LECTURE DE LA SAGA

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jeudi 13 février 2014

FANTASMAGINAIRE 1 épisodes 4, 5, 6, 7

épisode 4


Première fessée.


      -  Ariane, 2 fautes ! C’est toi la meilleure comme d’habitude. C’est très bien ! Marie 3 fautes, c’est bien aussi. Iris et Grace, 4 fautes… Pas mal ! Grenadine, Dora et Joan, 6 fautes… M’ouais !...

Bordel il ne reste que quatre copies dont la mienne, je commence sérieusement à pâlir et je vois Joan me regarder du coin de l’œil avec un petit sourire pervers.

Madame Francine poursuit.

      -  Rose 9 fautes, tu es juste à la limite du hors jeu ! Prune 12 fautes ce n’est pas ton record mais ce n’est pas beaucoup mieux !

La prof s’arrête en secouant les deux dernières dictées. Je suis très mal et je me vois déjà sous peu perdre mon joker. Tous les regards se tournent vers moi sauf celui de Léa qui est également concernée par une de ces deux copies encore en liste. J’assure que si je pouvais me glisser au fond de la case je l’aurais fait sans hésiter.

Madame Francine rabaisse ses yeux vers l’avant dernière copie et :

      -  Mikael ! 14 fautes ! Bel effort pour un premier jour mais je ne saurais te conseiller d’être meilleur au risque qu’il t’arrive ce qui va arriver à Léa qui ferme la marche avec 19 fautes !

Mon cœur a ralenti sa cadence et ma respiration est devenue moins haletante. Bordel j’ai frisé la correctionnelle. Un peu plus et je perdais mon bon point pour continuer la journée sans aucun filet de sécurité.

La prof déplace sa chaise au milieu de l’estrade de manière à ce que tout le monde profite du spectacle à venir. Ma voisine me fait un petit clin d’œil complice.

      -  Léa, viens ici ! Ordonne Madame Francine en se chauffant la main sur sa hanche.

La jeune femme se lève et monte sur l’estrade la tête basse. Franchement, je suis bien content de ne pas être à sa place et même si j’aime les fessées je ne suis pas pressé du tout d’en recevoir une en public.

      -  Tu n’as pas de chance Léa, Lui dit la prof en s’asseyant sur la chaise, car même si Mikael avait fait plus de faute que toi, comme il possède un bon point, c’est donc l’avant dernière qui aurait reçu la fessé, conclusion, tu n’y aurais pas échappée. En position, dépêches-toi !

Léa docile se courbe lentement en travers des genoux de Madame Francine. Cette dernière lui trousse la jupe sur les reins.

      -  19 fautes, crois-moi ça va chauffer ! Annonce la prof.

Moi je suis aux anges, Léa nous montre une croupe magnifique et sa petite culotte rose pâle avec les liserés brodés la met parfaitement en valeur.

Les claques commencent à tomber. Elles ne sont pas spécialement fortes mais pas non plus douces. Le rythme est assez soutenu et la musique régulière. Léa n’émet aucune plainte et je ne peux voir si son visage grimace car ses longs cheveux le cache.

Sous le pupitre, la main de grenadine attrape la mienne. Je lui jette un regard d’étonnement et d’un sourire malicieux elle me fait comprendre de laisser faire. Lentement elle guide ma main sous sa jupe, puis entre ses cuisses légèrement entrouvertes. Je sens sous mes doigts le fin tissus de sa culotte et le rebondit fendu de son sexe chaud. Elle me guide discrètement le long de sa fente en un mouvement très lent de haut en bas. J’ai peur, peur qu’une autre pensionnaire surprenne ce petit jeu mais toutes ont les yeux fixés sur les fesses de la pauvre Léa. D’ailleurs, moi-même je n’ose me détourner de ce spectacle parce qu’il est aussi excitant que ce qu’effleure ma main gauche.

Madame Francine à passé la deuxième vitesse, les claques sont plus appuyées et Léa commence à piailler.

