabaisse ma jupe histoire de préserver un peu mon intimité côté face, mais je doute, vu comment j’ai gigoté dans tous les sens, que celle-ci ne fut pas déjà dévoilée. Reconnaissons quand même ce beau geste…
- Maintenant nous allons faire des pâtisseries pour ce soir, m’instruit madame Nina, Mais comme je ne te crois pas plus habile en cuisine qu’en repassage et que je ne veux pas que tu mettes le feu à l’établissement, tu files au coin mains sur la tête. Me dit-elle en me montrant du doigt l’angle du mur.
Bon d’accord, ce n’est pas le top d’être au coin mais franchement, pour le moment je préfère être debout qu’assis, au moins le temps que ça refroidisse. D’ailleurs, je ne regrette plus la jupe car pour la circulation d’air frais, c’est idéal.
épisode 9
Barbouillage.
Au coin, les mains sur la tête j’entends les femmes s’affairer. Des bruits de couteaux, de cuillères, de porcelaine, de batteurs, de rouleaux à pâtisserie et la voix de Madame Nina qui orchestre tout ce joli monde.
Ça me pique encore les fesses, cette perception de douleur qui s’épuise très lentement me titille et je sens tout en bas de mon ventre un chatouillement qui progresse jusqu’au bout de mon sexe.
Quelle fessée j’ai reçu ! Mmmmmm l’après châtiment me procure une excitante impression. Je commence à avoir une érection, je me colle un peu plus au mur pour, à travers le tissu, ressentir au touché de mon pénis le papier peint. Je me frotte discrètement au mur en imaginant que Madame Nina va m’en coller une autre même si c’est complètement déraisonnable. C’est certain, je n’y résisterais pas plus de 2 secondes.
Ho non, il ne faut pas que je pense à ce genre de chose parce qu’à continuer comme ça, c’est à la lingerie que je vais finir et ensuite en travers des genoux de la directrice et franchement après cette magistrale fessée, j’ai surtout besoin d’un bon break.
Madame Nina m’a permit d’ôter mes mains de la tête pour les mettre au dos. Tant mieux, je commençais à avoir des fourmis dans les doigts.
Je leur tourne le dos, je ne vois rien mais les bonnes odeurs de pâtisseries en préparation me provoquent d’autres envies. Je suis un gourmand et il m’est difficile de résister aux gâteaux. J’essaye de deviner ce qu’elles font. Je sens une odeur de pâte chaude et de compote, probablement une tarte aux pommes. Il me vient aussi un parfum de chocolat puis, de fraise… Mmmmm ! Mon ventre commence à gargouiller et sur le papier peint je dessine des yeux un menu virtuel de religieuses, d’éclairs, de tartes aux fruits et d’œufs en neige.
Ça fait déjà un bon moment que je me fais une crise de foie virtuelle quand la voix de Madame Nina me tire de mes chimères gourmandes.
Au coin, les mains sur la tête j’entends les femmes s’affairer. Des bruits de couteaux, de cuillères, de porcelaine, de batteurs, de rouleaux à pâtisserie et la voix de Madame Nina qui orchestre tout ce joli monde.
Ça me pique encore les fesses, cette perception de douleur qui s’épuise très lentement me titille et je sens tout en bas de mon ventre un chatouillement qui progresse jusqu’au bout de mon sexe.
Quelle fessée j’ai reçu ! Mmmmmm l’après châtiment me procure une excitante impression. Je commence à avoir une érection, je me colle un peu plus au mur pour, à travers le tissu, ressentir au touché de mon pénis le papier peint. Je me frotte discrètement au mur en imaginant que Madame Nina va m’en coller une autre même si c’est complètement déraisonnable. C’est certain, je n’y résisterais pas plus de 2 secondes.
Ho non, il ne faut pas que je pense à ce genre de chose parce qu’à continuer comme ça, c’est à la lingerie que je vais finir et ensuite en travers des genoux de la directrice et franchement après cette magistrale fessée, j’ai surtout besoin d’un bon break.
Madame Nina m’a permit d’ôter mes mains de la tête pour les mettre au dos. Tant mieux, je commençais à avoir des fourmis dans les doigts.