Grenadine me guide toujours et mon majeur s’introduit un peu plus dans le pli. De temps à autre ses cuisses se resserrent nerveusement en emprisonnant nos mains.

La fessée s’arrête, je veux retirer ma main d’où elle est mais Grenadine me retient. Madame Francine tire sur la culotte de Léa pour la faire descendre aux genoux. Je n’en perds pas une miette et en même temps j’essaye de placer mes jambes croisées pour camoufler ce qui se passe sous notre pupitre.

Cette fois la prof y met nettement plus d’ardeur et Léa pousse des petit cris stridents en gigotant sur les genoux de sa fesseuse. Les claques sont bien pesées et marquent au rouge la peau tendre du fessier offert.

Grenadine à lâché ma main me laissant seul poursuivre les caresses. Pas facile de faire deux choses en même temps, admirer une magistrale fessée et tripoter sa voisine. Ce ne doit pas être du grand art mais apparemment Grenadine semble ne pas vouloir y mettre fin. De plus je commence à bander et de ma main libre, le plus discrètement possible je coince mon pénis entre mes deux cuisses pour ne pas qu’une petite pyramide pointe sur ma jupe.

Qu’est-ce qu’elle prend Léa. Whooo ! Elles avaient raisons les pensionnaires, madame Francine ne faisait pas dans le léger. Ça claque fort, très fort même et ma voisine commence à se trémousser sur le banc en mouillant sa culotte. Bordel, j’espère que si jamais elle jouit elle va faire ça en silence parce que sinon, elle passe directement sur les genoux de la prof et moi je peux dire adieu à mon joker… En plus, bonjour la honte !

Ça tombe et ça tombe ! La fessée est sublime à souhait… Enfin c’est mon avis de spectateur, j’apprécierais surement moins si j’étais en travers des cuisses de la prof. Quoi que, bien chaud, faut voir…



Hou, ça dégringole toujours et Léa gesticule en émettant des chapelets de plaintes. On voit de suite que madame Francine à de l’entrainement parce qu’elle ne faiblit pas, bien au contraire.

La pauvre Léa a les fesses écarlattes quand les dernières claques résonnent. Elle se relève lentement et remet ses cheveux avant de remonter sa culotte de manière très adroite.

Les larmes ont coulées et vu ce qu’elle à reçu, je pense qu’à sa place je n’aurais sans doute pas pu me retenir non plus.

Grenadine m’ôte gentiment ma main de son entrecuisse en me lançant un coquin clin d’œil. Je ne sais pas trop sur quoi l’essuyer car j’ai franchement le bout des doigts humides. Ce n’est pas sale mais c’est gênant.


Madame Francine envoie Léa au piquet les mains sur la tête et nous dit.

      -  Quinze minutes de récréation sauf pour Léa qui reste ici au piquet.

Nous sortons dans la cour. Il fait un temps magnifique. Je coince Grenadine le long du mur et c'est presque à voix basse que je lui parle.

      -  Mais tu es complètement malade toi. Tu te rends compte si quelqu’un nous avait surpris ?

      -  Mais non Mikael, Que crois-tu que les copines font quand il y a une fessée en spectacle.

      -  Tu ne vas pas me dire que…

      -  Mais si elles se touchent toutes, c’est normal ! Sauf la voisine de la punie, elle fait ça toutes seule comme je le faisais avant que tu arrives. Je dois t’avouer que tu as des progrès à faire mais que je suis très contente d’avoir une autre main que la mienne, c’est nettement plus troublant.

Sur ce elle s’éloigne en direction d’une porte marquée « lingerie », la pièce même où j’avais reçu mon uniforme. D’ailleurs elle n’est pas la seule, il y a aussi Marie et Ariane. Moi je me dirige vers les sanitaires. C’est parfait, un côté homme, un côté femme. Je me lave les mains et me vidange.

Lorsque je reviens dans la cour, Joan, Rose et Grace m’abordent.

      -  Alors Mikael, tu as bien profité du spectacle ? Me questionne Joan avec une pointe d’acidité.

      -  Pas plus ni moins que vous. Que je leur réponds en cherchant Grenadine du regard.

      -  Je suis sûre que ça t’a fait bander de voir Léa se prendre une fessée ? Reprend Rose.

      -  C’est une question indiscrète ! Rétorquais-je.

     -  Tu as de la chance mais tu vas finir par le perdre ton joker et avant ce soir c’est toi qui va y passer. Je peux te dire que nous n’attendons que ça. Me prévient Joan avant de repartir avec ses deux copines.

Iris et Dora passent à côté de moi.

      -  Ça va Mikael, pas trop confondu. Me demande Dora.

      -  Confondu ?  Non mais je trouve que c’était bien sévère pour quelques fautes.

      -  Autant te prévenir, répond Iris, au dessus de 10 fautes la Francine ne pardonne pas, alors imagine 19 fautes.

      -  Merci du renseignement. Approuvais-je en appuyant d’un sourire.

Grenadine vient de sortir de la lingerie, je vais vers elle qui semble beaucoup s’amuser de ma façon de me déplacer.

      -  On ne peut pas dire que tu à la grâce féminine pour marcher. Me dit-elle hilare.

      -  Désolé mais je n’ai pas vraiment l’habitude d’être en jupe quand je vais faire mes courses.

      -  Dommage, je trouve que ça te va bien.

      -  C’est ça, payes-toi ma tête ! En attendant, tu as fait quoi à la lingerie ?

      -  J’ai changé de culotte si tu veux tout savoir !

      -  Hé oui, bien sûr, suis-je bête…

      -  Au cas où tu as une petite pollution, hé bien tu sais où aller maintenant. M’éclaire-t-elle du conseil.

      -  Dis-moi Grenadine, la suite, c’est quoi ?

      -  Le Dimanche c’est avec la Francine jusqu’à 10 heures et ensuite c’est sport avec madame Claire. M’informe-t-elle.

      -  Sport ? Ha bon ! Je voulais te dire aussi, je crois que Joan, Rose et Grace m’ont dans le nez.

      -  C’est bien possible, ces trois là sont des pestes.

Un coup de sifflet nous rappelle en classe.






épisode 5.

Et une deuxième.


Retour en classe.

J’ai toujours autant de difficulté à m’assoir convenablement avec cette jupe. Soit j’ai les fesses sur le bois du banc et si je replie la jupe en dessous, c’est devant que ça ne va plus. Il faut se faire une raison, je ne possède pas le chic inné d’une femme.

Encore un devoir ; Explication de texte et de la conjugaison. Pour le texte ça va aller mais pour la conjugaison je suis vraiment mal et comme la prof à l’œil sur moi, je ne peux pas copier sur ma voisine.

Je ne savais même pas qu’il y avait des temps comme le gérondif présent et passé. Je me demande bien ce que ça donne le verbe envoyer avec ce temps ? J’ai surtout l’impression que ça va envoyer mon bon point à la poubelle.

On va dire qu’au gérondif présent c’est : Etant envoyé ! Ouais ça sonne bien comme ça et au passé ça doit être : Etait envoyant !

Le verbe Haïr au subjonctif présent et plus que parfait… Je connais par cœur, je ne connais même que ça, c’est ainsi que je m’exprime tous les jours, comme la majorité des Français d’ailleurs… Bordel, faut vraiment être vicieuse pour donner des devoirs pareils ! Tout ce que je sais du subjonctif c’est que ça commence toujours par «que» Alors disons qu’au présent c’est ; que je te hais, que tu me hais etc… Au plus que parfait c’est surement, que je te haïssa, peut-être haïssayait, haïssayoit Ou quelque chose comme ça !

30 minutes plus tard, madame Francine ramasse les copies et moi j’envoie 50 000 prières à tous les dieux depuis l’antiquité pour qu’ils me préservent mon joker.