Je leur tourne le dos, je ne vois rien mais les bonnes odeurs de pâtisseries en préparation me provoquent d’autres envies. Je suis un gourmand et il m’est difficile de résister aux gâteaux. J’essaye de deviner ce qu’elles font. Je sens une odeur de pâte chaude et de compote, probablement une tarte aux pommes. Il me vient aussi un parfum de chocolat puis, de fraise… Mmmmm ! Mon ventre commence à gargouiller et sur le papier peint je dessine des yeux un menu virtuel de religieuses, d’éclairs, de tartes aux fruits et d’œufs en neige.
Ça fait déjà un bon moment que je me fais une crise de foie virtuelle quand la voix de Madame Nina me tire de mes chimères gourmandes.
- Monsieur Mikael, le cours est terminé, vous pouvez allez en récréation avec les autres, moi je reste ici pour surveiller la cuisson des tartes.
- Merci Madame !
Dans la cour, je suis la vedette.
- Alors l’homme à pris sa fessée déculottée devant les filles ! Me provoque Joan.
- Un beau cul tout rouge ! Poursuit Grâce.
- Elle ne t’a pas loupé la Nina ! Ho que c’était beau ! En rajoute Rose.
- Pitié madame pitié ! Ho que nous avons aimé ! Continue Joan.
Moi, je reste stoïque à leurs sarcasmes et quand elles commencent à s’épuiser je leur offre un grand sourire et :
- Si vous n’allez pas à la lingerie, c’est que le spectacle ne fut pas si excitant que ça. Moi, ce matin, quand tu as reçus la tienne Joan, j’ai jouis comme un fou ! Ha comme je comprends ta déception ! Cependant, je ne veux rien te devoir et donc, Je te promets de faire mieux pour ma prochaine fessée ; alors tu peux déjà préparer une culotte propre.
Les autres pensionnaires présentes éclatent de rire. Joan et ses deux copines s’éloignent en jurant quelques menaces inaudibles.
Grenadine me rejoint.
- Où étais-tu ? Lui demandais-je.
- A la lingerie avec Marie ! Me retourne-t-elle avec un grand sourire.
- Ah d’accord ! Madame s’est envoyé en l’air en me voyant souffrir le martyr !
- Ho que oui ! C’était… Lève-t-elle les yeux au ciel et la bouche en cœur.
- Pas de détail s’il te plait mes fesses sont encore tièdes.
- Fais voir !
Je soulève un peu la jupe, elle se penche et :
- C’est une sadique ! Lui dis-je.
- Allons Mikael, avoues qu’elle fesse bien madame Nina ?
- Trop fort au départ et à la fin. Estimais-je.
- Petite nature ! Me balance-t-elle avec un soupçon de mépris.
- Et bien s’il y a une prochaine fois, tu prendras ma place.
- Le règlement l’interdit mon cher. Me réplique-t-elle avec un déhanché provocateur.
Un coup de sifflet retentit, c’est l’heure de se mettre en rang. En rejoignant l’alignement je demande à Grenadine la nature du prochain cours et elle m’instruit que celui-ci est d’art ; sculpture sur argile, peinture, dessin ou broderie. La broderie ce n’est pas mon truc mais pour le reste, whaoouu, j’ai plus de chance de gagner un bon point que de prendre une raclée.
Tiens cette fois ce n’est pas une prof mais un. Un grand maigre, les cheveux en bataille et d’une tenue vestimentaire un peu baba cool. Il n’a pas l’air bien méchant celui-là.
Direction le gymnase. J’espère qu’il n’y a pas également d’art sportif parce que moi ce matin, j’ai déjà donné.
Au milieu de l’espace ont été disposés quelques tabourets. Il y a aussi des planchettes à dessins, une boîte à chaussures pleine de crayons de toutes les couleurs et des gommes, cinq ou six pochettes de papier dessin et une valise.
- Zut c’est encore dessin aujourd’hui ! Me glisse dans l’oreille Grenadine.
Pour moi c’est parfait ! Evidement, tout le monde ne sait pas dessiner alors si c’est le cas de Grenadine je comprends son aversion.
- Mesdemoiselles, installez-vous ! Comme il n’y a que six tabourets, les quatre dernières assises parterre.
Comme il n’a parlé que de demoiselle, moi je reste à l’écart. L’homme se tourne vers moi avec un regard étonné. Il me contemple de la tête aux pieds et me demande qui je suis.
- Je suis Mikael monsieur !