Quelques gouttes de sueur plus tard me voilà rassuré. C’est Joan qui va prendre une rouste et je peux dire que cela me réjouit pleinement. Pourtant, vu le corrigé de la conjugaison au tableau, je me voyais déjà sous les feux de la rampe, hé bien non, il y en a deux qui sont aussi mauvaises que moi, Dora et Joan. Je dois dire que ce qui m’a sauvé c’est la très bonne note obtenue à l’explication de texte parce que sans ça, je crois que c’est moi qui tenais la lanterne rouge et adieu mon bon point.

En attendant, c’est Joan qui monte sur l’estrade et j’espère que la prof va être aussi sévère qu’avec Léa, même plus si possible. Après tout, si elle ne m’aime pas moi non plus !

Puisque c’est parait-il la tradition à chaque fois qu’il y a une fessée. Je glisse ma main sous la jupe de ma voisine mais contrairement à la fessée précédente, Grenadine me la repousse avec un petit sourire complaisant. Je n’insiste pas. Peut-être que la machine à laver les culottes de l’établissement est en panne... Ou bien, je fus tellement mauvais qu’elle préfère se caresser toute seule. Faut dire que ce n’est pas évident de la main gauche, elle pourrait quand même en tenir compte.

Sur l’estrade Joan jupe troussée reçois les premières claques. Elle à une très jolie paire de fesses et une culotte en dentelle très seyante. C’est sans doute le seul côté que j’aime d’elle.

Je sursaute ! La main de Grenadine vient de passer sous ma jupe et commence à frotter le devant de mon slip. Mon visage passe du rose pâle au rouge. Je n’ose plus un mouvement et c’est tout juste si je respire. Mon début d’érection causé par les superbes claques sur le postérieur de Joan se transforme à la vitesse lumière en une érection totale. Vu la dextérité de ses doigts à jouer avec mes bourses, je crains le pire pour mon slip si jamais la fessé dure un peu trop.

Beau spectacle que Joan recevant une belle raclée et quand la prof lui baisse la culotte je suis en extase. Elle ne fait pas dans le light Miss Francine, sa main monte bien haut avant de retomber sur le beau galbe d’une fesse déjà bien rouge. Elle serre les dents la Joan mais je sens que bientôt on va entendre le son de sa voix.

Holala, la main de Grenadine monte le long de mon membre et redescend lentement avec d’habiles petites pressions… J’ai les cuisses qui tremblent. Je ne sais toujours pas comment je suis arrivé là mais maintenant je m’en fiche complètement. Jamais je n’ai été aussi bien !

Les claques continuent à meurtrir les fesses de Joan avec une cadence soutenue et comme je l’avais prévu, elle ne peut retenir plus longtemps des « AÏE ! » et des « OUILLE ! ».

Le buste de grenadine balance doucement comme le va et viens sa main sur mon sexe. Mes mains à moi sont crispées, la droite sur le bois du banc et la gauche sur le bois du pupitre.

Madame Francine est assez sévère avec Joan et je ne peux que silencieusement l’encourager. La punie se dandine sous les coups. Ses fesses rouges, et ses plaintes m’emportent dans un impressionnant tourbillon de félicité. Je n’en peux plus, je me cramponne, je serre les dents… Grenadine, Grenadine s’il te plait arrêtes, je…je… Trop tard je ne peux retenir ma jouissance sinon qu’essayer de la camoufler extérieurement.

Là-bas sur l’estrade ça continue à tomber, et moi je continue à me vider avec quelques discrets soubresauts.
C’est le bouquet final…. Mmmmmm ! je ne me souviens pas avoir pris autant de plaisir à être témoin d’une fessée.

Merci madame Francine, merci Grenadine et merci Joan !

La pauvre Joan se relève les yeux délavés, grimaçante en se dandinant d’une jambe sur l’autre. Elle remonte rapidement sa culotte et va se mettre au piquet les mains sur la tête ; ordre de la prof.



Dix minutes d’explications sur le gérondif présent et le subjonctif plus que parfait. Dessous le pupitre, discrètement entre deux doigts, je soulève légèrement l’étoffe de la jupe pour ne pas qu’elle soit en contact avec mon slip. Une tâche à cet endroit serait du plus mauvais effet.



C’est la récré avant le sport. Je vais à grand pas à la lingerie pour changer de slip. Léa et Prune me suivent.

Une fois à l’intérieur. Madame Nina, la lingère me toise bizarrement.

      -  C’est toi Mikael, le nouveau ? Me demande-t-elle.

      -  Oui madame !

      -  Pourquoi viens-tu ici ? Réclame-t-elle d’un ton sec.

Alors ça c’est le genre de question qu’il ne faut pas poser quand à moins d’un mètre derrière moi il y a deux pensionnaires femelles.

      -  Ben…. Voilà… Je reviendrais plus tard.

      -  Tu restes là ! M’ordonne la lingère. Va attendre dans la pièce d’à côté le temps que je m’occupe de ces demoiselles. Me montre-t-elle une porte entrouverte.

J’entends derrière moi Léa et Prune pouffer. Sans me retourner je file à côté et referme la porte. Je suis dans une petite pièce carrelée ou sont installées deux énormes machines à laver et une sécheuse. Dans l’angle, juste au dessous d’un vasistas, il y a un grand évier en émail et trois ou quatre savonnettes dans un égouttoir. A coté, un distributeur de serviettes en papier.

Quelques petites minutes plus tard, la lingère m’invite à revenir.

      -  Alors c’est quoi ton problème ? Me redemande-t-elle sans dissimuler un petit sourire.

      -  Heu… C’est que… J’ai salit un peu mon slip. Que je lui réponds vraiment pas à l’aise.

      -  Tu t’es assis parterre ?

      -  Non… Non pas du tout ! Comment vous expliquer, je…

      -  Tu n’as pas pu te retenir ?

      -  Mais non, je n’ai pas pissé !

      -  Je ne te parle pas de ça mais d’éjaculation monsieur Mikael ! Me coupe-t-elle rudement en fronçant le sourcil.

      -  Ben oui c’est ça madame !

      -  Tu n’as pas tâché la jupe j’espère ? Dit-elle en se penchant pour voir de plus près.

      -  Non, non, j’ai fait attention de…

      -  Retourne dans la buanderie, retire ton slip, balance-le dans le panier et laves-toi à l’évier. Ensuite reviens ici !

Une fois de retour elle me donne un slip tout neuf. Je l’enfile rapidement, la remercie et me dirige vers la sortie.

      -  Pas si vite monsieur Mikael ! Me retient-elle.

Je stoppe et me retourne vers la dame en lui demandant si je dois lui signer un reçu.

      -  Non, tu vas simplement me suivre chez la directrice. M’annonce-t-elle.

      -  La directrice ? Mais pourquoi ?

      -  Tu le sauras bien assez tôt ! Me réplique-t-elle en m’attrapant le bras pour me guider jusqu’au bureau qui se trouve bien entendu de l’autre côté de la cour.

Mais qu’est-ce qu’elle me fait la lingère ? Et me voilà entraîné vers la direction de l’établissement sans vraiment en connaître la raison. Dans la cour, les pensionnaires me regardent passer avec amusement. Je remarque surtout Joan qui me jette un regard sombre appuyé d’un rictus de sorcière. Je n’y suis pour rien moi si elle est mauvaise en conjugaison !


Madame Nina ouvre la porte et me pousse à l’intérieur du bureau.





épisode 6

Histoire de slip.


A notre entrée, Madame la directrice lève le nez de ses dossiers ?

      -  C’est pour quoi ? Demande-t-elle.

      -  C’est pour le nouveau madame ! Répond la lingère en me plaçant bien devant le bureau.

      -  Que ce passe-t-il Madame Nina ?

      -  Il se passe que ce jeune homme ne se maîtrise pas.

La directrice me fixe droit dans les yeux et me questionne.