Il réfléchit un instant puis :
- Ah oui ! Madame la directrice m’avait parlé hier de votre possible venue. Mais… Comment dire… Je ne m’attendais pas à ce vous voir en uniforme de…
Grand rire dans le gymnase.
- Silence mesdemoiselles ! Tonne le prof avant de m’inviter à rejoindre le groupe.
Pas galantes les six pensionnaires assises sur les tabourets, pas une m’a proposé sa place. Je n’ai plus qu’à m’asseoir sur le sol à côté de Léa.
- Mesdemoiselles, fait le prof avant d’ajouter presque confus, et monsieur ! Aujourd’hui nous allons faire un exercice de dessin sur modèle vivant. Le thème est «après le martinet». Je vais donc fouetter quelqu’un et ensuite le mettre en position de pénitence. Les autres devront reproduire le plus fidèlement possible le modèle exposé et je veux des fesses biens dessinées ainsi que les belles marques du martinet.
Je commence à comprendre pourquoi Grenadine n’avait pas l’air d’apprécier le dessin et je dois aussi dire que je ne suis pas très chaud pour servir de modèle, mes fesses en ont assez reçu pour aujourd’hui. Dans le gymnase c’est le grand silence. Elles sont tous pétrifiées sauf Joan et Léa. Qui sont les seules à afficher un petit sourire et je vais bientôt comprendre pourquoi.
épisode 10
Œuvres signées.
Le prof sort un petit papier de sa poche. Il le lit rapidement puis relève sa tête vers nous en annonçant.
- Sont exemptés du tirage au sort : Léa, Joan et Mikael !
Léa, ma voisine de sol, me pose une main sur la cuisse et me glisse à l’oreille, qu’il est de tradition que tous les pensionnaires qui ont été punis dans la journée avant ce cours sont écartés du tirage au sort. J’apprécie cet acte de pure justice à sa juste valeur.
Le prof a sorti un jeu de carte et demande à chacune d’en tirer une, celle qui à la plus petite à gagné… Enfin, façon de parler.
Pas de chance pour Ariane. Le prof la fait sortir du groupe, dommage, elle n’avait pas de tabouret sinon je le lui aurais piqué. Il lui fait distribuer les planchettes, les feuilles, les crayons et les gommes. Ensuite il ouvre la valise et en sort un très beau martinet. Pas un martinet de bazar, oh que non, celui là c’est un vrai avec de belles lanières de cuir de section ronde bien calibrées.
- Mademoiselle Ariane, veuillez, s’il-vous-plait, vous dévêtir complètement ! Commande-t-il avec courtoisie.
Whooo ! Alors là, je vais sans doute assister au meilleur cours de dessin de ma vie.
La pauvre Ariane ôte un à un tous ses vêtements jusqu’à nudité intégrale. Elle est belle et entièrement rasé ce qui ne gâche rien. Son visage reste cependant impassible et elle ne semble ni être humilié, ni craintive du martinet. Peut-être aime-t-elle ça ? Pourquoi je dis peut-être… En fait c’est certain parce que toutes les pensionnaires aiment se faire fesser sinon elles ne seraient pas dans cette institution au régime disciplinaire si particulier.
Le prof lui demande avec beaucoup de politesses de se pencher en avant, elle s’exécute sans rechigner. La scène est complètement irréelle.
L’homme fait quelques petit pas en arrière, un peu à gauche et un peu à droite pour bien se positionner.
- Mademoiselle Ariane, puis-je commencer. Etes-vous prête ?
- Tout à fait monsieur ! Dit-elle avec un ton qui ne fait aucun doute sur son total assentiment.
Oui, absolument irréelle et pourtant… Je suis bien là et je vois ce que je vois.
Le prof lève son bras armé et entame la fouettée sans appuyer les coups. Les fesses d’Ariane s’impriment de légères stries un peu plus roses. L’homme augmente petit à petit la force des frappes et Ariane commence sursauter mais tout en gardant cette magnifique position qui nous offre une superbe croupe.
Maintenant ça fouette assez sec mais sans excessive brutalité et la demoiselle émet quelques plaintes mais il est difficile de savoir si elles sont de douleur ou de plaisir. Le prof est un artiste, les stries des lanières ne sont aucunement anarchiques mais composent un graphique régulier dans un très beau dégradé de rouges.
Le prof sort un petit papier de sa poche. Il le lit rapidement puis relève sa tête vers nous en annonçant.
- Sont exemptés du tirage au sort : Léa, Joan et Mikael !
Léa, ma voisine de sol, me pose une main sur la cuisse et me glisse à l’oreille, qu’il est de tradition que tous les pensionnaires qui ont été punis dans la journée avant ce cours sont écartés du tirage au sort. J’apprécie cet acte de pure justice à sa juste valeur.
Le prof a sorti un jeu de carte et demande à chacune d’en tirer une, celle qui à la plus petite à gagné… Enfin, façon de parler.
Pas de chance pour Ariane. Le prof la fait sortir du groupe, dommage, elle n’avait pas de tabouret sinon je le lui aurais piqué. Il lui fait distribuer les planchettes, les feuilles, les crayons et les gommes. Ensuite il ouvre la valise et en sort un très beau martinet. Pas un martinet de bazar, oh que non, celui là c’est un vrai avec de belles lanières de cuir de section ronde bien calibrées.
- Mademoiselle Ariane, veuillez, s’il-vous-plait, vous dévêtir complètement ! Commande-t-il avec courtoisie.
Whooo ! Alors là, je vais sans doute assister au meilleur cours de dessin de ma vie.
La pauvre Ariane ôte un à un tous ses vêtements jusqu’à nudité intégrale. Elle est belle et entièrement rasé ce qui ne gâche rien. Son visage reste cependant impassible et elle ne semble ni être humilié, ni craintive du martinet. Peut-être aime-t-elle ça ? Pourquoi je dis peut-être… En fait c’est certain parce que toutes les pensionnaires aiment se faire fesser sinon elles ne seraient pas dans cette institution au régime disciplinaire si particulier.
Le prof lui demande avec beaucoup de politesses de se pencher en avant, elle s’exécute sans rechigner. La scène est complètement irréelle.
L’homme fait quelques petit pas en arrière, un peu à gauche et un peu à droite pour bien se positionner.
- Mademoiselle Ariane, puis-je commencer. Etes-vous prête ?
- Tout à fait monsieur ! Dit-elle avec un ton qui ne fait aucun doute sur son total assentiment.
Oui, absolument irréelle et pourtant… Je suis bien là et je vois ce que je vois.
Le prof lève son bras armé et entame la fouettée sans appuyer les coups. Les fesses d’Ariane s’impriment de légères stries un peu plus roses. L’homme augmente petit à petit la force des frappes et Ariane commence sursauter mais tout en gardant cette magnifique position qui nous offre une superbe croupe.
Maintenant ça fouette assez sec mais sans excessive brutalité et la demoiselle émet quelques plaintes mais il est difficile de savoir si elles sont de douleur ou de plaisir. Le prof est un artiste, les stries des lanières ne sont aucunement anarchiques mais composent un graphique régulier dans un très beau dégradé de rouges.
Au bout d’un moment, étant satisfait du résultat, il stoppe la fouettée. De sa valise il sort un coussin de velours, choisit un bon endroit pour le poser et demande à Ariane, de s’y agenouiller les avant bras devant à plat au sol, le front également posé sur le revêtement et les fesses tournées vers nous. Inutile de préciser que mon érection est totale et assis en tailleur, je n’aie pour la dissimuler, que la solution de poser par dessus ma planchette à dessin.
En voilà un beau sujet ! Mon crayon galope sur le papier, quelques coups de gomme et enfin la couleur. J’achève en moitié moins de temps que le prof nous avait accordé. Il prend ma feuille, contemple un moment le dessin et se déride d’un sourire admiratif et satisfait. Il me redonne une feuille vierge et me décale vers un autre angle en me demandant de dessiner la belle Ariane une seconde fois. Je ne me fais pas prier, nul ne peut résister à croquer un tel modèle préalablement fouetté sous nos yeux. Léa m’envoie un petit clin d’œil, mes joues me picotent.
Je termine ce deuxième dessin aussi rapidement que le premier. Le prof ramasse toutes les œuvres et une à une les critique. Il est vrai que pour certaines il y a matière à commenter. Mes deux dessins sont montrés en dernier sous des Hooo admiratifs de l’ensemble des pensionnaires. Même Joan et ses deux copines, c’est vous dire. Mais c’est Ariane qui est la plus satisfaite et elle ne cesse de s’admirer sur le papier. Je ne peux faire autrement que les lui offrir en apposant ma signature au bas de chaque. La belle Ariane semble comblée et toujours nue elle m’enlace en me déposant un doux baiser sur les lèvres. Petit applaudissement général, je rougis légèrement.