      -  Racontez-nous donc ce manque de maîtrise monsieur Mikael ?

      -  Raconter quoi ? Que je répondais en la bravant du regard.

Elle tape un grand coup sur le plateau de son bureau et prend un air sévère.

      -  D’abord, sachez monsieur Mikael que quand on parle à sa directrice c’est avec les mains au dos et quand je vous pose une question vous ne me répondez pas par une autre question. Compris !

      -  Heu… Oui madame. Approuvais-je en collant mes mains dans le dos.

      -  Très bien alors maintenant expliquez-nous ?

      -  Mais… Vous expliquer quoi ?

      -  Madame Nina, je crois que ce jeune homme n’a pas bien entendu ce que je viens de lui dire, il faut lui stimuler les neurones.

Avant que je comprenne vraiment le sens de stimuler, madame Nina a soulevé l’arrière de ma jupe et m’a balancé une sacrée claque sur la fesse gauche. J’ai fais un bond en poussant un « AÏE ! » autant de stupéfaction que de douleur.

      -  Monsieur Mikael, reprend la directrice, vous pensiez sans doute que votre bon point vous protégeait d’une punition ? Alors je vous informe qu’il n’a cours qu’en dehors de ce bureau. Donc, si je dois vous donner un prévenant conseil, c’est celui de répondre correctement quand je vous pose une question. Monsieur Mikael veuillez nous expliquer ce qui c’est passé.

      -  Ben…Ben voilà… Vous savez que… Je suis un homme et… Enfin… Hé bien il y a des fois où….

Une autre claque m’enflamme l’autre fesse. Whouaa ! Il n’y a pas à dire, la lingère à une très bonne frappe.



      -  Je ne vous aie pas demandé de bafouiller des bouts de phrases incompréhensibles monsieur Mikael ! Tonne la directrice. Alors si vous ne voulez pas passez en travers de mes genoux pour une sérieuse fessée vous avez intérêt à être plus cohérent !

La menace était on ne peut plus claire et je n’aie pas le cœur à en recevoir une. Sans doute me manque-t-il un peu d’excitation pour jouer le récalcitrant. Je n’aie plus qu’une chose à faire c’est de lui dire ce qu’elle veut entendre mais sans toutefois dénoncer Grenadine. Je lui raconte donc qu’excité par la scène de fessée administrée à Joan je me suis laisser aller.

      -  Vous vous êtes donc masturbé en classe ? Me demande-t-elle à la fin de mon récit.

      -  Mais non pas du tout ! Vous savez madame la directrice ça arrive que…

      -  Bien sûr, Me coupe-t-elle, mais sans vous toucher ce ne peut être qu’au terme d’un bon moment d’érection et d’une grande excitation et je doute qu’une fessée dure tant qu’elle vous le permette. Donc vous vous êtes masturbé ?

      -  Mais pas du tout je…

La directrice se lève pleine de colère, fait le tour du bureau, m’attrape par les cheveux et m’entraine vers une lourde chaise.

      -  Attendez madame, attendez ! Oui, oui je me suis masturbé ! Que j’hurle avant qu’elle me bascule en travers de ses cuisses.

Elle me relâche avec un sourire satisfait.

      -  Vous avez de la chance monsieur Mikael, je vous fais grâce mais il était moins une !

      -  Heu oui ! Merci madame. Que je souffle de soulagement.

      -  Cependant vous n’allez pas vous en tirer à si bon compte. Je vous retire votre bon point ça vous apprendra à répondre sans détour aux questions qu’on vous pose. Vous pouvez disposer monsieur Mikael en espérant que votre slip tout propre le restera jusqu’à la fin de la journée. Le linge de la maison doit être respecté, Retenez-le !