Le cours est terminé, à mon grand regret Ariane remet son uniforme. Nous sortons dans la cour pour une très longue récréation avant de dîner.
A la sortie des toilettes Grenadine me coince dans un angle de mur.
- Alors monsieur Mikael batifole avec Ariane ? Me balance-t-elle avec acidité.
- Holà Grenadine ! Me ferais-tu une crise de jalousie ?
Elle éclate de rire.
- Mais non imbécile, je te fais marcher ! Encore bravo pour tes dessins, pour un peu j’aurais aimé être à la place d’Ariane.
- J’avoue que j’aurais aussi apprécié te voir sous les lanières du martinet. Lui dis-je en l’imaginant à quatre pattes les fesses striées.
- Oui j’aime bien le martinet. Se confesse-t-elle.
- Pourtant tu n’avais pas l’air de t’enthousiasmer pour le cours de dessin.
- La semaine dernière c’était encore dessin et c’est moi qui fus tirée au sort. C’était l’après fessée à la brosse le sujet. Je peux te dire que le prof à pris nettement moins de gant qu’avec Ariane et j’ai dégusté grave.
-
Mais
pourquoi a-t-il été plus sévère ? Que je l’interrogeais surpris.
-
Parce
qu’il sait que j’aime ça mais parfois je ne suis pas bien disposée et cette
fois c’était le cas. Imagine quand tu n’es pas excité ce que ça donne.
-
Oui
mais pour les spectateurs ça ne change rien, c’est toujours aussi beau.
Rigolais-je.
-
C’est sûr, j’avais
les fesses bien rouges ! Me répond-elle avec un petit sourire en coin.
- Whaooo tu devais être un beau modèle ! pourquoi je ne me suis pas inscrit une semaine avant ! Sûr que j’aurais demandé au prof d’être encore plus sévère.
- Whaooo tu devais être un beau modèle ! pourquoi je ne me suis pas inscrit une semaine avant ! Sûr que j’aurais demandé au prof d’être encore plus sévère.
Grenadine à travers ma jupe
m’attrape le sexe d’une main énergique et le serre.
- Hey tu me fais mal, t’es folle ! Je plaisantais !
- Ha oui, alors dis-moi, ça t’aurais fait bander de me voir copieusement fesser à la brosse hein ? Me demande-t-elle en serrant plus fort.
- Ha… Aïeeee ! Stop ! Tu…
- Répond !
- Arrêtes ! Hayaaïe ! ! S’il-te-plait ! Oui, oui ! ça… Oui… Haaa ! Bander… Oui !
Marie et Prune s’approchent.
- Mais qu’est-ce que tu lui fais Grenadine ? Demande Marie avec un grand sourire.
- Je m’exerce à casser des noix ! Lui répond Grenadine en rigolant et en lâchant la prise.
- Hey tu me fais mal, t’es folle ! Je plaisantais !
- Ha oui, alors dis-moi, ça t’aurais fait bander de me voir copieusement fesser à la brosse hein ? Me demande-t-elle en serrant plus fort.
- Ha… Aïeeee ! Stop ! Tu…
- Répond !
- Arrêtes ! Hayaaïe ! ! S’il-te-plait ! Oui, oui ! ça… Oui… Haaa ! Bander… Oui !
Marie et Prune s’approchent.
- Mais qu’est-ce que tu lui fais Grenadine ? Demande Marie avec un grand sourire.
- Je m’exerce à casser des noix ! Lui répond Grenadine en rigolant et en lâchant la prise.
Je souffle de soulagement.
Grenadine me rattrape le sexe à travers le tissu mais
cette fois de manière beaucoup plus tendre.
Les trois femmes s’amusent de mes sautillements de plaisir.
- Si tu ne veux pas que j’insiste jusqu’à te faire jouir tu vas nous faire un beau bisou à chacune. Me propose-t-elle malicieusement en me tripotant adroitement.
- Ben… Je…. !
Les trois femmes s’amusent de mes sautillements de plaisir.
- Si tu ne veux pas que j’insiste jusqu’à te faire jouir tu vas nous faire un beau bisou à chacune. Me propose-t-elle malicieusement en me tripotant adroitement.
- Ben… Je…. !
-
N’oublie pas que si tu salis un autre slip,
madame Nina ne te pardonnera pas et crois-moi, elle t’en flanquera une bien
plus rigoureuse que celle que tu as reçu après le repassage…. Peut-être à la
brosse ou au Paddle, c’est une spécialiste. Me dit-elle en continuant ses
attouchements.
-
Heu d’accord alors, je vous bise !
Acceptais-je n’ayant pas vraiment envie d’une fessée pour le moment et encore
moins avec instrument de bois.
Les jeunes femmes ont tendu leurs joues et j’ai sur
chaque déposé une bise.
Grenadine a attendu que Marie et Prune s’éloigne
et :
- J’ai un faible pour toi Mike ! M’a-t-elle dit en m’attrapant derrière la nuque pour m’embrasser avec amour.
Whooo ! Quel baiser !
- J’ai un faible pour toi Mike ! M’a-t-elle dit en m’attrapant derrière la nuque pour m’embrasser avec amour.
Whooo ! Quel baiser !
épisode 11.
Toilette.
Nous entrons au réfectoire. A la grande table, l’ambiance est joyeuse. Tout au bout, Joan et ses deux amies conversent en jetant quelques furtifs regards vers moi. Je ne sais pas ce qu’elles mijotent ces trois là mais ce ne doit pas être à mon avantage. Qu’importe, les pâtisseries préparées cet après-midi clôturent divinement le dîner.
Après s’être bien restauré, c’est quartier libre jusqu’à 21H30. Il y a la télé, la lecture où les jeux de société. Avec Grenadine, Ariane, Iris et Léa nous faisons une partie de tarot à cinq. Sous la table, Grenadine qui a ôtée une de ses chaussures, ne cesse de passer son pied entre mes cuisses. Le jeu dure jusqu’à ce que madame Nina nous invite à monter au dortoir.
Un beau petit dortoir commun mais il n’y a que 10 lits.
- Monsieur Mikael, m’interpelle la lingère, J’espère que vous n’avez pas le doux espoir de vous glisser dans les draps d’une de ces demoiselles ? Plaisante-t-elle.
Grand rire dans le dortoir. Mais uniquement rire, parce qu’aucune d’elles ne propose de partager son lit avec moi, sans rire je me serais laissé faire. Je dois quand même avouer que si je ne tombe pas sur une femme un peu dominatrice à la main leste, je ne suis pas spécialement un bon coup, mais ça elles l’ignorent…
Madame Nina me convie à la suivre. Nous traversons les sanitaires puis un petit couloir de pas plus de trois mètres de long. Elle m’ouvre une porte donnant sur une petite chambre avec lavabo.
- Voilà, c’est pour toi tout seul. Me dit-elle. Maintenant je vais surveiller la toilette des filles et ensuite, tu pourras faire la tienne. Je viendrais te prévenir quand les douches seront libres. Achève-t-elle en quittant la chambre.
Une fois seul, j’inspecte les lieux. Sur le grand lit est posé correctement plié un pyjama. Sur une chaise un uniforme complet pour demain. Sur la petite commode un nécessaire de toilette et sur une étagère quelques bouquins. C’est parfait, j’ai mon petit chez moi.
En attendant de prendre ma douche je feuillette un des livres. Rien de bien captivant mais ça passe le temps. J’entends les rires des pensionnaires qui ont l’air de beaucoup s’amuser sous la douche. Dommage, je me ferais bien savonner par Grenadine ou Ariane… ou bien par toutes les deux ! Je me tripote un peu en imaginant la scène et je constate qu’en jupe, c’est bien plus facile et plus direct qu’avec un pantalon… Elles en ont de la chance les filles !
Une vingtaine de minutes plus tard, madame Nina déboule dans ma chambre.
- A ton tour maintenant ! Déshabilles-toi s’il-te-plait ! Me commande-t-elle sans plaisanter.
- Me… Me déshabiller ? Heu… En slip ?
- Tu as l’habitude de prendre ta douche avec ton slip ? Me rétorque-t-elle amusée.
- Ben non mais…
- Alors tout nu et dépêches-toi !
- Mais je… Enfin !
- Tu veux peut-être un coup de main, voir même plusieurs sur tes fesses ? Me propose-t-elle avec une petite étincelle dans les yeux.
- Ho non madame ! C’est entendu, je me déshabille !