Une fois de retour dans la cour, toutes les pensionnaires m’entourent et me pressent de raconter ce qui c’est passé dans le bureau de la directrice. Je leur raconte crânement que j’avais eu un petit problème de lingerie mais que l’affaire c’était très bien arrangé et sans aucune violence. Elles ne sont pas dupes mais elles sont bien obligées de se contenter de ce que je leur dis. Joan et ses deux complices me regardent de travers. Je ne sais toujours pas pourquoi elles m’ont dans le nez ces trois là mais j’ai intérêt de me méfier.

Une fois seul avec Grenadine je peux un peu plus en dire. A elle je lui narre tout en détail en lui demandant pourquoi on ne dit rien aux filles quand elles souillent leurs culottes et qu’à moi on en fait toute une histoire.

      -  Mikael, me répond Grenadine, Nous ce sont nos culottes personnelles alors la lingère s’en fiche mais toi, ce sont les affaires du pensionnat que tu portes, c’est ça la différence.

Je ne peux qu’admettre son explication. Cependant, cette malheureuse histoire m’a fait perdre mon joker et ce n’est pas ce qui me réjouit le plus. A partir de maintenant, si je fais une connerie ou mal un devoir, je serais puni. Je ne sais si cette perspective me plait ou non, c’est très difficile à dire.
Je serais pourtant légèrement tenter par la punition et être disposé à en recevoir une bonne, sans doute que les deux claques flanquées par Madame Nina ont allumées en moi une petite flamme mais ce n’est vraiment qu’une toute petite flamme.

      -  J’espère que ça t’a fait plaisir quand même. Me dit Grenadine la bouche en cœur.

      -  Quoi, les claques sur le cul de la lingère ?

      -  Mais non imbécile, je parle de mes petites caresses.

      -  Ça oui ! Hooouu… Vraiment super tu peux recommencer quand tu veux.

      -  Ho non, je ne voudrais pas que tu reçoives une correction à cause de moi parce que tu as encore tâché ton slip. Rigole-t-elle.

      -  Pour ce petit plaisir divin, je suis prêt à tout.

      -  On verra ça, mais je te signale que la prochaine fois c’est à ton tour de passer ta main sous ma jupe.

Un coup de sifflet nous appelle. C’est madame Claire la prof de sport qui nous invite à la mise en rang devant l’entrée d’un bâtiment qui ferme tout un côté de cour.





Épisode 7

Corde lisse.




Nous pénétrons dans un petit gymnase, puis dans les vestiaires. Bordel, c’est un vestiaire commun ! Madame Claire voyant mon embarra me montre la porte d’un local réservé aux profs.

      -  Monsieur Mikael, pour vous c’est là ; dans le placard vert il y a vos affaires de sport, vous avez cinq minutes pour être en tenue. M’annonce-t-elle en refermant la porte.

Parfait, j’ai mon vestiaire particulier avec douche.

Short et maillot aux couleurs de l’établissement. Je suis content parce que je me retrouve vêtu d’une façon bien plus masculine. Ce n’est pas que le port de la jupe me déplait, c’est même quelque part une humiliation plutôt amusante mais je trouve que retrouver un peu de virilité fait du bien.

Le gymnase n’est pas très grand et sa surface n’excède pas la moitié d’un terrain de handball. Pour 11 élèves, c’est largement suffisant. Nous en ressortons pour quelques tours de cour histoire de s’échauffer. Madame la directrice et Francine, toutes deux sur le pas de porte de la classe sont en grande discutions. Que peuvent-elles bien se raconter ?


Retour dans le gymnase pour le saut en hauteur. Tout va bien, à ce jeu je ne suis pas trop mauvais. Je remarque que madame claire à une tendance prononcée à claquer les cuisses de celles qui ne sont pas au niveau. Grenadine, Grace et Iris en font les frais. C’est beau les belles cuisses de femme légèrement rougies.

Flexion, extension et roulades… Pas vraiment amusant mais je m’applique pour ne pas être victime de la main leste de la prof et je m’en tire plutôt bien. Dora et encore Grenadine se font claquer.

Monter à la corde lisse, aïe ! Ça ce n’est pas mon truc du tout.