Me voila donc faisant un striptease gratuit pour la lingère, manque juste la musique et le champagne. Radine la Nina, pour le spectacle, elle pourrait au moins me donner un bon point…
Une fois tout nu elle me demande d’emporter mes affaires de toilette, me prend par la main et me conduit jusqu’à la salle de douche. 12 pommes de douche pour moi tout seul. Madame Nina s’installe sur un tabouret et croise ses bras.
- Heu… Vous restez-là ? Que je lui demande étonné.
- Mais oui, comme pour les filles, je surveille la toilette. Allez hop, actionnes une douche et laves-toi parce que moi je n’ai pas que ça à faire. Après j’ai onze uniformes et autant de sous vêtements à passer à la machine.
Je crois qu’à part ma mère, et encore quand j’étais tout gamin, et plus tard quelques très rares flirts, il n’y a jamais eut personne avec moi dans la salle de bain et encore moins pour surveiller ma toilette. De toute façon, je n’ai pas beaucoup le choix et je ne vais pas m’y opposer parce qu’elle est bien capable de me recoller une fessée et, fesses mouillées, vu comment elle frappe, je n’en n’aie pas une envie pressente.
Donc je me lave tout bien comme il faut devant elle avec un peu de rouge aux joues. Bien entendu, lorsque je me savonne mon petit bout, enfin je dis « petit » pour ne pas faire de jaloux, je lui tourne le dos.
Une fois que je suis tous neuf et bien sec, elle me demande d’approcher d’elle. Que va-t-elle bien m’inventer encore pour m’humilier davantage.
Toujours assise sur son tabouret elle me tourne de manière a ce que je lui montre mon dos. Je sens sa main effleurer mes fesses, je me raidis, elle rigole.
- Il ne faut pas avoir peur comme ça monsieur Mikael, je ne vais pas te frapper et sache que je ne le fais jamais sans une bonne raison. Me rassure-t-elle.
Je souffle de soulagement parce pendant un moment, j’ai bien cru qu’elle allait me claquer.
- Je regarde simplement si la fessée que je vous aie administrée cet après-midi à laissé des traces. Dit-elle en tâtant mon postérieur. Hummmm ! Non… Peut-être quelques petites touches de rougeur mais vraiment presque rien. Vous avez les fesses bien rôdées Mikael ! Termine-t-elle ses examens en me balançant une petite tape.
Elle me raccompagne jusqu’à la chambre, ramasse mon uniforme de la journée, mes chaussettes et mes sous vêtement puis me souhaite une bonne nuit.
Il était temps que ce petit jeux se termine parce que j’avais un commencement d’érection et cela ne passait pas inaperçu même si elle a fait semblant de ne rien voir.
Nous entrons au réfectoire. A la grande table, l’ambiance est joyeuse. Tout au bout, Joan et ses deux amies conversent en jetant quelques furtifs regards vers moi. Je ne sais pas ce qu’elles mijotent ces trois là mais ce ne doit pas être à mon avantage. Qu’importe, les pâtisseries préparées cet après-midi clôturent divinement le dîner.
Après s’être bien restauré, c’est quartier libre jusqu’à 21H30. Il y a la télé, la lecture où les jeux de société. Avec Grenadine, Ariane, Iris et Léa nous faisons une partie de tarot à cinq. Sous la table, Grenadine qui a ôtée une de ses chaussures, ne cesse de passer son pied entre mes cuisses. Le jeu dure jusqu’à ce que madame Nina nous invite à monter au dortoir.
Un beau petit dortoir commun mais il n’y a que 10 lits.
- Monsieur Mikael, m’interpelle la lingère, J’espère que vous n’avez pas le doux espoir de vous glisser dans les draps d’une de ces demoiselles ? Plaisante-t-elle.
Grand rire dans le dortoir. Mais uniquement rire, parce qu’aucune d’elles ne propose de partager son lit avec moi, sans rire je me serais laissé faire. Je dois quand même avouer que si je ne tombe pas sur une femme un peu dominatrice à la main leste, je ne suis pas spécialement un bon coup, mais ça elles l’ignorent…
Madame Nina me convie à la suivre. Nous traversons les sanitaires puis un petit couloir de pas plus de trois mètres de long. Elle m’ouvre une porte donnant sur une petite chambre avec lavabo.
- Voilà, c’est pour toi tout seul. Me dit-elle. Maintenant je vais surveiller la toilette des filles et ensuite, tu pourras faire la tienne. Je viendrais te prévenir quand les douches seront libres. Achève-t-elle en quittant la chambre.
Une fois seul, j’inspecte les lieux. Sur le grand lit est posé correctement plié un pyjama. Sur une chaise un uniforme complet pour demain. Sur la petite commode un nécessaire de toilette et sur une étagère quelques bouquins. C’est parfait, j’ai mon petit chez moi.
En attendant de prendre ma douche je feuillette un des livres. Rien de bien captivant mais ça passe le temps. J’entends les rires des pensionnaires qui ont l’air de beaucoup s’amuser sous la douche. Dommage, je me ferais bien savonner par Grenadine ou Ariane… ou bien par toutes les deux ! Je me tripote un peu en imaginant la scène et je constate qu’en jupe, c’est bien plus facile et plus direct qu’avec un pantalon… Elles en ont de la chance les filles !
Une vingtaine de minutes plus tard, madame Nina déboule dans ma chambre.
- A ton tour maintenant ! Déshabilles-toi s’il-te-plait ! Me commande-t-elle sans plaisanter.
- Me… Me déshabiller ? Heu… En slip ?
- Tu as l’habitude de prendre ta douche avec ton slip ? Me rétorque-t-elle amusée.
- Ben non mais…
- Alors tout nu et dépêches-toi !
- Mais je… Enfin !
- Tu veux peut-être un coup de main, voir même plusieurs sur tes fesses ? Me propose-t-elle avec une petite étincelle dans les yeux.
- Ho non madame ! C’est entendu, je me déshabille !
Me voila donc faisant un striptease gratuit pour la lingère, manque juste la musique et le champagne. Radine la Nina, pour le spectacle, elle pourrait au moins me donner un bon point…
Une fois tout nu elle me demande d’emporter mes affaires de toilette, me prend par la main et me conduit jusqu’à la salle de douche. 12 pommes de douche pour moi tout seul. Madame Nina s’installe sur un tabouret et croise ses bras.
- Heu… Vous restez-là ? Que je lui demande étonné.
- Mais oui, comme pour les filles, je surveille la toilette. Allez hop, actionnes une douche et laves-toi parce que moi je n’ai pas que ça à faire. Après j’ai onze uniformes et autant de sous vêtements à passer à la machine.
Je crois qu’à part ma mère, et encore quand j’étais tout gamin, et plus tard quelques très rares flirts, il n’y a jamais eut personne avec moi dans la salle de bain et encore moins pour surveiller ma toilette. De toute façon, je n’ai pas beaucoup le choix et je ne vais pas m’y opposer parce qu’elle est bien capable de me recoller une fessée et, fesses mouillées, vu comment elle frappe, je n’en n’aie pas une envie pressente.
Donc je me lave tout bien comme il faut devant elle avec un peu de rouge aux joues. Bien entendu, lorsque je me savonne mon petit bout, enfin je dis « petit » pour ne pas faire de jaloux, je lui tourne le dos.
Une fois que je suis tous neuf et bien sec, elle me demande d’approcher d’elle. Que va-t-elle bien m’inventer encore pour m’humilier davantage.
Toujours assise sur son tabouret elle me tourne de manière a ce que je lui montre mon dos. Je sens sa main effleurer mes fesses, je me raidis, elle rigole.
- Il ne faut pas avoir peur comme ça monsieur Mikael, je ne vais pas te frapper et sache que je ne le fais jamais sans une bonne raison. Me rassure-t-elle.
Je souffle de soulagement parce pendant un moment, j’ai bien cru qu’elle allait me claquer.
- Je regarde simplement si la fessée que je vous aie administrée cet après-midi à laissé des traces. Dit-elle en tâtant mon postérieur. Hummmm ! Non… Peut-être quelques petites touches de rougeur mais vraiment presque rien. Vous avez les fesses bien rôdées Mikael ! Termine-t-elle ses examens en me balançant une petite tape.
Elle me raccompagne jusqu’à la chambre, ramasse mon uniforme de la journée, mes chaussettes et mes sous vêtement puis me souhaite une bonne nuit.
Il était temps que ce petit jeux se termine parce que j’avais un commencement d’érection et cela ne passait pas inaperçu même si elle a fait semblant de ne rien voir.
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