Les sept pensionnaires devant moi grimpent relativement facilement. C’est à mon tour et va falloir pour une fois que je me force à monter jusqu’en haut.

Jamais été doué pour bien serrer la corde avec mes pieds et si je grimpe deux mètres j’en redescends un en glissant. Ce petit manège est très vite fatiguant et déjà j’entends ricaner derrière moi. Les gouttes de sueur me perlent au front. Bordel, il n’y a pas plus de six mètres mais il n’y a rien à faire, je n’arrive pas à bien coincer la corde. Une brûlure m’enflamme la cuisse. C’était sûr que j’allais en prendre une. Bordel à la place du monter de corde elle aurait pu choisir autre chose ; pétanque par exemple !

      -  Madame ! Dis-je haletant et accroché à pas plus d’un mètre cinquante du sol. Je n’y arrive pas !

Une seconde me claque l’autre cuisse sous les francs rires des spectatrices.

      -  Vous n’avez plus de bon point, alors pas de cinéma monsieur Mikael, montrez-nous vos muscles d’homme et grimpez là haut ! Me fait la prof en me menaçant de sa main.

Je force tout ce que je peux, mes avant bras me font mal et j’essais tant bien que mal de coincer cette maudite corde entre mes deux pieds. Je tente même de l’enrouler autour de mes chevilles, de la bloquer entre mes genoux et mes cuisses Bordel, c’est à croire qu’elle a savonnée la corde, je redescends de la moitié de ce que péniblement j’avais réussi à escalader et je reçois deux terribles claques sur le gras des cuisses. Je lâche tout et me retrouve les deux pieds au sol. Ça rigole fort et peux vous dire que les pensionnaires s’en payent une bonne tranche.



      -  Puisque je vous dis que je n’y suis jamais arrivé ! Que je commence à me rebiffer. Je n’aie jamais compris la technique, ce n’est pas de ma faute.

      -  Ha oui ! Hé bien avec moi tu vas la comprendre ! Remets-toi en position de départ et grimpes, dépêches-toi !

Je m’exécute en rechignant mais je m’exécute quand même. Et c’est reparti, la prof me positionne correctement les pieds et me pousse au cul pour le premier mètre. Je force, et force, je glisse un peu mais toujours assez bas pour qu’elle me claque quitte à se mettre sur la pointe des pieds.

J’assure le spectacle et ça plait tant que même la directrice et madame Francine sont venues y assister.

Centimètre par centimètre, au bout de terribles efforts et d’une bonne quinzaine de claques sur les cuisses je touche enfin du bout des doigts le gros anneau métallique qui tiens la corde au plafond. Je me laisse glisser jusqu’au sol ou je m’affale à la limite de défaillir.

La prof se penche sur moi avec un grand sourire.

      -  Voyez monsieur Mikael, qu’avec un peu de bonne volonté.

Derrière elle je remarque Joan, Grace et Rose pleinement satisfaites.

      -  Maintenant, debout ! Me commande la prof. On va faire un peu de volley. Dora, Ariane Prune et Léa, vous m’installez le filet s’il-vous-plait !

Je suis sur le banc de touche, je remplacerais Léa pour la deuxième partie.

11H45, madame Claire signale la fin du cours. Tout le monde sous la douche, elles dans leur vestiaire et moi dans celui des profs. Mine de rien, ça ne m’aurait pas déplu de prendre une douche avec les femmes… Ouais, et même me faire savonner par elles !


A 12H10 Nous entrons tous au réfectoire. La cuisine est plutôt bonne et autour de la grande table les commentaires vont bon train. La fessée de Léa, celle de Joan et bien entendu ma lamentable prestation au monter de corde. Joan et ses deux amies ne se privent pas de bien me chambrer mais j’ai du répondant et cette joute verbale anime copieusement le repas.


13H15, récréation de 30 minutes avant l’entrée en classe. Cours d’art ménager me prévient Grenadine. Art ménager, qu’est-ce que c’est encore que cette invention ?

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